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 Raconte-moi le passé... {ft. Sunajins}

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Thrys
Suna no Sennin
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Thrys

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MessageSujet: Raconte-moi le passé... {ft. Sunajins}   Raconte-moi le passé... {ft. Sunajins} EmptyVen 17 Jan - 9:04

Raconte-moi le passé...




Retour à Sunagakure no Sato



Hôpital de Koeda, Pays de l’Herbe…

Le matin se levait à peine et, depuis son lit d’hôpital, Thrys pouvait apercevoir de l’autre côté de la fenêtre la lumière rose orangée du soleil derrière les nuages. Allongé, les mains posées sur son ventre, notre jeune ninja observait l’extérieur et essayait de retracer son histoire… Cinq ans… cinq années de perdues… cinq longues années durant lesquelles le Sunajin dormait profondément, sans qu’il puisse être possible de déterminer s’il se réveillerait un jour…
Que s’était-il passé depuis tout ce temps ? Qu’était devenu le Village caché du Sable durant son absence ? Autrefois Kazekage, avait-il été démis de ses fonctions ? Un nouveau dirigeant avait-il été élu ? Tant de questions qui méritaient que l’on s’y occupe séance tenante ! Lentement, notre héros se redressa contre le mur derrière son lit et pivota sur le côté gauche, relevant par la même occasion le drap qui le recouvrait. D’un geste malhabile, Thrys tenta de bouger sa jambe et de la poser délicatement à terre, mais son corps était ankylosé.

« Fais-attention Thrys… tu n’es plus aussi résistant qu’autrefois. »

A l’écoute de ces paroles, notre Sunajin sursauta et tourna la tête derrière lui, instinctivement… personne… Sans se préoccuper de cela, le présumé Kazekage leva alors sa seconde jambe et l’approcha de sa jumelle, avant de poser le pied sur le sol. Une étrange douleur envahit alors son pied et son mollet, tandis que la voix se manifesta de nouveau :

« Laisse ton corps se réhabituer à la vie… »

Mais que se passait-il ? Était-il devenu fou pendant ces cinq années de profonde léthargie ?

Soudain la porte de la chambre d’hôpital s’ouvrit et le médecin entra en trombe avant de se diriger vers le blessé. Accompagnant ses grands gestes de paroles, il demanda au patient de ne pas forcer sur ses jambes et de laisser son organisme émerger totalement. Thrys obéit aux recommandations du docteur, mais savait pertinemment qu’il pourrait partir en fin de journée... il fallait simplement être patient…

L’après-midi touchait à sa fin, et notre Sunajin parvenait à se mouvoir correctement… bien entendu, elle était loin l’époque où il pouvait évoluer tel un ninja, mais avec un peu de temps il recouvrerait l’intégralité de ses capacités motrices.
Alors qu’il allait définitivement quitter sa chambre d’hôpital, une infirmière entra avec sur une sorte de chariot plusieurs sacs lourdement chargés. Sans laisser le temps à son interlocuteur de répondre, elle déposa les contenants sur un lit voisin et désigna chacun d’eux du bout du doigt :


« Lorsque vous êtes arrivés vos affaires ont été stockées dans nos locaux… nous vous les restituons monsieur. »

Un sourire jovial se dessina sur ses lèvres lorsqu’il aperçut le manche de son fidèle katana qui dépassait du sac. Thrys hocha alors la tête et remercia la jeune femme, qui ressortit aussitôt de la chambre. Comme soulagé et heureux de retrouver ses effets personnels, notre héros extirpa chacune de ses affaires et les observa, se retenant de verser une larme de joie.
Ni une ni deux, le Sunajin revêtit sa tenue, sangla à sa taille le fourreau de son katana et termina par l’élément principal qui faisait toute la différence : son masque qui dissimulait le bas de son visage. Une fois prêt, et après s’être assuré que son apparence était parfaite, il jeta un rapide coup d’œil au ciel rougeoyant, annonciateur de la descente du soleil… « Bien, en route ! »

Après avoir quitté l’hôpital dans lequel il séjournait depuis… et bien… depuis longtemps, dirons-nous, notre jeune ninja de Suna questionna deux trois passants et demanda quelle direction le mènerait au Pays du Vent, sa chère et tendre patrie… et c’est ainsi qu’il suivit une route commerciale jusqu’à Sunagakure no Sato, en compagnie d’une caravane marchande…

Deux jours plus tard, fin de matinée…

Le désert… le vent et les dunes entièrement recouvertes d’une épaisse pellicule jaune dorée… Alors que les marchands continuaient leur route, Thrys s’agenouilla dans le sable et en préleva un petit monticule dans ses mains, avant de le laisser s’écouler entre ses doigts. Son expression, jusqu’ici neutre, s’illumina ! Voilà si longtemps qu’il n’avait pas foulé les terres de Kaze no Kuni… cinq longues années…
Sans perdre une seconde, notre héros rattrapa le convoi marchand et prit la tête du groupe. Ces lieux, il les avait parcouru de long en large et les connaissait mieux que quiconque, si bien qu’il s’improvisa guide pour ces trois bonshommes. Il ne leur fallut qu’une heure avant d’atteindre les hauts remparts de Sunagakure no Sato. « Enfin chez moi ! » songea-t-il en pressant le pas.

Le groupe traversa le long chemin creusé dans les remparts pour atteindre l’allée principale du village. Alors qu’ils avançaient, Thrys sentait quelques regards qui se posaient sur lui, accompagnés de murmures et de chuchotements. Certaines sentinelles ouvraient de grands yeux, d’autres encore étaient interloquées et restaient bouche bée… comme s’ils venaient de voir un fantôme.

Enfin, le convoi marchand atteignit la place principale du Village caché du Sable. Les trois colporteurs, satisfaits de leur voyage, remercièrent notre héros avant de prendre congé. Ils avaient des tas de produits à écouler et surtout en emplacement à trouver avant le jour du marché. Le Sunajin, immobile en plein cœur de la place marchande, observa les bâtiments qui l’entouraient… son cher village était resté le même, aussi majestueux qu’auparavant. Ses yeux, qui passaient d’habitation en habitation, se posèrent alors sur l’imposant dôme du Manoir Kazekage. Voilà qui faisait remonter énormément de souvenirs…
Fatigué du voyage, notre épéiste s’approcha d’un banc installé au centre de la place marchande et s’installa… il lui fallait récupérer…

Qui sait… peut-être que les événements futurs seront intéressants !

A suivre ! Very Happy


Informations complémentaires :

Salut à vous Sunajins ! Hé oui, je suis de retour ! Officiellement ! Wink
Ce sujet est libre et par conséquent, je vous laisse poster à la suite comme bon vous semble ! Néanmoins, pour ne pas que cela devienne compliqué au fur et à mesure, j'aimerais qu'une fois un RP posté, que vous conserviez l'ordre de passage.
C'est tout ! Very Happy

Bonne rédaction ! Wink

Thrys.


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Gama Ogame
Kyūdaime Kazekage
Kyūdaime Kazekage
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MessageSujet: Re: Raconte-moi le passé... {ft. Sunajins}   Raconte-moi le passé... {ft. Sunajins} EmptyMar 21 Jan - 9:40

Happy or not Happy ?


Voilà le retour du fameux Kazekage de Suna et le plus émérite parmi ses pairs : Thrys Kaosu. On le pensait tous mort ou disparu mais sa venue mets en doute mes compétences et le choix des conseillers. Je lui leguerais bien le titre de Kazekage mais il venait à peine de revenir et l’on ne connaissait pas ses compétences. Je ne sais pas ce qui lui ait arrivé mais c’est de mauvais augures pour mon entourage. En effet j’avais été décidé Kazekage par défaut à l’acquisition de mon Bijuu et pour pouvoir mieux me contrôler mais le saint Thrys était revenu et les conseiller étaient en désarrois. Conserver ma main mise sur le village en tant que Kazekage serait d’autant plus dur que je n’ai que peu de légitimité. Le hibou qui m’avait annoncé cette nouvelle lui-même me faisait peur. En perdant de l’influence je perdais aussi de puissance et de liberté. Or il fallait que je sois reconnu par le village pour que l’on accepte mon Bijuu et la solitude n’était pas une option déjà qu’au sein même de mon clan les gens m’évitaient. D’un autre côté au sein du clan Ogame j’étais un maître que personne ne pouvait contester, restait à convaincre les villageois que je serais aussi bon que mes prédécesseurs mais cela restait à prouver.

Au départ je n’avais que faire de ses soucis politiques et j’étais désireux de rester enfantin malgré le poids sur mes épaules mais les conseillers m’ont convaincus ainsi que Chômei qu’il fallait que les gens croient un minimum en moi et que la confiance n’était que du vent dans les oreilles d’un peuple peu alerte. Il fallait leur prouver de par mes actions ma conviction et alors ce vent deviendrait bourrasque. Le retour de Thrys Kaosu était cette bourrasque. Elle me balaierait ou elle me soulèverait. Je l’ai connue en tant que genin et chuunin et c’était un personnage charismatique et mystérieux. Son âge avancée mais jeune le mettait au top 3 des plus beaux mecs de Suna en plus… Il est clair qu’entre le gamin que j’étais et cette personne il y avait un fossé. Néanmoins je n’étais pas homme à perdre mon sang-froid pour si peu bien que je ne m’y connaisse que peu en politique.

Je me claquais les joues un bon coup. Après tout j’étais Gama cela ne me ressemblait pas de penser ainsi et d’avoir peur. J’allais donc accueillir notre hôte dans les premiers si possibles et de ma rapidité je tentais de le trouver à l’aide du hibou qui m’avait prévenu. Regardant au loin j’aperçu l’homme vieillis et quelques peu maigre. Je ne sais pas ce qu’il avait fait durant tout ce temps mais il avait perdu un peu de sa splendeur physique mais restait tout de même charmant vu le nombre de demoiselle qui l’accueillirent. Ma venue jeta un froid sur la scène qu’elles offraient. Les femelles de nos jours sont répugnantes à se dandiner ainsi pour un être… Je ne comprenais pas l’affection ni l’amour à ce point. Fier de ce que j’avais accompli je me tenais devant mon prédécesseur et retirait mon chapeau de Kazekage qui tînt sur mon dos grâce à un petit fil que j’avais eu l’audace de mettre pour pouvoir le retirer en toute sécurité et n’avoir à tenter de le ranger je ne sais comment dans mon besace.

Kyudaime Kazekage. Heureux de vous revoir Thrys Kaosu, ça fait plaisir de voir son sempaï.

Je ne mentais pas. L’heure n’était pas venue à la stratégie et je n’y connaissais rien. Je suis Gama Ogame, un jeune garçon devenu Kazekage à cause d’un Bijuu et qui ne souhaite qu’avoir le soutien de ses pairs et par conséquent de Thrys Kaosu qui était un homme remarquable ayant relevé Suna suite à la guerre rendant à cette nation la puissance qu’elle méritait.

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Yine Maeda
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MessageSujet: Re: Raconte-moi le passé... {ft. Sunajins}   Raconte-moi le passé... {ft. Sunajins} EmptySam 25 Jan - 12:32

Il n’était guère rare que de nombreuses roulottes et charrettes marchandes entrent et sortent dans le village, avide de trouver quelques liens avec l’un ou l’autre commerçant du coin en quête de nouveaux clients potentiels. Allez et retour étaient fréquents ces temps-ci, sûrement du à la prospérité du marché économique du village, chose que je ne suivais que de très loin puisque les finances n’arrangeaient en rien le peu de nourriture dans les placards. Ah, on se faisait à tout ma foi.
                D’humeur lugubre, je ressassais les quelques souvenirs qu’ils me restaient des années passées, énumérant d’un grognement les rencontres qu’il m’avait été permises de faire et force était de constater que seules deux furent réellement bénéfiques.  Si de nombreux visages avaient croisés ma route, je n’avais guère perdu cette triste habitude de les marquer d’un fer rouge qui cicatrisait ou non au fil du temps, tagués « danger potentiel » par mesure de précaution. Une telle méfiance n’était pas réellement de ma faute car les seuls fautifs furent les malfrats qui n’eurent aucuns scrupules à se servir de moi comme d’une expérience amusante qui courrait vite pour échapper à leurs lames. Il n’y avait qu’eux pour trouver ça drôle.

               Magnifique, il avait fallut que je sois de sale humeur par une journée pareille où le soleil luisait calmement sur les toits du village en couverture tiède et que mes cauchemars récurrents aient eu la bonté de me laisser en paix pour cette nuit. L’image d’une enfant aux courts cheveux couleur neige glapissant de terreur au milieu d’un groupe de ninja armé de mauvaises intentions hantait mon esprit, le corps labouré de coup lorsque leurs silhouettes s’étaient éteintes.

Injustice morbide.

                Désireuse de me changer les idées, je chassais ces obscurs souvenirs et filant vers le sol après avoir enjambé ma rambarde, trottinait vers la place principale et marchande qui devait déjà fourmiller de monde à cette heure de la journée. Bah ! Au diable mon ressentiment vis-à-vis de la population, j’avais besoin de me changer les idées et d’entendre les palabres inintéressante des citoyens, perdus dans leur naïve existence. Zigzaguant au travers des ruelles déjà bien encombrées, j’exhalais profondément en fendant la foule de badauds, l’esprit trop fermé pour m’amuser à crapahuter sur les toits comme il m’était coutume. Quelques carrioles bariolées étaient regroupées sur la place, plongées dans les négociations ardues nécessaires pour décider d’un emplacement en attendant le jour du marché. Amusée, je tendais une oreille discrète vers leurs vociférations et leurs plaintes, les contournant d’un pas léger la tête en girouette. Cherchant un endroit surplombant la place dans un souci de confort et d’un minimum de tranquillité, mon regard balaya l’espace à la ronde…stoppant soudain vers un point bien précis.

*Qui est-ce ?* questionnais-je à moi-même.

              Un bel homme au visage marqué par une jeunesse trop ardue pour être vivable par le premier venu était assis sur un banc, visiblement occupé avec notre cher Kazekage qui, à son attitude, lui vouait visiblement un profond respect. Intéressant…
             Observant les deux hommes, je détaillais le nouveau venu dont le visage m’évoquait vaguement quelque chose, fantôme d’une époque lugubre où tous les visages portaient le même masque de danger à mes yeux… aussi son nom m’échappait-il. Sa tignasse blanche et son étrange masque lui donnait l’air charismatique de ces voyageurs solitaires, combattants aguerris dont les récits bien réels valaient souvent mieux que les élucubrations des vieillards conteurs du désert. Les sourcils froncés, je cherchais en ma mémoire où un pareil visage avait pu voir le jour au village et si j’avais déjà croisé sa route… non décidément, les souvenirs lugubres qui étaient les miens prenaient le pas sur toutes autre formes de raisonnement. Grognant d’une frustration dissimulée, je m’avançais intriguée vers les deux hommes, désireuse de ne pas les interrompre mais curieuse de connaître les raisons de la venue d’un homme qui ne m’évoquait rien de plus qu’une époque révolue… Quelques mots de Gama volèrent jusqu’à mes oreilles…

« ….de vous revoir Thrys Kaosu…. »

Figée.

                    Dissimulée en partie par les demoiselles qui semblaient attirées par le nouvel arrivant et les passants affairés, j’eu tout le loisir de laisser ma mâchoire se décrocher à toucher le sol. Si je n’avais guère aperçu un jour son visage avec attention, ce nom sonnait comme un espoir enfoui, légende du désert qui n’avait jamais eu son pareil aux dires des archives. Ryuk m’avait vanté ses mérites lors d’une soirée où il s’était enflammé sur les épopées anciennes de Suna, répétant à plusieurs reprises ce nom qui avait semble-t-il, disparut un jour pour des raisons qu’il ignorait. Impressionnée, intriguée, intimidée mais toujours curieuse, j’inspirais silencieusement et grimpant à toute vitesse un mur d’enceinte, me perchais dans la cavité rocheuse que me procurait le mur endommagé d’un bâtiment ancien au pied duquel était adossé le dit banc. A cette hauteur, je ne me tenais pas à plus de cinq mètres des deux hommes et le brouhaha ambiant ne m’empêchait guère de les écouter.

Couchée sur le ventre et le menton posé sur mes avant-bras, j’observais la scène sous mes yeux, ne souhaitant pas les déranger ou les interrompre pour le moment.

Si encore j’avais eu des chupa-chups…
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