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| Sujet: Petit repos et petite balade ou n'est qu'une illusion [Ouvert] Sam 23 Fév - 17:40 | |
| Iwa, grande cité du pays de la terre remplit de gallérie marchande et d'un vaste centre ville au toit assez haut pour y voir au loin les plaines. Dans ce centre ville, un petit restaurant attirant avec une grande pancarte avec le nom du restaurant. "Chez Izuki le bon sushi" Mais malgré les clients un autre profite du bâtiment, non pas pour la nourriture qui est forte appréciez en ville mais pour son toit légèrement pentu. Au sommet assis sur la toiture rocheuse un shinobi est installez comme si il se trouvait sur un étendu de sable au bord de mer. Le ninja regarde au loin fixant l'horizon, sa main délicatement viens fouiller une besace pour en sortir du tabac et une plante qu'il mélange doucement. Une fois le mélange effectué celui-ci est déposé sur une feuille à roulé et viens légèrement se faire tasser. Un coup de langue du shinobi et la cigarette à l'herbe est roulée.D'un petit mouvement des doigts le ninja fait pivoter la cigarette et la mets en bouche. Il range ce qu'il reste dans ses mains et sort un briquet qui vient allumer la tige de nicotine et de drogue. Une première bouffé et l'odeur se propage déjà tout autour de lui. Une odeur douce de plante au particularité d’apaiser l'esprit de son consommateur. La consommation dans le village est ni illégal et ni même légal, personne n'en parle mais par respect pour la population. C'est généralement mieux de le faire quand on est seul, le shinobi paisiblement continue de fixer l'horizon et de fumer.Il recrache doucement la fumée qui se propage autour de lui, les effets de la drogue commence à agir doucement. Les pupilles du ninja se rétracte et dans son esprit un état d'euphorie s'active peu à peu. Dans son esprit il sent une liberté et espère que personne ne viendra le déranger. Le shinobi sait toutefois qu'il est de temps en temps surveillé pour sa consommation et sa pire crainte est de voir le Kage du village débarquer. Mais à quoi bon s'en souciez ce moment est un temps de repos.*Encore une belle journée*Pense le ninja en profitant de son repos, mais qu'en penserai les autres? Cela le shinobi l'ignore. Il reste ainsi un moment jusqu'à ce que sa consommation se termine et recrache la dernière fumée inspirée. Sa main viens écraser sur le toit le mégot et son corps délicatement se relève pour avancer jusqu'au rebord. C'est ça la liberté, le vent qui vient délicatement s'engouffrer dans les cheveux, un monde calme où les sons plus bas reste inaudible. Le ninja est en plein "bad trip" et regarde en bas de lui la rue sans même ressentir un vertige toutefois il commence à ressentir la faim arriver et sa bouche devenir pâteuse.Il reste ainsi un petit moment et finit par marcher lentement sur le toit pensif, sans penser que quelqu'un le regarde depuis un moment et risque de venir lui parler tôt ou tard. Marchant à son rythme sa destination est inconnus mais une chose est certains c'est que le shinobi se déplace. |
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Mitsumeru Shigeoki Shinobi No Nukenin
Messages : 929 Date d'inscription : 25/01/2013
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| Sujet: Re: Petit repos et petite balade ou n'est qu'une illusion [Ouvert] Sam 9 Mar - 13:52 | |
| ~La drogue, c'est le maaaaal~ ❝ Un mélange suave, amer et terriblement salé emplie ma bouche, dévoilant les mécanismes de ma cavité buccale qui, répondait à ce sentiment acerbe de rage par la création d’un peu de salive. Il était vrai qu’à ce moment, j’étais bien énervé. Les villageois n’en peuvent plus des drogués et des dealers des bas-fonds, s’en était ennuyeux. Ils étaient même venus déposer une mission. J’avais toujours prôné une équité et une liberté quasi-totale dans le village mais, le trouble de l’ordre faisait partie de ces rares choses qui m’énervaient. Comment pouvais-je gérer convenablement le village à ma guise si les pièces se déplacent sans qu’on les autorise. Les Tsuchikage avait toujours tenu fermement leur poste et bien qu’Oonoki dans la force de l’âge faisait parfois l’office de cible d’un humour d’une jeunesse arrogante, tous l’avaient respecté mais, il fallait s’imposer. Je n’étais pas le genre d’homme à m’imposer par la force ou par mes capacités, au contraire, je n’avais montré mon kekkai tôta qu’une unique fois ; lors de ma nomination de Kage mais, il fallait croire qu’à me voir flâner et, m’avoir connu pour certains assez jeune, les avaient rendus séniles et, peut-être avaient-il oublié que j’étais le Tsuchikage et, aussi l’étrange atmosphère qui régnait en ma présence. Une fois les complaintes terminées de nouveaux villageois, je me levais doucement mais surement, prenant appui sur les coudières de mon siège noir moelleux. Je le vais ma tête et, de mes yeux rouges promenait mon regard sur tous, le silence étaient revenu et, je le laissais planer un instant histoire de profiter de cet effet pesant pour leur parler strictement. J’ai bien compris et je vais m’en occuper ! Je vous rappelle qu’une mission a été placée à la disposition des iwajins et, j’aimerais bien ne pas être dérangé. Ces dernières paroles je souriais de ce sourire que j’arborais souvent mais, la vérité derrière le visage était facile à deviner tant la tête exagéré que je faisais était expressive : « vous me gavez » . L’expression faciale était tout aussi pesante que le silence et effrayait certains d’entre eux qui reculèrent d’un pas puis, tous prirent congé. Je me grattais la tête. Je tenais à laisser cette mission à d’autre car, je n’aimais pas m’occuper des affaires internes directement ; préférant au contraire regarder évoluer librement cette fourmilière agitée. Je décidais néanmoins de prendre un bol d’air et de frapper un grand coup. J’avais besoin de me battre, de me défouler et, surement certains de ceux venus me réclamer l’avait compris. Il m’avait terriblement déconcerté et agacé : je cherchais un punching ball d’urgence. Il était peut-être temps de rappeler la puissance du tsuchikage à la populace. Toutes l’administration qui me connaissait bien avait remarqué au loin mon caractère changeant et, cette pointe de colère n’était pas passé inaperçu. Immédiatement, la fier iwajin Kurotsuchi avait prévenu tous ceux de la tour de s’en aller et de prendre congé (bien que certains partirent avec leur travail histoire de ne pas en avoir trop le lendemain). Une lumière bleuâtre apparut sur la façade de la tour. Tout le village se tournait alors intrigués. ~Seiryu!L'étreinte du Dragon~ Un dragon de poussière sortit du cercle bleue et enserrait la tour, rugissant de son puissant cri divin tandis qu’il avait laissé un trou béant dans la tour, à l’endroit de sa création (rien ne se perds, rien ne se crée, tout se transforme !). Seiryu rugissait ma complainte et mon énervement et, j’espérais bien réussir par ce coup de force à rappeler qui j’étais. L’esprit de camaraderie était présent chez les iwajins mais, il ne fallait pas oublier une rigueur irréprochable, surtout au vu du nombre de ninjas dans ce gros village représentatif de la superficie gigantesque du pays de la terre. Le dragon disparut, montant dans le ciel tandis que je descendais de la tour. Certaines personnes ne semblaient pas avoir compris mon acte mais, au moins, j’étais calmé. J’avais pris en mains un dossier concernant les différents ninjas n’ayant pas fait partie de base aux villages. Je m’étais mis en tête à l’époque de connaître tous les villageois ainsi que leur lien de parenté à l’époque. J’avais mis deux ans pour réussir cet exploit et chaque jour j’allais voir les naissances des nouveaux nés, encore aujourd’hui j’exécute ce rituel mais, je n’avais pas pris en compte les personnes arrivé aux villages, d’où le dossier entre les mains. J’avais repris ma joie de vivre dans la foule qui me saluait d’ici de là mais, me laissait aussi respirer, surement dû à la présence d’un certain coup de force. En tous les cas, j’allais jeter mon dévolu sur un certain Shuya Kaoki. Il était porteur d’un kekkai bien inquiétant : le Kemuruton. Au vu de l’appréhension des villageois quant à la drogue en ce moment, surement devait-il se cacher. En tous les cas, il n’a eu aucune altercation quant aux déboirs qu’engendrerait son kekkai ce qui, en faisait un élément comme je les aime : libre mais respectant l’intégrité de son village. Je me mis en quête de le chercher ce qui était, semble-t-il, bien fastidieux. Il me fallut une heure pour le retrouver dans la foule du centre-ville toujours aussi animé. Je tombais du ciel littéralement, m’arrêtant devant lui et, la foule ébahis. La foule étaient composés de nombreux étrangers des pays frontaliers et, ceci me fit doucement sourire tandis qu’en même temps je rangeais mes dossiers dans mon sac en bandoulière. Il faisait chaud aujourd’hui et, j’avais mon chapeau de Kage dans le dos car, j’avais fait attaché un fils de par et d’autre du célèbre apparat pour pouvoir le faire tenir dans le dos et ne pas avoir à me le trimballer à la main quand je n’avais pas envie de le mettre. Je portais un T-shirt à manche longue grise et, légèrement ouvert ainsi qu’un pantalon assez moulant et, mes chaussures de ninjas. Je fis un grand sourire à ce Shuya Kaoki, agitant ma main devant lui. Ohayo~ Il semblait légèrement surpris mais, pas forcément heureusement surpris de me voir. Tournant la tête vers le petit restaurant affichant presque complet, je le priais de me suivre à l’intérieur. Nous faufilant à travers la foule, je commandais une table mais, les meilleurs ayant été réservé nous n’étions alors que dans un coin bondé (enfin si il m’avait suivi). Je ne lui voulais aucun mal présentement, juste en apprendre un peu plus sur moi, voir le taquiner légèrement. |
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