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 Flandre Ayakashi [100%]

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Flandre Ayakashi
Konoha No Ken'ude
Konoha No Ken'ude
Flandre Ayakashi

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MessageSujet: Flandre Ayakashi [100%]   Flandre Ayakashi [100%] EmptyMar 18 Juin - 11:56

Ayakashi - Flandre



"Il ne faut jamais se relâcher et faire le pas les premiers"






Personnage

|- Age : 28 ans
|- Surnom : ///
|- Sexe : Féminin
|- Village : Konoha
|- Rang : Hokage?
|- Liens familiaux : -père [Hapa Ayakashi]
                            -mère [Sakura Ayakashi]

Joueuse

|- Age : 20 ans
|- Localisation : AH AH AH
|- Comment êtes-vous arrivé ici : Quelqu'un qui ne désire pas se faire connaître (petit cachottier)et qui m'a inscrite sans mon avis
|- Une note sur 10 : 6 ?
|- Vos Hobbies : Tennis





"Gotai" - Physique

Elle marche d’un pas assuré. Ses bottines n’ont rien des règlementaires sandales du bon ninja. Assez hautes et, de couleur noire, de petites boucles et des ceinturons saillant ses jambes, elle les relèves sans grande peine, faisant un pas après l’autre avec la grâce d’un mannequin. Assez efféminés et, tentant de garder un minimum une vie de jeune fille, ses pieds sont soignés. On ne les voit mais, elle le fait plus pour elle que pour les autres. Un beau vernis rouges bordeaux recouvre ses pieds et, elle se met tous les soirs de la crème afin de ne pas les abîmer. Comme toutes femmes, sa peau est douce et ses jambes n’ont pas la présence d’un seul petit galopins de poil. Son collant noir ne donne de toute façon aucune information là-dessus mais, nul doute là-dessus connaissant le caractère du personnage. Ses jambes sont fines et, taillé dans le marbre, élancé comme une gazelle. Elle est assez grande et, dépasse même la moyenne de taille des hommes de Konoha. Ses hanches sont parfaites, peut-être un léger surplus mais, rien de bien visible à l’œil nu pour les autres (c’est surtout elle que ça dérange). Le long de la rue, on la salue, on lui dit bonjour mais, comme d’habitude certains ne peuvent s’empêcher de relooker les goûts vestimentaires de mademoiselle l’Hokage par derrière. « Un joli ptit’ cul » dira le paysan de base ou l’avorton analphabète. Elle n’y prend pas trop gardes mais, n’aime pas trop ces messes basses qui manquent de tact. Elle porte un short marron assez court afin de laisser toute place à ses jambes car, c’est surement l’un des meilleurs atouts qu’elle a avec ses fesses pour un charme non moins coquin et attirant l’œil des passants. Il y en a qui trouvent cela osé, d’autre assez méprisable pour une Kage mais, le bonheur de certains et ses devoirs d’Hokage remplies, les mauvaises langues ne pourront que se taire. Il fait chaud, le soleil est haut et tape fort. Sa peau blanche résiste tant bien que mal à ce dernier mais, elle a plutôt tendance à rougir sous les coups des rayons, l’obligeant à constamment se propager de cet ami bien dangereux. Quand bien même, avec une bonne crème, de légère marque de bronzage sont visible et, manque un peu de style, car elle porte un débardeur noir et, seul les bras seront bronzés. Elle se tape la tête, venant à peine d’y penser mais, soupirant :



Il y a des choses plus graves dans la vie.



Disant cela à voix hautes dans la rue, on la prendrait pour une folle mais, déjà on regarde ses lèvres pulpeuse et, son gloss si brillant qui les fait ressortir et briller de mille feux, donnant l’impression que chacune de ses paroles est une salve d’étoile. Ses dents sont blanches et, elle se les lave correctement. Elle mâche même très souvent du chewing-gum, très consciencieuse sur son hygiène de vie. Ses paumettes sont légèrement rosés et quelques peu joufflues. Quand elle était petite, elle était une vraie petite boule mais, maintenant, s’étant affiné, ses joues ont été quelques peu creusés mais ont gardé le teint d’antan. Son front est dégarni pour laisser place à ses yeux qui regarde droit devant elle, grand ouvert quoique en amande (on peut rien contre les gènes). Son regard est perçant et malicieux, légèrement tendancieux pour le pervers né. Ses yeux sont de la couleur du jade. Un vert puissant et ternis, virant d’éclat au soleil. Ses cheveux roses ondulent. A la base, elle a les cheveux blond platine mais, elle les a teint, ayant trop souffert auparavant des « t’es une mamie ? ». Ce n’est pas qu’elle ne  s’assume pas mais, elle comprend bien qu’elle peut être belle et, elle fera en sorte de l’être en tous les cas. C’est peut-être une obsession chez elle mais, c’est que plaire est un plaisir. Ses oreilles sont petites et caché sous la masse soigneusement coiffé. Un ruban rouge (ou le bandeau konoha) vient généralement tenir ses cheveux en arrière. Il valait mieux éviter de les avoir devant soi. Il lui arrivait même de se les attacher, donnant lieux à une queue de cheval assez longue et quelque peu impressionnante. Son débardeur noir lui tient chaud et, ses bretelles tombent un peu et, ne sert pas bien. La jeune femme n’avait pas une poitrine généreuse et, il était monnaie courante qu’elle doive serrer au maximum pour tenir le peu qu’elle avait. Parfois elle soupirait en se demandant si tout ce qu’elle avalait n’allait pas dans ses fesses… Elle trichait un peu et, les soutiens gorges étaient généralement assez bien rembourrés. Elle est mince et, sa silhouette est parfaite. Elle porte une ceinture assez grosse duquel sont attachés divers parchemins. On comprend ainsi très bien ses spécialités. Le vent est frais malgré un soleil haut et, elle se résous à invoquer un léger manteau brun couvert de poche, un peu trop grand pour elle. Enfin arrivée devant chez, elle passe le portillon afin d’aller se reposer.

Elle porte de nombreux habits et sa garde-robe est vaste. La description de ces vêtements-ci ne sont qu’une des divers apparats que la jeune femme porte. d'Ailleurs, il en est de même pour son maquillage, une boîte immense recelant de tous les divers ouvrages. Elle aime se maquiller. C’est un besoin personnelle pour elle-même. Même le dimanche où elle se repose et ne sort que très peu, cela ne l’empêche pas de mettre un coup d’anti-cernes et de fond de teint. En petite tenue à la fraicheur de la nuit, elle sort dans son jardin pour voir les lucioles. L’une d’elle se dépose délicatement sur le petit nez de Flandre avant de s’en aller gaiement, la laissant éternuer dans le vide. C’est là qu’un ordre de mission lui parvînt. Un homme se serait enfui avec des informations confidentielles. Il n’avait rien de bien dangereux mais les informations valent cher en ce bas monde et ces temps-ci c’étaient monnaie courante. Elle va chercher ses gantelets noirs et se prépare. Elle se rhabille en un instant avec ses sceaux. Elle arbore toujours un débardeur, bleu nuit cette fois-ci tandis que son short est aussi noir. Ainsi ne se fera-t-elle pas repérer aussi facilement. La paire de bottines à laisser place à l’habit ninjas. Elle va chercher son gilet de jônin. Elle ne tient pas à avoir trop froid (déjà qu’elle porte un short) et, à noter, que ce dernier protège assez bien des jets de kunaïs et autres. Elle s’en va filant, son bandeau de ninjas lui tenant les cheveux mais, sans queue de cheval. Elle va vite…très vite, ses jambes de gazelle lui procurant une poussée phénoménale et…déjà elle rattrape l’opportun. Il ne s’attendait pas à être coursé par la hokage en personne (elle non plus). Déjà se croit-il tirer d’affaire qu’elle invoque un arc. Ses doigts fins et son vernis rose : elle y tient. Elle porte donc un protège-doigt pour ne pas s’effriter la main. La flèche est décochée. Elle ne tenait pas à le tuer. Elle est clémente et, elle n’aime pas ça de toute façon. Le malheureux, à la jambe touchée, n’avait plus qu’à attendre son triste sort. On viendrait le rechercher à l’aube. De toute façon, elle était repartie se coucher. La douce jeune fille rêvait d’une nuit plus calme, ses cils longs et noirs recouvrant ses yeux. Le rideau noir était levé et, l’entracte lancée. Une nouvelle journée se lèverait demain : elle ne la raterait pour rien au monde.


"Shin'ri" - Caractère

Elle était assise devant vous sur son siège d’Hokage. Le siège était moelleux et semblait confortable car elle faisait une mine ravie. C’était une personne assez expressive et, il était facile de lire sur son visage sa joie et, son bonheur constant. Elle vivait dorénavant l’instant présent tel qu’il venait à elle. Son sourire s’illumina un instant. Elle vous tendit le dossier entre ses mains. C’était plein de paperasse. Cela ne vous arrangeait pas trop mais, pour autant, pour elle, ce petit tas entre vos mains n’était qu’une misère à ces yeux, un simple bout de papier bon à remplir en 5minutes. Un rapport est un rapport et vous vous inclinez finalement. Elle est tout de même la Hokage et vous vous deviez de la respecter. Elle n’avait pas trop eu de mal à s’imposer dans le cœur des gens mais, il est vrai qu’elle n’avait pas un tempérament autoritaire et, savoir remettre dans l’ordre certains éléments perturbateur étaient encore difficile pour elle. Ce n’était pas qu’elle ne savait pas s’énerver ou crier. Au contraire, c’est une personne au tempérament explosif mais, ces menaces n’étaient que rarement pris au sérieux. Les habitants du village de la feuille étaient importants à ses yeux et, elle se comportait plus comme une mère que comme une Hokage. Elle pouvait faire preuve de laxisme parfois et, n’était pas trop dans les cordes militaires envers les genins qu’elle affectionnait taquiner. Elle n’avait pas d’enfant. Pourtant des maris qui la voudrait pour épouse sont légions à ses portes mais, elle voulait un homme fort : un homme plus fort qu’elle. Pour elle, il lui fallait quelqu’un qu’elle n’aurait pas besoin de protéger. Elle se voyait toujours comme une princesse dans un berceau de cristal et qui n’attendait que le baiser d’un prince fort qui saurait la rendre heureuse et la défendre. Ce n’est pas qu’elle n’aimait pas les faibles : ne vous découragez pas vous qui l’aimez ! Entraînez-vous et peut-être vous reconnaitra-t-elle comme représentant digne de ce nom. D’ailleurs, certains ayant eu vent de cet intérêt pour les hommes forts, ils tentèrent en vain. Etre juunin n’était que le strict nécessaire, elle avait mis la barre haute. Pour vous, c’est un espoir trop loin. Alors déjà vous vous éloigner pendant qu’elle s’occupe de l’amoncellement des dossiers qui lui arrive.

Elle travaille jusqu’à très tard. C’est une personne rigoureuse et consciencieuse dans son travail. Elle n’aime pas être en retard et est très attaché à son poste et les obligations qui en en incombent. De ses doigts, elle prend un stylo et déjà vous la voyez filez avec une efficacité terrifiante, à lire, cherchez dans les livres et rédiger des quantités. Ce que vous auriez fait en trois heures, une heure lui aura suffi. Ceci n’est dû qu’à une volonté rigoureuse et, une certaine estime de soi. Légèrement susceptible et parfois hautaine, elle avait pris quelques peu la grosse tête avec son titre. Elle sait qu’elle est belle et, n’hésite pas à jouer de cela. Pour autant, elle ne s’emporte pas aussi vite et n’a certes que peu de répartis mais, les moines qu’elle avait rencontré dans sa vie antérieur lui apprirent qu’être zen de temps en temps ne pouvait pas faire de mal. Ainsi elle ne s’emporte que pour des choses puériles et quand l’enjeu devient sérieux, elle ne se prend plus aussi finalement aux jeux de l’adversaire. Sachant jouer de sa tête en combat, elle réfléchit surement et intelligemment, prenant conscience de sa constitution fragile, d’autant plus qu’elle s’était faite les ongles il n’y a pas si longtemps que cela et que son maquillage pourrait couler. Il faut gagner en gardant une certaine classe et, le corps à corps ne devait être que dernier recours bien qu’elle ait su développer quelques capacités dans ce dernier.

Il fait nuit et elle s’endort sur ses dossiers. Elle ronfle, c’est un bien vilain défaut. Heureusement, elle ne bouge pas trop dans son sommeil et les divers documents sur la table ne s’envoleront pas dans tous les sens. Peut frileuse, le vent ne l’atteint pas bien que la fenêtre soit ouverte. Elle se relève tôt, rentre chez elle pour revenir plus tard, lavée, habillé et de nouveaux toute belle toute propre. Elle tient à son apparence et c’est une touche d’honneur chez elle. Elle a su s’affranchir de l’uniforme de Kage et arbore souvent de nombreux vêtements qui coûte plus d’un bras. Les conseillers se désolent de ce manque de maturité de la part de la jeune femme mais, elle n’en a que faire. Elle est encore jeune, elle ! Ces vieux croûtons ne comprennent pas que la vie est trop courte pour la gâcher. La malédiction des shinobis l’avait atteinte mais, par le biais du shopping, des amourettes, de sa vie de femme libre et célibataire, elle s’affranchissait durant un instant de la malédiction : arrêt du temps. Se sentant vivre et pousser des ailes, elle va de l’avant et ne s’arrêtes pas. Bien qu’elle n’apprécie pas spécialement Uzumaki Naruto, il fallait avouer que d’un certain point de vue elle lui ressemblait, tout du moins sur le caractère bien trempé du « héros ». Ne lui dites surtout pas que cet homme-là est un héros… Il y a certaines choses qui traumatisent les gens et, elle faisait encore partie de l’ancienne génération qui avait subis les courroux du renard et, il était difficile de pardonner pour certains.

Flandre est assez rancunière. C’est un défaut terriblement irritant et, il ne valait mieux pas se la mettre à dos. La jeune femme est têtu et, ses proches la qualifie même de « boudeuse ». Elle vous le fera payer très cher ce que vous lui avez fait…très très cher. D’autant plus qu’avec son tempérament têtu et madame je sais tout, elle pouvait être terriblement agaçante. Combien de membre du conseil aurait voulu l’étriper ? Si le peuple n’avait pas été de son côté et les échos de Oto en sa faveur, peut-être jamais n’aurait-elle été là. En effet, c’est une personne appréciée par son entourage mais, travailler avec elle peut s’avérer désarmante parfois de par les différents défauts cité. En plus, elle déteste perdre et, en véritable rageuse n’abandonnera jamais. Elle pleure très peu mais, vous pourrez sentir bouillir en elle un torrent de sentiment à distance. Il faut le voir pour le comprendre. C’est comme si des ondes émanait d’elle et qu’elle vous faisait très clairement passer un message de désespoir et de haine. C’est une femme peut être facilement manipulable et qui parfois ne savait pas réellement s’imposer de par des arguments concrets ; cela expliquait peut-être le fait qu’elle doive être têtue vu que personne ne la comprends parfois. Elle explique très mal. Ainsi elle avait essayé d’enseigner auparavant mais, très mauvaise sensei elle s’emmêle facilement les pinceaux. Au vu de ces soucis d’élocutions, d’expérience, on pourrait la prendre pour une cruche mais, ce ne serait que se voiler la face sur le pur génie qui se trouve devant vous. Très intelligente et adroite, en plus d’être belle, elle comprend très facilement et n’a pas de soucis pour apprendre quoique ce  soit. Certes il lui faut un minimum de volonté et de rigueur mais, elle vient toujours à bout de ce qu’elle entreprend. « Quand on veut, on peut » n’était qu’un de ses principes.

En effet la jeune femme a beaucoup de principes et vous aurez vite fait tôt de les voir. En effet, à la cafétéria du manoir, alors qu’elle mange avec les différents employés, assez proche d’eux comme une mère, déjà en sermonne-t-elle un pour qu’il nettoie la table qu’il a dégueulasse. Elle aime cuisiner et c’est elle qui compose les menus même si elle n’a pas le temps. Un certain luxe émane d’elle et des environs qu’elle côtoie mais, c’était le juste prix pour son talent, tout du moins le pensait-elle. Ses parents étaient fiers d’elle bien que parfois son père se moque de ses habits mais, cela ne l’atteint plus…ou pas. Combien de fois ces deux-là se sont engueulés dans le quartier. Il est arrivé apparemment qu’une mamie ait envisagé d’engager des genins pour leur demander de baisser le ton un jour, outré par leur dispute incessante de bon vivant. Son père autocritique réaliste de la vie ne pouvait s’empêcher de lui donner divers conseil sur sa gouvernance et aurait pu être jaloux de sa fille pensait certains mais, au contraire, il en était terriblement terriblement terriblement fière… C’est peu dire. Elle-même était assez fière d’elle. Cela pouvait parfois la rendre distante des plus basses classe mais, elle était une personne assez compréhensive et bien que brillant parfois d’un manque de tact, se révélait d’une gentillesse incomparable et naïves à souhait. Elle l’était devenue un peu moins avec le temps mais, les mensonges passaient à travers elle. Elle avait beaux percer à jour quelques mensonges et se persuader de les remarquer avec aisance que déjà un genin avait su expliquer son échec parce qu’il devait aider son père au travail. Elle pouvait être exaspérante et, fatiguant à la fois.

Alors pourquoi avec tant de défaut trouver pouvions nous tant compter sur elle ? Pourquoi vous demandez vous bien que d’une certaine rigueur et intelligence le conseil et l’élite la trouvait si immature ? Remettons les points où ils devraient être. C’est vrai qu’elle a beaucoup de défaut. Elle n’est pas parfaite mais, elle est aimée. Elle est gentille, douce et, même bon public en plus d’être féminine à souhait. Une kunoichi dans toute sa splendeur ne pouvait se représenter que de par ces traits. Elle rigolait pour un rien et son sourire transmettait un bonheur incommensurable à quiconque le regardait. Elle était bon vivante et, buvait sans compter (combien de fois avez-vous du la rattraper avant qu’elle ne vomisse plus tard…). Elle tient bien l’alcool mais, ne sait pas se maîtriser. Elle aime danser. Elle danse bien. Elle aime cuisiner. Elle cuisine bien. Elle réussit. Peu de gens savent qu’elle a beaucoup échoué étant jeune car, il est maintenant des plus normal que quoiqu’elle entreprenne elle réussisse. Elle semble être une bénie des dieux et on pourrait l’envier. Elle sait qu’on la regarde et, elle tente de briller au mieux. Elle fait attention aux ragots et en est très friands. Au fond, c’est vrai qu’elle est assez jeune et vivace mais, vous savez qu’elle réussira. Vous sentez qu’un avenir incroyable l’attend, bien plus encore que ce qu’elle a vécu auparavant et, sans le savoir vous vous mettez déjà à croire en elle.

Elle a ce don de rassembler les gens autour d’elle et d’être une étoile : tout gravite autour d’elle et, on ne peut que comprendre son égocentrisme parfois tant les personnes qui l’entourent semblent aimanté par une force inconnue. Vous avez du mal vous-même à lui résister. D’un autre côté, en tant qu’homme, le simple fait de la voir bouger ses lèvres pulpeuses ne vous donne guère d’option que d’écouter, vous êtes faibles. Les hommes sont faibles. Elle en a déduit cela depuis de longues dates. Un tantinet féministe, le paradoxe viendrait de son désir du prince charmant : une nuance qui en dit long sur ses convictions. Tour à tour femme forte, véritable génie et jeune adulte, pleine de vie, immature, elle n’en démord pas et sa qualité principale « rigueur » et « volonté » la désigne d’office pour porter la volonté du feu qui brûle en elle plus qu’à chacun.  La regardant alors, là assise à nouveaux sur son fauteuil, regardant au loin le ciel, vous êtes fier qu’elle soit votre Hokage.


© Never-Utopia


Dernière édition par Flandre Ayakashi le Mar 2 Juil - 10:00, édité 9 fois
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Assia Toshizo
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MessageSujet: Re: Flandre Ayakashi [100%]   Flandre Ayakashi [100%] EmptyMar 18 Juin - 17:01

Bienvenue à toi sur Naruto Uprising RPG cat

Tu as quatorze jours pour terminer ta présentation mais si tu as besoin d'un délai supplémentaire, n'hésite pas à le demander. 

Pour toutes questions supplémentaires, tu peux t'adresser à nous, membres du staff et plus précisément à Hijikata Toshizo ou moi-même en ce qui concerne la présentation. 

Bonne chance pour la rédaction de ta présentation et j'ai hâte de pouvoir lire la suite. 


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MessageSujet: Re: Flandre Ayakashi [100%]   Flandre Ayakashi [100%] EmptyMer 26 Juin - 11:17

Bonjour, j'aimerais demandé un délai supplémentaire. En effet, j'ai fini mon histoire et, je vais peut-être avoir besoin d'un peu plus de temps pour le reste. D'autant plus que je veux pouvoir écrire quand l'envie m'en prends et non pas sous les contraintes d'une date. ^^
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Hijikata Toshizo
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MessageSujet: Re: Flandre Ayakashi [100%]   Flandre Ayakashi [100%] EmptyMer 26 Juin - 13:20

Aucun problème pour un délai supplémentaire, tu as dons 15 jours de plus ce qui fait le 11 juillet.

N'hésite pas à redemander un délai si tu estimes avoir encore besoin de temps, bonne chance dans ta présentation.





Cordialement Hijikata Toshizo.
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MessageSujet: Re: Flandre Ayakashi [100%]   Flandre Ayakashi [100%] EmptyMar 2 Juil - 9:58


"Je courais. Je ne m’arrêtais pas. J’étais essoufflée. J’entendais le craquement des feuilles sous mes pieds. Bientôt ils seraient là, s’approchant pas à pas. Ils ne tarderaient pas à me tomber dessus. Il était trop tard. L’un d’entre eux avait déjà accéléré l’allure, avertissant les autres : surement un ninja aux capacités sensorielles. Le Juunin nous faisait face. Je m’arrêtais à un tronc d’arbre, crachant du sang par terre. Alors c’est ainsi que s’achèverait ma vie ? Là dans cette forêt ?"


24ans plus tôt

Chétive et mignonne, elle baignait dans les bras de ces parents, le premier genin de Konoha et marchand de journaux ; la seconde, infirmière.  Le bébé criait. Il était d’une taille assez petite et, d’une corpulence assez chétive mais, déjà quelques cheveux étaient visibles sur sa tête. De ses parents, on pouvait aisément remarquer de par cette petite chevelure qu’elle avait gagné les cheveux rouges, légèrement rosacé de sa mère mais, ce n’était qu’un détail futile quand on sait qu’étant nait dans un village ninjas, elle serait affligés du monde maudit des shinobis. Ainsi donc la petite put grandir dans un environnement plaisant. Elle était mignonne avec ses petits yeux en amande. Elle pouvait sembler timide auprès des autres chérubins mais, elle n’hésitait pas à pleurer dès qu’un problème survenait.  Elle n’était pas très battante mais, elle vivait pleinement chaque instant. Elle n’était définitivement pas faite pour ce destin tout tracé.


A ses 6 ans, son tempérament et, sa beauté lui valait déjà l’attirance de quelques petits garçons dans les amourettes d’un petit bisou sur la joue. C’était mignon. Et puis un jour, son père lui confia les clés de la maison. Elle allait devoir revenir toute seule comme une grande du jardin. La maison était à moins de 10 minutes. Ce n’était pas bien compliqué et, pourtant. La petite fille arrivé devant son chez soi, elle n’arrivait pas à ouvrir avec la clé, la jeune incapable. Elle essayait encore et encore en vain puis, abandonna et attendit son père. Quel ne fut pas sa surprise de voir sa petite fille attendre devant la porte. Il lui ordonna de ré-essayer et de ne pas abandonner et, elle continuait en vain. Elle se mit à pleurer et, voulait sa maman. Son père la gifla et, elle tomba à terre, encore trop petite, pleurant de plus belle. La prenant par le bras, il ramena sur ses deux pieds la jeune fille et, lui ordonna de réussir à ouvrir la porte. Elle continuait de pleurer et, s’embrouillait. Excédé il prit la clé et, ouvrit la porte puis la referma aussitôt, rendant les clés à la jeune fille.


Ce n’est pas bien compliqué…PUTAIN !


Le père donna un violent coup de pieds dans la porte. La petite fille avait arrêté de sangloté mais, avait peur et, était figé. Finalement, dix minutes plus tard, elle put réussir à ouvrir la porte. La gifle de son père ne fut pourtant pas l’unique punition. Ce dernier ne lui adressait quasiment plus la parole, tout du moins pendant quelques jours ou très peu. Ce geste de dénis faisait mal, très mal. Sa mère n’était pas d’accord sur ce dernier point et, elle s’engueulait avec lui. C’était une dispute familiale des plus classiques. Il y a des jours comme ça… Pourtant par le biais de ce petit interlude, son père avait essayé d’inculquer quelque chose de non moins insignifiant que la volonté du feu. C’est cette volonté que portait chaque villageois de Konoha et qui faisait d’eux des insatiables combattant d’une endurance remarquable. Jamais le village ne tomberait tant qu’aucun de ces habitants n’était mort. Il suffirait qu’un seul d’entre eux soit encore en vie, porteur de cette volonté flamboyante pour que le village renaisse de ces cendres. Peut-être que son père n’était qu’un simple genin mais, il avait honte. Il avait honte d’avoir arrêté partiellement pour gagner mieux sa vie. Il aurait voulu continuer et, montrer sa combativité, il n’était rien de plus qu’un pauvre ninjas, déçu de lui-même et qui aurait voulu un fort fils pour redorer sa fierté et, c’est en cela que le mal fut blessé. Cet acte d’abandon, il l’avait vu comme un échec. Il voyait ainsi sa fille comme une empotée pourri gâtée. Cela ne l’empêchait pas de l’aimer mais, il désirait ardemment que cela change et, qu’un déclic se fasse un jour. Elle n’avait que 6 ans et, il était prêt à attendre mais, il ne comptait pas attendre trop longtemps quand on sait qu’il existe de nombreux clans tous aussi puissant et, porteur de petit génie comme les Uchihas.  C’est ainsi qu’il éduquerait sa fille : effort, effort, effort. La chance n’était pas le lot de ses parents et, son père avait abandonné de continuer pour sa famille tandis que sa mère n’avait pas réussi le test pour être genin. Au contraire de certains qui relativisent car heureux de leur bonheur, ils étaient d’insatiables bosseurs qui avaient raté le coche : ce ne serait pas le cas de leur fille !

Ainsi déjà sa mère lui avait appris à lire et, à écrire puis, vînt le tour de son père qui lui apprit les rudiments qu’il connaissait en mathématiques. La jeune fille n’était pas excellente mais, de par son caractère et l’éducation qu’on lui inculqua, très vite elle apprit à être quelqu’un d’assez strict envers elle et avec une certaine rigueur. A cette époque-là, elle assista aussi à une tragédie au sein du village. Kyubi fut libéré à l’accouchement de Kushina, femme du 4ème Hokage. Tous deux mourront ce même jour. La petite fille de 6ans eut plus de chance que le jeune orphelin car, ces deux parents survécurent à l’incident. Néanmoins, leur maison et tout leur bien fut anéantie par le destin. Ce n’est pas le comment cela a pu arriver mais, pourquoi le destin s’acharnait sur cette famille de perdant. Il fallait croire qu’avec les efforts on ne pouvait pas réussir, forcer le destin était impossible et, il fallait accepter ce qui nous venait dessus. Sa mère pleurait à chaude larme ce jour-là et, c’est avec amertumes qu’ils vécurent dans des camps le temps de la réparation, tout du moins des bâtisses car, tout avaient été saccagés. Une aide financière leur permettait d’avoir tout juste de quoi manger et, allumer le radiateur était impossible. Son père continuait en vain d’y croire. Ses parents étaient moins présents car tous deux travaillaient durement pour redorer le foyer familial et obtenir des emprunts tandis que la petite fille, ayant gagné de la rigueur, elle continuait de travailler tout seul, durement. Elle en voulait à cet enfant, ce démon-renard. Il était le mal incarné. Il lui avait tout pris selon elle. Elle bossait avec la rage du désespoir et, déjà à huit ans pouvait se targuer de connaitre ce qu’était une « métaphore » ou la « génétique ». En mathématiques, elle était arrivée aux équations différentielles, un niveau même supérieur à ce que l’on apprenait à la fin de l’académie ninjas. Il y a peu de Fac et Université dans le village car tout le monde devient ninjas durant un temps sauf une minorité qui s’occupe des besoins principaux du village et, de son bon déroulement (fonctions publiques, marchands, médecins, etc) mais, une minorité se reconvertit au sein même du village ou dans les villes de la nation du feu.  Cet avantage qu’elle venait de gagner n’était pas anodin car, arrivée à ses huit ans, elle n’eut aucun mal à suivre la majorité des cours de l’académie, lui permettant ainsi de se préoccuper plus sérieusement de son entraînement en tant que kunoïchi. Elle n’était pas excellente là-aussi et, aurait eu tôt fait d’abandonner mais quand elle repensait à cette putain de porte, à ce putain de garçon, elle pleurait mais, ça lui donnait encore plus les tripes de réussir. Elle avait la rage. Rien ne l’arrêterait et, elle irait au bout de ses convictions car, elle avait la rigueur et, l’effort acquis à la sueur de son front, quelque chose que les petits génies comme les Uchihas ne connaissent pas (fin cette remarque, elle regretta amèrement de l’avoir dit quelques années plus tard). La petite fille continuait de pleurer, hanté par les échecs et le désespoir  tombant sans cesse. Entre autres, arrivé à ses 13ans, d’autres problèmes plus féminins survinrent. Alors que certaines camarades de sa classe commençaient déjà à voir les effets de la puberté, elle restait une éternelle « planche à pain ». Une forme de ségrégation s’installa autours d’elle et, à cet âge, on ne fait pas de cadeaux. Au même moment, ce seront les règles qui lui feront défaut. Flandre n’aimait pas son corps et, en avait peur. Elle pleurait les soirs, quand on se moquait d’elle la journée et, le plus dur, ce ne sont pas ces filles qui se mettent fièrement en avant, c’est les garçons avec leurs répliques cinglantes et imbues d’eux-mêmes, ne se rendant même pas compte de leurs actes. Cette bande d’ignorants n’avaient pas su voir la fleur qui s’épanouiraient et, certainement le regrettaient-ils maintenant mais, le mal était fait. Cette phase inconsistante où elle se sentit mal dans sa peau fut un réel frein à ses progrès. Ainsi elle qui était très souvent dans les premiers de sa classe, se retrouvait plus souvent dans la second moitié  ou tout juste au milieu de sa classe, une belle médiane aux cheveux rosacées. Plus tard, à la fin de ses années académiques, elle pourra avoir ses attraits et, bien que toujours complexé par des seins certes assez minimes, la jeune fille commençait déjà à ressembler à une femme une fois genins . Le passage à genin ne fut pas sans mal. Leur instructeur leur avait donné une sacrée leçon mais, elle n’eut aucun mal à la traverser. Cet homme, tout juste promu juunin, était un adepte de la réflexion et, de l’exercice. Il avait beau être considéré comme un génie par certains, cela ne l’empêchaient pas de prêcher les efforts. L’épreuve pour finaliser l’examen de genin consistait selon leur sensei à prouver leurs aptitudes autours d’un jeu d’échec aux règles semblait-il très longue à digérer. Ce jeu d’échec de sa conception consistait surtout à mémoriser toutes les possibilités es 24 pièces en notre possessions. Le but n’était pas de battre le professeur. En fait, ce dernier testait leur acharnement et, c’est en ce sens que la petite fille porta les autres jusqu’à la réussite. Rageant sur le jeu et pleurant, elle se gifla. Les autres ne comprenaient pas bien cet accès de désespoir mais, c’est ce qui la stimula et lui força la main. Tout en chialant, elle continuait de disposer les pièces et de réessayer encore et encore avant de sourire et, de crier.


Rien n’est impossible !



Par le biais de cette épreuve où leur avenir se jouait, elle s’était surpassé et, avait redonné espoir à ses coéquipiers bien que choquer d’elle tout de même par la suite. Leur sensei, d’une carrure assez pauvre, voir squelettique mit la main dans ses cheveux argenté avant de remettre ses lunettes rectangulaires en place les ayant au préalable nettoyé puis, souriant à l’équipe, il leur apprit leur admission. Ce fut la première réussite de la jeune fille en tant que ninjas, en tant que femme. De plus, cela ferait un revenu supplémentaire pour sa famille et, son père fut très fier d’elle. Il n’avait plus grand-chose à lui apprendre du côté de l’art des shinobis et, s’en remettait corps et âmes à son sensei assez jeune. Voulant faire de sa fille unique un cas d’exception et de rigueur, il n’hésita pas à contacter son sensei au début car, réticent vis-à-vis de si jeune personnage qui le rassura très vite de par ses capacités d’éloquences et d’analyse. Le père ne pouvait s’empêcher d’avoir une certaine jalousie envers ce béni provenant du clan Yamanaka. Il doutait un instant des capacités de sa fille devant la puissance des clans au sein de Konoha.


Les coéquipiers de la fillette étaient comme deux amoureux transis n’ayant dans leur unique entourage qu’une sœur pour l’un et, une voisine. De plus, Flandre commençant à devenir une femme au fil des missions, une certaine rivalité s’ensuivit irrémédiablement entre les deux garçons pour la conquête de la fille bien qu’en même temps une certaine amitié très forte c’était liés entre les deux. Leurs liens avec Flandre n’étaient pas aussi forts. Elle n’avait été que le catalyseur et le déclencheur d’un groupe serein et, très vite les deux garçons progressèrent rapidement. Flandre était de ces irrémédiable rageuse et, son père ne faisait qu’en rajouter une couche.


Au pire tu reprendras la vente des journaux à ma place…


Disait-il en soupirant, plus aussi combatif qu’auparavant et, ayant quelques peu vieilli. Flandre, elle ne voulait pas. Elle s’entraînait dur chaque jour et, maîtrisait son chakkra bien mieux que les deux autres alors, pourquoi…pourquoi n’arrivait elle pas à les surpasser ? Était-ce dû à sa corpulence de femme ? A nouveau un certain complexe s’installa en elle. A quoi bon être belle dans le monde des shinobis pour réussir ? Certes un peu vieille pour la racine, elle tenta d’intégrer ces forces. Le vieil homme la jaugea. Les cheveux noirs, un bandage autours d’un de ses œil, un accoutrement cachant l’un de ses bras puis, il finit par lâcher :


Refusé.


Elle tapa le sol, elle pleura, elle hurla comme une gamine. Encore un échec… Elle se releva, alla à la bibliothèque. L’échec : ce mot la dégoutait. Elle ne l’avait que trop côtoyé à son goût. Elle arrivait en retard pour les missions, fatiguées. Elles rentraient fatigués chez elle. Un climat tendu s’installa avec ses parents. Elle coupa les liens qu’elle avait avec les gens et, son sensei avait du mal à faire face à ce renfermement sur elle. C’est en allant à la bibliothèque que ce dernier comprit. Elle tentait d’apprendre le fuinjutsu. Elle avait beaux savoir viser mieux que quiconque avec des kunais et maîtriser son chakkra avec une précision chirurgicale, il fallait se rendre à l’évidence que la force brute de ses compère, leurs initiatives et, leurs instincts surpassaient ses compétences et, faisaient d’eux de bien meilleurs combattants et, bien que l’on dise que pour être juunin ce n’était pas le seul critère, c’était tout de même un critère qui semblait faire défaut à la jeune fille. Son sensei ne s’y connaissait pas des masses en sceau mais, ayant accès aux archives de la bibliothèque permit à la jeune fille d’avori accès à des ouvrages plus poussé encore. Ceci dit, cela se fit sous son encadrement et, il fit en sorte qu’elle s’épanouisse un peu plus, l’empêchant parfois de rester trop longtemps à la bibliothèque. Ses deux amis avaient appris ce qu’elle faisait et, cela les faisait doucement glousser à cette époque mais, c’était bon enfant et, elle avait appris à surmonter les épreuves critiques de par le passé, n’étant pas si susceptible au final. Elle apprit à invoquer des armes à distances et, les envoyer au loin. Elle visait juste et, avec une précision mortelle. Pour la première fois on put reconnaître ses talents. Elle piégeait leurs adversaires dans la forêt de la mort sans aucun remords. Elle perdit au tournois mais, cela ne l’empêcha pas d’être promus chuunins, ces deux compères ayant trouvé plus fort qu’eux au tournois tout comme elle mais, ses capacités utilitaires ayant été reconnus.


Les efforts payent un jour ou l’autre. Elle était terriblement contente. Ce jour-là, son sensei leur paya un repas gourmands tandis que par la suite ses parents pleurèrent de joies en la prenant dans leurs bras. Elles regardaient par la fenêtre. Elle avait réussi déjà un grand pas dans son avenir et, le regardait de manière bien plus sereine. Elle avait 16 ans maintenant. Les garçons l’avaient vite rejoins. Elles ne s’inquiétaient plus autant pour le grade juunins et, commençaient à sortir et à penser à d’autres choses futiles. La fleur s’était épanouis et, attirait les regards. Elle allait moins souvent à la bibliothèque mais restait régulière. Il était loin le temps de la petite fille qui n’avait pas su ouvrir une porte. Maintenant, elle était là, la femme qui devint chuunin, première de son équipe en plus ! C’était un regein d’espoir et, qui avait forgé son caractère comme jamais. Elle connut même quelques amourettes à cette époque. Les garçons avaient grandis aussi. Sensei avait quelques peu vieillis et, allait avoir un enfant, un an après son mariage. Elle avançait joyeuse. C’est un peu plus tard qu’elle connut l’homme qu’elle allait aimer. A ses dix-septs ans, elle connut un jeune homme de Konoha. Il était plus vieux qu’elle. Il était juunin, un bandana très souvent sur lui, à peine une vingtaine d’année. Il faisait partie de l’un de ses clans qu’elle n’aimait pas mais, que voulez-vous ? L’amour ne choisis pas et, son jugement fut ainsi affiné. Elle apprit à connaître ce monde du lien du sang et, comprit qu’ils n’avaient aucune haine à l’égard des autres. Le clan Inuzuka et ses chiens étaient d’excellent aide en termes de senseurs et de combattant. En plus d’être bon en repérage, ils étaient très souvent envoyés en éclaireur. Konoha avait subi de lourds dommages par l’attaque d’Orochimaru et de Pain mais, l’homme qu’elle détestait les avait sauvés. Ce jeune hommes aux cheveux blonds avaient fait ses preuves auprès des villageois mais, elle ne pouvait pas… Elle n’y arrivait pas. Elle ne réussissait pas à l’apprécier. Kyubi avait réduit à néant sa demeure et, le passé ne pouvait être effacé.  Et pourquoi ce héros n’avait-il pas su protéger ses camarades ? Pourquoi ? Elle s’en voulait à elle aussi, d’être aussi impuissante à pouvoir protéger…


A ses dix-neufs ans, la grande guerre allait commencer et le début d’une nouvelle ère. Son petit ami vînt à elle. Avant la guerre, il voulait mettre les choses au clair et s’agenouilla devant elle. Il n’avait pas eu le temps de sortir la bague que déjà lui sautait-elle au cou, pleurant à chaude larmes. Elle n’avait pas changé. Elle avait mûri mais la gamine était heureuse. Elle croyait en l’avenir à cet instant. Le monde shinobis allait lui rappeler que les pertes pouvaient être bien plus graves que matérielles. Comment dire… Comment réagir… C’est le vide qui vient en cet instant… A la fin de la guerre… Elle était veuve avant même le mariage.


Les pertes avaient été nombreuses et, une grande partie de la vie avait été détruite. Il fallait penser à se reconstruire à cette époque. Elle avait perdu ce qu’elle aimait et, bien que ses parents ainsi que sa belle-famille la soutiennent, elle tenta par deux fois de se suicider. La sœur de son défunt fiancé veillait sur elle parfois et, tentait de la réconforter mais, ce n’était pas facile. Le temps passait et elle ne se vit pas vieillir. Elle sombra dans les bras d’autre homme mais, en vain elle n’arrivait pas à oublier les démons du passé. Un jour, sortant d’un club select, l’une de ses rares amies avec ses anciens coéquipiers la capturèrent et prétextèrent son enlèvement. Elle se retrouva sur une chaise, seul face à eux. Les garçons approchèrent. Luke, le plus téméraire, la gifla. Il serrait les poings et les dents avant de lâcher en relevant la tête haute.


Où est cette rageuse qui voulait réussir ?!


Elle soupira avant de sourire tristement en simple guise de réponse. Ces paroles étaient tombés sur un mur. Il voulut lui donner un coup de poing, ne connaissant aucun moyen de la raisonner. Leur sensei était mort sur le champ de bataille aussi. Le second plus calme et, s’étant assagi, rétorqua.


Cela ne sert à rien de tenter de l’oublier.


Cette fois-ci, cela fit mouche. Sa belle-sœur la regardait d’un air misérable.


Ce trou que tu as… Tu ne peux pas le combler en forçant les autres. Nous pouvons le combler, ta famille peut le combler. Tes parents te cherchent en ce moment. Ils n’ont pas abandonné eux.


Elle resta là la tête baissée, dans le vide, attendant je ne sais quoi. Leurs paroles avaient néanmoins germés dans son cœur et, lorsque survînt un problème important elle fut là pour eux. Elle avait repris les missions, avec ses coéquipiers. Elle était encore affaiblis et, tentait de penser à autre chose encore mais, elle comprit leur parole le temps venu. Lors de cette mission de récupérations, une embuscade leur fut tendue. Ils devaient récupérer des parchemins auprès d’un espion : un juunin hautement qualifié de Suna. Ce ne fut pas sans risque car ils ne le rattrapèrent qu’à la frontière où un petit groupe de ninjas l’attendaient. Ils avaient réussi à lui subtiliser le parchemin au final mais, ils étaient maintenant poursuivis par le groupe et le dit juunin. Ils n’avaient que peu de chance de fuir et, les deux garçons décidèrent de rester pour lui donner l’opportunité de vivre. Elle s’arrêta un instant. Comment pouvaient-ils être aussi égoïstes ?! Elle pleura à nouveau et, cria. C’était son seul moyen d’expression, elle n’était pas capable de faire quoique ce soit. Elle qui n’avait pas pleuré depuis la mort de son fiancé. Elle se releva et, se mit devant eux. C’est ensemble qu’ils s’en sortiraient ou jamais. Elle leur souria à nouveau. Elle avait décidé de prendre son destin en main et de se battre. Elle se rappela de cette porte qui ne s’ouvrait pas. La porte de son cœur se rouvrait et, elle était décidée. Elle y entra de plein pieds, la foi et le courage de se battre. Le monde des shinobis avait beau être maudit, c’est ensemble qu’ils y survivraient. Ce monde est injuste et ne permettait pas à tout le monde de vivre tranquillement mais, elle changerait cela. Elle abolirait ce système ingrat. Elle comprit les mots de ce héros aux cheveux blonds, se remémora le 4ème Hokage, le 3ème Hokage et même les plus anciens qu’elles avaient pu apercevoir durant la grande guerre dévastatrice. Finalement, derrière ses compagnons, un arc à la main. Elle visa chacun des assaillants. Tous moururent en une flèche, dans le cou. Il ne restait plus que le juunins qui au final avait réussi à arriver jusqu’à elle. Il allait lui porter un coup quand l’un des garçons s’interposa. Instinctivement elle donna un violent coup à ce dernier et, se prit le coup du juunin.  Elle était encore debout saignant terriblement. Le juunin de Suna semblait fier de lui.


Avec cette fille hors d’état de nuire, cela me sera plus simple pour vous abattre.


"J'avais 24 ans alors."
Elle regardait le sol et, le kunai profondément enfoncé dans son ventre. Elle avait peu de chance d’y survivre mais, elle était proche de lui, vraiment proche. Elle sortit un parchemin qu’elle apposa délicatement sur le front de son assaillant qu’elle tenait fermement. La tête toujours basse et, regardant le sol. Tout son corps fut recouvert de symboles et, il ne put plus bouger, tombant à terre avec elle, baignant dans son sang. Bizarrement elle n’avait pas mal, elle regardait souriante son sang reluisant, contente d’avoir pu sauver ses camarades. Elle sentait la peine dans son cœur se colmater.

Elle survécu à cette épreuve mais, en tuant ce juunin de renommé et porteur du Shakuton, elle avait réveillé Suna qui, voulut mettre en œuvre ce qu’il fallait pour récupérer le corps, niant toute implication et, prétextant un genjutsu qui aurait pu contrôler le pauvre homme. Nier en bloc et tenter d’obtenir le corps… C’était pathétique mais, Fujita Kodo alors Kage, accepta de rendre le corps, sermonnant ses homologues de Suna avec qui il avait toujours eu de très bon contact. Fujita aurait pu couper le lien momentanément avec Suna mais, c’est Flandre qui leur pardonna et, supplia le Kage de laisser Suna tranquille. La volonté du feu brûlait en cet homme qui bouillait à l’idée qu’un Konohajin ait pu être si mortellement blessé. Il n’avait vu que trop souvent le sang couleur surement. Néanmoins, on ne sait pas pourquoi mais, ce dernier dont le village était si fier, disparu. Une régence fut mise en place et, la vie de Flandre reprit son cours. Elle devînt Juunin suite à cette mission. Elle s’ouvrit bien plus aux gens amicalement et, devînt bien plus repoussante envers ses hommes qui voulaient abuser d’elle et, de son désarroi d’auparavant. Elle tentait d’arrêter l’alcool qui fut son compagnon un certain temps ainsi que la cigarette. C’était mauvais pour ses compétences. C’est là qu’elle décida de faire un voyage initiatique dans diverses contrées afin de faire le point sur sa vie alors qu’elle était à peine promue Juunin et qu’un groupe de genin devait lui être assigné. Le régent en place fut très compréhensif.

Une nouvelle vie…



Du haut de ses 24ans, un sac sur le dos, sa famille inquiète et, présente pour son départ, ses amis aussi. Ils étaient plus d’une quinzaine à être venu au départ de la jeune femme. Elle ne portait plus ses habits de ninjas, tout juste son bandeau frontal renfrogné sous son T-shirt rose, au niveau de son épaule droite, bien caché proche de ses seins.  Sa mère lui offrit un pendentif qu’elle avait acheté avant son départ, à l’intérieur était incrustée la photo d’elle petite avec ses parents. C’était assez classique mais, très important aux yeux de Flandre et ses parents. Elle n’oublierait pas son éducation et, c’est ce qui lui avait donné la force d’aller de l’avant. La porte du village s’ouvrit à nouveau mais, cette fois-ci elle ne la reverrait pas de sitôt. Le voyage fut long et, elle traversa toute la foret, découvrant des chevreuils, des cascades et, moultes merveilles qu’elle n’avait auparavant pas remarqué dans cette si belle foret. Arrivé à la vallée de la fin, elle regarda une dernière fois derrière elle et, ricana un instant dans le vide, seule devant ses prédécesseurs. Il faisait nuit mais, elle décidait symboliquement de continuer sa route et, de ne pas s’arrêter dans cette vallée, surement trop superstitieuse. Elle s’évertua à visiter le pays du son en proie à l’infamie et, aux guerres intestines incessante. Là-bas elle se fit connaître quelques peu pour sa bonté envers les habitants. Elle y eut des disciples et, forma une petite milice afin de restaurer la paix. On la surnommait alors la « douce mélopée » car, elle ralliait ennemi et alliés dans son sillage, les forçant à son réconcilié, par la force si il le fallait. Cet exploit ne resta pas anodin et, se fit jusqu’aux oreilles de Konoha. Il fallait croire que son voyage initiatique se transformait en croisade contre le mal et, son sens strict de la vie, son jugement rationnel, sa rigueur et son sang-froid allié à sa bonté (bien que naïve) touchait les populations les plus démunis en quête d’un guide. Elle ne pleurait plus. Elle avait grandi et, était devenu plus mature. Beaucoup de gens d’Oto la suivirent au cours de son périple mais, elle abandonna les lieux un an plus tard, comme une brise fraîche apparaissant quelques fois ici et là. En tous les cas, elle avait effacé l’ardoise de Konoha auprès de ces gens du son et la « douce mélopée » s’en allait alors vers d’autre horizon.

Elle courait et appréciait son voyage. Chaque jour, elle progressait et en apprenait un peu plus sur le monde qui l’entourait. Elle devenait de plus en plus mature à force que le temps passait et, était dorénavant au pays du fer où elle y apprit auprès de vieux moine d’un dojo à maîtriser l’arc et d’autre armes du bukijutsu. L’art restait approximatif en 1 an mais, bien qu’unique femme auprès de ces hommes, elle ne se laissa pas abattre. Le plus dur aura surtout été d’aller au-delà des préjugé et des règles du monastère où elle désirait entrer mais, avec sa rage et sa poigne, elle ne démordit et revenant à la charge chaque jour, elle y fut accepté, s’entraînant plus de 8heures par jour pour combler son peu de temps. On pourrait croire qu’elle s’est ennuyée mais, au contraire, toujours fixé sur son objectif, elle n’abandonnait pas. De plus, il lui semblait qu’elle avait un don inné pour viser qui n’était certes pas très utiles avec des kunaïs mais les flèches ayant une capacité perforante bien supérieure avec la vitesse acquise, c’était bien plus puissant. Elle n’apprit entre autre une qualité qu’elle n’avait pas auparavant : le sang-froid. Elle savait maintenant relativiser et rester zen en toutes circonstances. Elle n’était pas encore parfaite et, il n’était pas difficile de la voir s’énerver mais, lorsque quelque chose lui tenait à cœur elle était capable désormais de prendre sur elle et, de réfléchir froidement afin de ne pas se laisser aller à la faute. C’est un changement radical qui fit toute la différence, en combat par exemple où lorsque vite elle était débordé, sa rage la poussait à commettre plus d’erreur. Notre petite battante en herbe commençait donc à avoir pas mal de ressource entre le fuinjutsu, le bukijutsu et, les divers qualités qu’elle s’était trouvé. Elle ne pouvait pas s'empêcher de regarder son pendentif et de ne jamais oublier sa famille.



Le temps jouait contre elle et, elle se regardait vieillir. Elle n’avait pas eu la vie qu’elle avait espérée. Elle aurait tellement voulu vivre avec lui dans un autre espace-temps, vivre avec celui qu’elle aime. C’était là son seul regret bien que ne vivant plus dans le passé. Si en tant que narratrice je cite ce point c’est que la suite des événements risque d’être fortement lié. En effet, elle avait maintenant 26 et, atteignait bientôt ses 27ans que cette chère jeune femme découvrit lors de son périple, ayant quitté depuis peu le monastère, un endroit fort intéressant. Elle apprit l’existence de document sur des jutsu-spatio-temporelle. Ces documents se trouvaient actuellement sur l’île des tourbillons, non loin du pays du feu mais, elle ne désirait pas passer voir sa famille. Ce n’était pas méchant, c’est juste que les revoir signifiait pour elle la fin des événements, un arrêt temporelle. Marchant tranquillement jusqu’au port, elle prit donc le bateau en direction de l’île des tourbillons mais, il n’y avait plus quelques malheureux village et, pour avoir accès aux documents, il fallait l’accord du seigneur féodal. C’est donc avec peine qu’elle obtînt un entretien avec lui, ce dernier étant fréquemment sur les terres du pays du feu, avec le seigneur du dit pays à bavasser et parler politique (enfin bref de chose qui n’intéressait guère la jeune femme). Elle regardait les flots de la mer  alors qu’elle avait appris la triste vérité : les documents avaient été brûlé. Pourtant elle aurait tant voulu le revoir, ne serait-ce qu’une fois. Pouvoir sentir sa peau contre elle était-ce péché ? C’était un sentiment de nostalgie qui rongeait ce trou comblé par ses amis. Elle savait que c’était une honte que d’y repenser, elle savait qu’elle ne devait pas mais, c’était dur de l’oublier. Certes le temps permettait à cette dernière de voir les choses de façon plus posé et de ne pas déprimer mais, oublier était impossible et, ce désir de le revoir était puissant. Elle revînt dès lors à Konoha, tenant fermement son pendentif. Sa famille était ce qui comptait le plus pour elle et, elle les protégerait coûte que coûte. Elle disait cela tout en traversant la forêt. Elle passa par la vallée de la fin, une nouvelle fois. Une certaine nostalgie la prenait. C'est vrai que le temps était passé vite mais, elle ne regrettait rien de ce voyage. Elle avait découvert tellement de chose, apprit tellement qu'elle était fière d'elle. Ce qui l'importait à cet instant c'était de revoir tous ces gens. Elle n'oublier pas ce qu'elle s'était dit auparavant ce départ, cette volonté de protéger et de changer les mœurs, cette volonté d'être Kage qui restait en elle.



Ses exploits n’étaient pas apparus anodin auprès de Konoha. Il semblait qu’Oto avait pris, suite à son passage,contacts avec Konoha et, les liens tissés étaient devenu stable. Le surnom de « douce mélopée » l’avait suivi jusqu’ici et, déjà parmi les ninjas on la respectait. Elle était fier d'elle d'autant plus que ses parents la regardaient briller maintenant.Ses anciens camarades avaient terriblement changés.Ils étaient moins fort qu’elle et avait accédé à un bonheur plus simple. Elle les enviait secrètement et, espérait qu’un jour, un autre homme arriverait pour la combler. Elle espérait qu’il lui ferait oublier son passé et qu’elle irait de l’avant avec lui. Elle espérait beaucoup. L’espoir que transportait la « douce mélopée » ne serait pas oublier car, en elle, désormais, brûler le feu ardent de Konoha et, aucune porte ne lui résisterait. La femme qu’elle était devenue savait maintenant se faire entendre et, prendre le pas. En plus du caractère, elle était devenue forte.

Elle continuait d’étudier à la bibliothèque. Elle feuilletait les bouquins, des lunettes rouges pour seul aide et, une bonne dose de concentration. Ses yeux doux traversaient chaque recoin du livre et, c’est là où elle tomba sur un article de l’edo tensei. Cette technique qu’elle avait vue à l’œuvre auparavant. Cette technique avait été classée interdite depuis lors mais, il était tentant de vouloir retourner en arrière et récupérer son être. Cette seconde tentation fut comme une belle pomme que lui tendrait une vilaine sorcière. La pauvre blanche-neige croqua de pleine dent et les secrets lui fut révélé. Elle ne connaissait pas bien l’apprentissage mais, elle avait déjà récolté des informations précieuses sur les conditions d’exécutions sans trop de peine. Certains la mettaient en garde, d’autres étaient réticent à lui en parler et, déjà l’ébruitement de ce qu’elle désirait arrivait jusqu’aux oreilles du régent et, déjà des ANBUS la surveillait en permanence. Encore aujourd’hui elle cherche des informations sur cette technique et, encore aujourd’hui il y a un ANBUS au minimum qui surveille l’avancée des recherches de cette battante. C’est l’espoir qu’elle porte et, sa ténacité qui sont aussi un facteur pour le service d’espionnage et qui ont donné lieu à cette mise en place. Elle, cela ne la dérangeait pas. Pour peu que jusque-là on la laisserait tranquille. Ses recherches la mettait un peu à l’écart car, parfois incomprise. Il est difficile de parler de son travail à quelqu’un dès lors que c’est top secret et que personne ne comprendrait les méandres de sa pensée. La solitude fut aussi un fardeau. Elle était allée trop loin et avait traversée trop de porte. Elle était arrivée dans une salle où il n’y avait personne. Elle souriait. Elle continuait d’être gentille. Elle continuait de plus pleurer , ou tout du moins devant les autres. Elle dormait parfois dans son laboratoire avec ses petites souris. Elle regardait le temps passer et, sa peau vieillir. Ce facteur, cette 4ème dimension était son pire ennemi.

Il lui fallait plus de temps. Elle désirait réussir plus que tout. Si elle ne pouvait pas remonter le temps, c’était au passé de venir à elle. La pluie tombait et frappait le sol avec une force bien souvent sous-estimé, obligeant les insectes à recourir à diverses techniques. Elle attendait tranquillement que quelqu’un la délivre de son passé et de ses recherches, elle attendait cet homme qui lui promettrait l’avenir radieux.



On attend tous quelque chose de Dieu, de la vie, du Destin. On veut tous l’acquérir. Sur le moment, on peut s’en donner les moyens ou non. Parfois on demande l’aide des autres même mais, il ne faut pas oublier que l’on est toujours mieux servi que par soi-même. Il ne faut jamais se relâcher, même pour les plus petites choses. La vie est difficile par essence mais, c’est aussi cela qui la rends aussi palpitante. Si jamais vous lisez ces quelques lignes, c'est que je suis allé au bout de ma pensée. Je ne sais pas encore si je le regretterais mais, j'ai fait un affront au destin inéluctable. J'ai trouvé le moyen de ramener les morts à la vie. Ce secret bien caché est toujours en cours d’exécution. D'autres avant moi comme Orochimaru, l'un des sannins légendaire avaient essayé et s'y était brûlé. Je continus mes recherches. Les conditions sont différentes et j'ai usé de tout ce que je savais auparavant. Je voulais remonter le temps et récupérer ce qui m'était du, ce que le temps m'avait volé mais, j'ai compris que les choses étaient ainsi le jour où j'ai réussi. L'expérience bêta me permit de ramener l'être aimé mais, ce dernier ne désirait pas revenir en ce monde. Je ne parlerais pas de l'échange que nous avons eu dans ce journal. Je sais que peut-être un jour Konoha tombera dessus. J'ai subis des pressions tout le long de mes recherches. Cela n'aura duré que six mois avant que je n'écrives cela mais, ces six mois d'isolement et de solitude furent difficile. Je ne sais même plus si c'est un exutoire ou les résultats de l’expérience que je note mais, je veux tout écrire. Je veux que vous compreniez ma pensée à ce moment là pour ne pas ré-itérez ce que j'ai fais. En détournant le temps, il est possible de ramener le passé dans le présent. Cette technique nécessite plusieurs conditions. Tout d'abord avoir un éléments lié à l'objet du passé ou la personne du passé. Cette dernière sera restauré au moment juste avant sa mort. A la fin de la technique,le sujet retourne dans le passé au même moment d'où nous l'avions invoqué via le fuinjutsu. A noter que l’expérience bêta à prouver que même en prévenant le sujet des possibles morts qui l'attendaient et des moyens de l'éviter, le sujet mourraient quand même inéluctablement. Il n'est possible que de ramener la personne juste avant sa mort. Cette condition se fait au préalable en trompant le dieu de la mort avec une autre personne. En effet, la nécessite de contrôler une personne pour qu'elle parle à notre place au dieux de la mort est nécessaire. Dès lors ce dernier lance une malédiction sur le jeune imprudent qui aura défié la mort. Mon assistant que j'ai manipulé pour cette expérience ne pourra plus jamais parlé. A partir de cet instant où nous avions exécute la technique, la parole lui avait été ôté. J'ai sacrifié la vie d'une personne qui m'avait aidé à avancer dans mes recherches. Cette personne n'était là que par pure curiosité. Nous trouvions cela incroyable et offrait des possibilités dès lors inexploré. Mes recherches ont été arrêté et, les ANBUS ont tenté d'en apprendre plus mais, je n'ai rien dit. Je n'aurais jamais du... Je ne voulais pas que cela se termine ainsi. Mon assistant s'est suicidé plus tard. Apparemment, ce dernier subissait des hallucination. Il entendait des voix... Je cherches encore, même sans matériel ni laboratoire, dans ma tête enfouie. Je ne peux pas oublier ce qui s'est passé. Ses recherches auront été l'aboutissement de mes échecs. Suis-je condamné à être une perdante toute ma vie?  
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Assia Toshizo
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MessageSujet: Re: Flandre Ayakashi [100%]   Flandre Ayakashi [100%] EmptyMer 3 Juil - 20:01

Alors, alors,

En ce qui concerne les descriptions physiques et psychologiques :

  • Les descriptions ont une quantité très honorable et beaucoup de détails présents, parfois même un peu trop de précisions dans certaines choses, mais ceci ne pose pas de problème.
  • La qualité est présente, mais à certains passages, la lecture n'est pas très attrayante, personnellement, je me lassais à certains passages qui devenaient un peu long. Mais d'autres correspondaient parfaitement à une bonne description de ta perso.
  • Très peu de fautes d'orthographe, quelques petites mais qui ne gène en rien la lecture.
  • Les phrases ont une bonne tournure et sont bien proportionnées avec une bonne ponctuation.
  • L'originalité est présente et les descriptions sont bien en général, très très complètes^^  


Concernant l'histoire :

  • L'histoire allie qualité et quantité. Bravo pour ceci, car ce n'est jamais simple.
  • La qualité est cependant un peu gênée par la ponctuation. En tout cas, personnellement ça me gêne beaucoup car ça ne rend pas la lecture des plus fluides mais comme un "petit robot". Je m'explique : tu mets beaucoup beaucoup de points, alors qu'ils pourraient être remplacé par des virgules, des "et", etc. Si tu marques un temps d'arrêt (2 secondes) à chaque point, cela ne rend pas la lecture très agréable.
    Exemple d'un passage dans ton texte : Elle tapa le sol, elle pleura, elle hurla comme une gamine. Encore un échec… Elle se releva, alla à la bibliothèque. L’échec : ce mot la dégoutait. Elle ne l’avait que trop côtoyé à son goût. Elle arrivait en retard pour les missions, fatiguées. Elles rentraient fatigués chez elle. Un climat tendu s’installa avec ses parents.
    -> si tu fais cette petite pause, la fluidité de la lecture est vraiment diminuée.
  • Sinon, bonne originalité avec de bonnes idées et un contenu agréable et intéressant.
  • Quelques fautes d'orthographe comme dans l'exemple que je te donne où tu met elles au pluriel alors que ce n'est que ta perso, mais ça ne dérange pas la lecture car ce sont des fautes minimes.


Voilà, en résumé. Dans l'histoire, c'est vraiment selon moi la ponctuation qui pose problème alors que cela ne m'a pas tant surpris dans les descriptions.

En ce qui concerne ton grade, je suis assez mitigée... Je ne dirais pas le post de Kage, mais plutôt bras-droit ou juunin car la quantité et une certaine qualité étaient présentes dans ta présentation.
Je dirais donc : Bras-droit, Rang A, Level 20 OU Junnin, Rang B, Level 16 ou 17.

Donc, je proposerais plus le post de bras-droit que celui de Kage, et si le post de bras-droit n'est pas accepté, Juunin.

Attente d'un deuxième avis, voir d'un troisième selon le grade qu'il te donne.


Félicitations, et je te souhaite dores et déjà de bons rps sur le forum cat 

Assia Toshizo
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MessageSujet: Re: Flandre Ayakashi [100%]   Flandre Ayakashi [100%] EmptyMer 3 Juil - 21:03

Pour ne pas aller dans la longue description inutile.

Mon avis est très grandement similaire à celui d'Assia.

Il y a du contenu, l'histoire est originale, peu de fautes mais le seul point négatif est à un certain moment un phrasé un peu trop familier, mais cela ne se retrouve pas partout donc cela reste minime.

Je rejoins également Assia sur le problème de la ponctuation qui casse le rythme de lecture c'est bien dommage car l'histoire est intéressante.


Donc tout ça pour dire que je suis plus pour le grade de Bras-droit rang A level 20

En acceptant ce poste tu devras faire preuve d'une certaine activité et collaborer le plus possible avec le Kage de ton village pour le bien de celui-si.


Féliciations pour ta présentation.

Et vive les fougères !
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