Mission en coopération Pv Michiyo (Rang B) : La pègre et son quartier des plaisirs. [-16 ! : Topic à caractère violent]

Entre infiltration et déstruction

Mission en coopération Pv Michiyo (Rang B) : La pègre et son quartier des plaisirs. [-16 ! : Topic à caractère violent] Jin11

~ « Nuit suave et mort sulfureuse » ~

La double ceinture rouge à la taille, fait foi et force d'un savoir faire technique puissant et redouté. Celui du corps et de l'acier. Double dixième Dan de l'école Zekai et Kagutsu, j'avance serein. Confiant et sûr de ma personne ! Je n'ai ni brassard ni bandeau frontal pour dire au passants impressionnés pour beaucoup, inquiétés pour certain ; que je suis un soldat au service de Kumo. Je n'ai pas non plus à mes cotés, le tranchant sombre qui fait ma renommé et ma fierté. Mugen... Un long katana, lourd, édenté à la coupe diabolique. J'ai laissé mon compagnons d'acier chez le meilleur forgeron du pays, pour raviver sa morsure brûlante ! Et c'est donc sans lui que je m'élance dans une nouvelle mission périlleuse. Un Katana et son wakizashi à la hanche pour le remplacer, lourds et rigides comme je les aime. Voilà des lames composites de qualités, enserrées dans leurs fourreaux d'ébènes, travaillées à la forge avec des aciers denses et froids. En somme des armes inflexibles qui se révéleront parfaites, pour résister aux contraintes colossales que je leurs réserve.

J'ère dans le boulevard principale d'Ebo. Véritable poumon économique, cette cité se révèle être bouillante d'une effervescence frénétique et féerique. Comme si ici, jamais le calme ne pouvait retomber. Mais cela cache une tout autre réalité. Les couleurs, les lumières, les chants et les milles et une senteurs sont un voile doré dissimulant une ombre sombre et pervertie. La pègre gangrène et mène d'une main de fer en ses lieux et places ! Chaque commerce est sous la contrainte des Yakuzas et se voit forcé de payer une dîme onéreuse sous peine de se faire châtier si il s'y refuse... C'est ici que prend place ma mission. Tous ses commerçants asservies se sont rassemblés en secret pour affréter à leur frais la dite mission. Kumo m'envoie donc seul, pour mater le clan Sarutsychi. Une clan isoler certes, jeune et sans prétention, mais qui tient tout de même sous son joug la bourgade la plus riche de l'ouest. Les autorités reste à distance, une évidence quand on sait que le préfet du canton reçois son pourcentage dans l'affaire. Un marcher juteux et prospère qu'il n'aura pas fallut longtemps pour mettre à jour. Pour cause avant mon arrivé, une autre équipe, une de Konoha, celle-ci d'infiltration, s'est chargée de rassembler les informations essentiels à l'attaque que je vais porter se soir sur cette vile organisation.

La pègre sait investir là où ça rapporte ! Et c'est au sein d'un bordel luxueux qu'elle a prit ses quartiers. Cette bâtisse chaleureuse, immense et lumineuse renferme des beautés arraché au quatre coins du pays, qui sont exploitées à pris d'or pour les plaisirs et les fantasmes de chaires... des riches nobles et notable de la région.

J'entre donc dans la bâtisse enquit de mon air lasse et fier. La double ceinture rouge et mon regard sombre en impose ; et les deux gardes à l'entrée n'auront donc pas bronché. Je les entends déjà dans mon dos, qui ruminent des jurons et des messes basses sur ma personne. Ils ne sont là que pour informer les vrais portes sabres qui se terrent confortablement à l’intérieur. Les vrais pointures les voilà, garants du clame et de l'oisiveté des lieux, ce sont des Yagins d'un tout autre niveau. Redoutable, une sélection de bretteurs à la ceinture noir tous plus habiles les uns que les autres. Sorties des écoles les plus prestigieuse, ils protègent contre rémunération, le clan de tous les dangers qui le quête. Un seul de ses chiens fous en vaudra dix Yakuzas !

Les boiseries luxueuse et les tapisserie colorées brûlent aux rythmes des lumières tamisées qui dansent sur les murs et les charpentes de l'auberge et ce, au son d'une ode suave et sucré. Tout pousse au calme et à l'harmonie... L’écume feutré des nuages d'encens, comme un sort mystique qui s’entend et tapisse les limbes d'un rêve concupiscent, m'enivre déjà d'une ivresse tendre et reposante. L'or et L'argent, à l'image du riche décors, ici on ne paie quant métaux précieux. Et c'est à la pesée, à la loupe et à la morsure que l'on vérifie l’authenticité du dit paiement.

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Haineux ! En cette instant j'en suis sûr, c'est de mon sang que vient le mot vénéneux. Rageux, j'ai les nerf à vifs et la chair à feu quand j'entends ces gueux perverties, salirent sans vergogne des femmes asservies par de vile charognes. Dans le petit salon personnel où l'on me somme la patience, j'ai la mâchoire serrer à en briser l'acier. J'aimerai laisser le démon s’éveiller ! Cette musique obscène, celle de femme violés en silence dans les pleures et la résignation. Dans la retenu aussi... Pour ne pas donner aux porcs qui confisquent leurs chaires, une once de leurs âmes, ne pas se donner entièrement, ni même s'abandonner à ces monstres engraisser, écoeurant et suintant une bille sale et viscéral. Sous tension, l'entremetteuse veut maintenant confisquer mes effets, mes sabres, mon identité ! La voilà ma promesse... à cette heure je signe, je scelle et je saigne une unique volonté... Celle de faire vengeance !

Mais voilà, je dois suivre le plan programmé par nos villages. C'est donc sans rechigner que je lui remet non sans une pointe de retenu, mon Katana et son Wakizashi. Tout deux s’avèrent bien trop lourds pour les frêles épaules de cette vielle dame. Son sourire commerciale est aussi facétieux que celui d'une catin et je vois bien dans la moue éreintée qu'elle cache toute la peine qu'elle a à les porter. Dans le coin de la pièce le porte sabre qui surveille le salon étouffe un ricanement, amuser de la situation mais surtout et surement satisfait de son apparente supériorité retrouvé. Sans doute j'aurai dut me présenter comme un simple notable avide, riche et pompeux ! Au lieu de cela j'ai arboré bêtement aux yeux de tous ma double ceinture rouge, mon regard d'acier, ma haine et ma fierté sans borne. Une évidence, les foudres de la jalousie et de la suspicion me sont donc retombé dessus... Pour autant la maison n'en oublie pas son devoir commerciale !

"Monsieur aurait'il une préférence... Un type de femme qu'il affectionnerai tout particulièrement pour lui tenir compagnie se soir ?"

"Akimi Inoue... J'aimerai avoir l'honneur de sa compagnie."

Jin Kaza.

La pègre et son quartier des plaisirs.

Coopération avec Jin Kaza

La voici donc prête à quitter le village de Taki, elle avait profité de la salle d'eau et de la commodité des quartier qu'un jeune homme lui avait généreusement cédé pour la nuit. Une modification de son apparence s'imposait pour cette mission personne ne devrait la reconnaître, ni quand elle arriverait au pays de la foudre ni même quand elle rentrerait au village caché de la feuille. Alors qu'elle s'apprêtait pour devenir méconnaissable les souvenirs du bureau de dirigeant du pays caché de la feuille lui revînt en mémoire.
L'hokage l'a fait mander pour lui octroyer une mission de la plus haute importance, une quête de rang B en coopération avec un autre pays. Cela avait fortement choqué la jeune femme, car elle avait été plutôt formée pour l'espionnage et plus récemment pour la médecine, alors elle était plus habituée aux missions en solo.

Hokage-sama, c'est une mission de coopération mais... Je ne veux en aucun cas défier votre autorité, mais est ce prudent de coopérer avec le pays de la foudre ?

Michiyo un village civil du pays de la foudre avait demandé de l'aide à plusieurs autorités alors nous nous sommes consulté et avons joint nos forces pour mener à bien cette mission. Serais tu contre cette idée ?

La simple idée d'aller à l'encontre du kage du village caché de la feuille horrifiait la jeune femme, elle s'inclina respectueusement devant le maître des lieux pour lui faire comprendre qu'elle acceptait la mission sans remontrance à faire. Elle se saisit d'un parchemin sur lequel était noté la demande de mission du village du pays de la foudre.

Cher Hokage du pays du feu, voici une requête que nous vous envoyons, car la vie à Ebo n'est plus aussi vivable qu'auparavant. C'est donc en ce point que nous vous demandons de l'aide, un groupe de Yakuza a pris possession de la plupart des commerce par la peur et la violence. Et celles-ci se sont désormais étendus à toute notre belle citée. C'est donc en ces temps de trouble que nous implorons de l'aide de votre grand village ainsi que celui du pays de la foudre.

Nous prions pour que votre réponse soit positive ainsi que celle de Kumo.

Cordialement Fukawa Yoshihiko dirigeant de Ebo.

C'est donc sur ces pensées que le jeune femme revint à elle et se regarda dans le miroir pour contempler le résultat de sa métamorphose. Tout avait été changé couleur de cheveux et d'yeux, autre coiffure et maquillage ainsi qu'une tenue plus voyante que ses kimonos d'habitude si sobre. Michiyo était à présent méconnaissable pour une personne qui n'avait pas porté grande attention à son physique. Elle sourit en voyant le résultat et semblait plutôt fière d'elle.

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C'est ainsi qu'elle ramassa ses affaires en finissant de s'équiper, et c'est à regret que la jeune femme délaissa donc Miyako, son éventail de fer ainsi que ses équipements de ninja, pour deux éventails simples en tissu rouge et bleue nuit. Elle se devait d'être discrète sur son appartenance au monde des ninja, car les Yakusa comme ils étaient nommés feraient attention à tous même si son physique l'aiderait très certainement à rentrer au sein de ce clan, ou tout au moins l'approcher de près. La jeune femme sortie discrêtement de l'auberge puis se mit en route en direction du village d'Ebo, en lisant rapidement le livre qu'elle avait trouvé sur sa table de chevet. Michiyo se demandait si elle ne pourrait pas se permettre un petit détour sur Kumo à la fin de sa mission afin de rendre l'ouvrage à son propriétaire présumé.
De longue heure était passé quand elle se décida à avancer bien plus vite pour arriver à Ebo avant la nuit. Ainsi elle se fondrait sans doute mieux dans le décors une fois sur place. Ce moment arriva plus rapidement que prévus, elle dissimula alors le livre dans un replie de sa tenue, remettant au passage un peu d'ordre dans ses cheveux et son kimono aux couleurs vives. Elle faisait à présent face à une lourde porte en bois, alors que la nuit commençait déjà à tomber, seulement quelques secondes lui auront été accordé pour regarder autour d'elle avant que le bois de l'entrée se mette à crier. Une silhouette se plaça dans l'entrebâillement une main sur un katana, regardant et dévisageant la demoiselle.

Et bien et bien que fait une si belle demoiselle dehors à une heure si avancé ?

Bonsoir jeune homme, pour vous répondre je viens pour m'entretenir d'un poste de dame de compagnie qui se serait libéré il y a peu. Je suis certaine que votre chef attend ma venue. Je vous remercierai d'avance de me mener près de lui et ce sans tarder.

La voix de la jeune femme s'était faite douce et sans un mot plus haut que l'autre, mais l'intonation ne laissait pas l'ombre d'un doute elle était ferme et décidé. Son regard franc et direct ne laissait aucune once de faiblesse transparaître c'est ainsi que le garde ouvrit la porte un peu plus pour laisser passer la jeune femme malgré un court instant d'hésitation où une légère peur prit place dans le regard de ce dernier. Michiyo sourit en apercevant cela car elle avait touché juste, en effet l'homme qui l'a précédait maintenant était plutôt jeune et donc craignait encore de décevoir son maître. Ils traversèrent donc le village en silence malgré tout le bruit environnant, une myriade de couleurs et de son illumina le regard de la jeune femme malgré l'heure qui commençais a se faire tardive. Une joie festive dans la voix de tout les habitants alors que leur regard en disait long sur leur solitude et leur détresse. Une lumière plus intense jaillit au détour d'une rue, une enseigne pleine de couleur trônait au dessus d'un péron en bois. Une des bâtisses les plus luxueuses du quartier se dressait devant la jeune femme, la musique et de fortes voix s’échappaient par la porte ouverte. Michiyo pris une forte inspiration et avança jusqu'aux quelques marches précédent l'entrée du bâtiment.
La kunoichi regarda ses jambes et souleva son kimono pour pouvoir monter les marches, elle peina un peu de sa propre volonté pour laisser le doute planer sur sa capacité de se mouvoir aisément et de fuir au cas ou l'occasion se présentait. Cela mettait les hommes autour d'elle en confiance et leur procurait un sentiment de supériorité, une main tendue se présenta devant la jeune Michiyo qui sourit tendrement et saisit la main offerte. Une douce sensation d'euphorie suivis d'une légère frayeur rendis la jeune femme plus confiante alors qu'elle franchissait le petit palier. Le regard de la jeune femme restait impassible et son sourire toujours fixé sur ses lèvres aucune grimace ne permit a quiconque ici ce qu'elle avait vu dans les peurs de ce jeune homme soucieux d'aider une femme sur un palier.

Merci bien jeune homme, je dois vous avouer que ce péron mériterait une plus grande place afin qu'il soit plus aisé de s'y déplacer.

La jeune Midorikawa lâcha la main de son accompagnateur et déambula avec souplesse entre personnel, client et autres mobiliers éparpillés dans la grande salle qui servait très certainement de bar. Des boiseries plutôt rare trônait çà et là, tantôt pendu au plafond tandis que d'autre semblait surgir du sol tel une plante à la recherche de la lumière du soleil. Son regard se posa absolument partout afin de mémoriser autant de détail qu'elle le pouvait, des visages apeuré des femmes contrainte d'être ici aux hommes plus heureux de voir tant de charmante compagnie potentiel. Il y avait vraiment beaucoup de monde ici, mais cela se passerait bien ce n'est pas la première mission qu'elle faisait. La démarche souple de la jeune demoiselle aux cheveux violet attirait le regard et intensifiait les convoitises des clients avides tentés de toucher la marchandise comme ils le disaient. Des odieux personnages, mais Michiyo n'en fit pas cas, car elle avait une personne bien plus haut placé à rencontrer. Cela ne se fit pas attendre une porte parsemé de dorure apparue devant eux, l'or était fait pour représenter le pouvoir ici, le terme de la promenade approchait, car leur chef se tenait derrière cette ouverture. Deux heurt sec et franc précéda l'ouverture de la porte et l'effacement du garde pour laisser le passage libre pour la jeune femme.

Alors voici la toute nouvelle ? Akimi Inoue hein ? Mmmmh oui la lettre de recommandation disait vrai elle ferai tout à fait l'affaire.

L'homme qui se tenait devant elle était assez grand et plutôt massif au point de vue de la musculature, sans doute un adepte de combat rapproché. Sa démarche était lourde déterminé et sûr de lui, cependant elle trahissait aussi un excès de supériorité soucieux de prouver de par sa stature tout le pouvoir qui lui était conféré. Son regard étincelait de vices et de perversité, de petits yeux mesquins et arrogant surmontait un sourire sournois. Il s'approchait de la jeune femme, qui restait là impassible, regardant l'homme la déshabiller du regard en se léchant subtilement les lèvres à mesure que ce dernier glissait sur le corps de la demoiselle. Sa main s'étira pour glisser doucement sur la peau porcelaine de la jeune Kunoichi déguisée, afin de pouvoir la regarder de profil et sous tous les angles. Michi frissonna en sentant le contact des chairs se faire et les secrets traverser la frêle armure qui se touchait. A présent elle était capable d'arriver à ses fins, car la confiance de cet homme allait lui être accordé sans difficulté. Le tuer discrètement semblait trop facile à l'heure actuelle, pourquoi le village de la feuille devait-il coopéré pour une mission si simple. Où se cachait la face cachée de l'iceberg ? Le regard violacé était toujours planté dans celui du tyran d'Ebo, un délicat sourire étira ses lèvres rosées alors que sa propre voix résonnait dans sa tête.

Wahei Tamashii

Si cela vous convient alors je serais honoré de faire partie de votre personnel, mais sachez que je ne suis pas de celle que l'on propose au premier venu. Accordez-moi l'honneur de divertir les hommes présents dans le bar et accorder le privilège d'une démonstration en privé qu'aux personnes importantes et vos plus fidèles clients.

La jeune femme laissa volontairement un silence prendre possession de la pièce et observa avec attention les réactions de l'homme devant elle. Il semblait se détendre, c'est alors qu'elle cessa de faire fonctionner sa technique de Genjutsu, pour ne pas trop l'amadoué sinon ses gardes risqueraient de trouver quelque chose de suspect dans son comportement. La voix grave de son futur employeur s'éleva à nouveau brisant ainsi le silence à peine installé.

Mmmh... et bien je ne vois pas pourquoi une petite nouvelle devrais être privilégiée.... Mais bon je vois en effet beaucoup de potentiel j'espère que tu as des talents cachés. Et que tu te débrouilles bien pour divertir, le cas échéant tu finiras tout comme le reste de mon personnel tu as bien compris ?

Le ton était légèrement monté mais n'avait en aucun cas effrayé la jeune femme elle savait qu'elle avait toutes ses chances ici. Sa défunte mère lui avait appris bon nombre d'art concernant le divertissement et elle avait hâte de les mettre a l'épreuve. L'homme se rassit derrière son bureau alors que la porte s'ouvrit pour inciter Michiyo à sortir, l'entretien était donc clos et la mission de la jeune femme allait réellement commencer. Se faire respecter et s'approcher plus encore du chef de ce clan pour mettre un terme à ses agissements de manière définitif et irrémédiable. Une fois la porte franchit et rapidement refermé derrière elle, une femme du personnel de salle, arborant fièrement une chevelure de la couleur du soleil, s'approcha du garde et de la jeune kunoichi pour l'accompagner, lui faire visiter la bâtisse et lui donner sa chambre. Des couloirs aussi longs les uns que les autres, ainsi que des escaliers plus grands chacun leur tour et des portes identiques aligner à distance équivalente, tout se ressemblait et cela en devenait presque monotone. Cependant, sa chambre était douillette avec le rouge comme couleur principale, une couleur chaude transformant les désirs secrets en passion dévorante, subtilement décoré de liserés dorées apportant leurs touches précieuses et royales.
La suivante intimidé par l'assurance de Michiyo en ces lieux, la suivis dans sa chambre pour lui confier qu'elle devrait plutôt partir au lieu de travailler ici, peu de personnes travaillait dans cette auberge de leur plein gré. Cette jeune esclave, car il fallait bien l'avouer elles étaient traitées comme tels par les hommes loyal au maître des lieux, était choqué qu'une personne puisse venir ici de son plein gré pour travailler, mais elle lui assura qu'elle serait là pour toutes autres questions. Dès lors les journées de L'espionne fut presque toutes identiques des chants, des danses et des accompagnements d'homme politique et autres clients riches dans leurs soirées arrosées. Mais ses journées ne s'arrêtaient pas là elle avait bien remarqué que l'homme à la tête de tout cela semblait apprécier les prouesses et les talents de la dame de compagnie récemment engagée. Un jour où il s'était mêlé à la foule et assit à une table avec des amis à lui, il ordonna que ce soit La jeune femme aux cheveux violet qui les servent a table. Une aubaine pour la demoiselle, car elle devenait la favorite de ce dernier, ainsi à cette table elle pourrait rassembler beaucoup d'information sur les agissements et l'étendue de l'emprise du tyran. Chaque homme autour de ces verres avait effleuré celle qui leur servait le saké, chaque homme était potentiellement piégé par ce touché si particulier. Mais ces hommes n'étaient pas les seuls, les gardes avaient aussi eu droit à un petit réconfort par un geste délicat et discret, une main posée sur une joue, l'effleurement des doigts autour d'un verre gracieusement apporté. Malheureusement tout cela épuisait fortement Michiyo, car elle devait en permanence jouer le jeu et faire semblant que tout va bien quand elle emmagasine les informations terrifiantes des peurs de tous ces hommes, client et en partie du personnel féminin. Ainsi que tout jour répéter la manœuvre et utiliser sa technique "Wahei Tamashii" sur son employeur afin que sa confiance en elle se renforce chaque jour un peu plus.

Le jour de l'arrivée des renforts avait tardé pour la jeune femme, mais il était bel et bien là, un soulagement immense de se dire qu'à présent on est plus seule ici dans cette auberge où la perversité et les abus sont monnaie courante. Michiyo rayonnait ce matin malgré les nuits sans sommeil qui avait précédé, car à mesure que les jours passaient elle devenait la confidente des malheurs de chacune retenue ici contre sa volonté, arraché à un mari aimant ou retiré sans semonce à une famille chérie. Alors elle avait rassuré, calmé et séché toute les larmes qu'elle pouvait. Certaine dormait près d'elle car elle avait les faveurs du grand chef et pas un des gardes n'approchait de sa chambre ainsi les demoiselles pouvaient se reposer quelques heures, rires de choses et d'autres sans qu'un regard méprisant n'affuble leurs jeunes épaules. Le jour avait été long, extrêmement long à cause de l'attente d'un signe, un visage lui apportant de l'aide et du soutiens, elle l'avait donc occupé à ranger ses quartiers et à s'apprêter pour le soir. Cette fois-ci elle n'était pas sur la scène, mais plutôt en retrait à aider une dame plutôt âgée qui préparait les cocktails. Les dames d'un certain âge qui travaillait ici était peu nombreuse, mais elle restait ici car ce lieu perverti par les Yakuza leur avait appartenu par le passé et désirait ardemment le récupérer pour lui redonner l'allure d'antan ou mourir là où elle avait passé tant d'année de leur vie.

Akimi-chan que faites vous la ce soir ? Ne devriez vous pas être sur scène comme chaque soir ?

Comme vous le voyez Sachiko-sama non je vous accompagne ce soir car vous avez besoin d'aide ici... Laissez je vais porter tous ces verres, inutile de vous fatigué plus que vous ne l'êtes déjà.

La soirée était bien avancée, les filles pleuraient comme tous les soirs, mais Michiyo arrivait à ne plus les entendre certaine fois à force de concentration. Mais le terme de sa mission arrivait à grands pas et cela réjouissait la jeune femme, car les esclaves de ses hommes seraient enfin libre. Elle porta discrètement sa main sur un replis de sa poche ou était ficelé un petit sachet d'herbe à thé très spécial qu'elle réservait à une seule et unique personne. La jeune kunoichi venait de comprendre en quoi la mission était complexe, car c'est une fois le tyran sans coeur mort que le réel problème résidait, il fallait quitter les lieux sans succomber à la vengeance de ses hommes, bien trop nombreux pour une seule personne infiltrée. D'où l'importance de cette coopération, il fallait que le ninja du pays de la foudre soit là, il le fallait pour le salut de toutes ces âme errante présente et prisonnière de cette auberge ainsi que pour la jeune kunoichi. Michiyo s'impatientait de plus en plus à mesure que les minutes s'écoulaient. Pourquoi tardait-il à venir ? Des murmures c'était élevé dans l'entrée depuis un moment, mais Michiyo n'y avait pas prêté attention, car elle était perdue dans ses pensées jusqu'à ce qu'une femme assignée à l'accueil ramène son esprit dans cette auberge maudite.

Akimi-chan, un homme demande ta compagnie dans le salon à gauche, je dois dire que s'il n'avait pas le regard si dur.... Enfin il semble différent des autres personnes qui vienne ici, sans doute parce que c'est la première fois.

Moi personnellement ? Bien j'y vais merci beaucoup Samira.

Elle priait pour que ce soit celui qui viendrait l'aider. D'une démarche souple et gracieuse elle se dirigea vers la table ou un jeune homme était assis seul et lui tournait le dos, la jeune femme remit de l'ordre dans sa chevelure si clair comparé à d'habitude. Michiyo passa près du jeune homme et s'assit près de lui, avant de poser son regard sur le visage de l'homme qui avait réclamé sa présence. La stupeur était de mise ce soir, de longs cheveux ébène, un regard sombre planté dans le sien, une carrure aussi fine dissimulant une force prodigieuse. Elle n'avait pas oublié se visage bien que la rencontre avait été de courtes durées à Taki, cela ne faisait aucun doute Jin Kaza se trouvait devant elle dans ce village troublé, au coeur de tant de haine et de corruption. La jeune Midorikawa avait réussi à dissimuler son étonnement de le revoir ici, car il ne fallait pas qu'il se doute de sa réel identité pour ne pas gâcher cette infiltration. Il fallait qu'elle en ai le coeur net le jeune Kaza était il venu pour l'aider ou était il simplement de passage ?

Bonsoir jeune homme, comme vous l'avez demandé mes services sont à vous pour la nuit. Faites moi part de vos désirs les plus secrets.

Spoiler:

Message modération.

En théorie, les Chuunins n'ont pas accès aux missions de rang A. Merci de prendre note de ce message et d'adapter le rang de celle-ci. Merci de votre attention !

Entre infiltration et déstruction

~ « Nuit suave et mort sulfureuse » ~

J'ai le sang mêlé, un peu colombe sombre ou corbeau dé-colorisé. Voila deux vieux ennemies qui animent mes chaires, tantôt avec haine, tantôt avec amour et peine. Comment pourrai-je oublier les tortures de la vie, comment lui pardonner, elle qui à la lame, déchirait, déchire et déchirera mon âme ! On oubli pas les douleurs du coeur et de l'abdomen, on oubli pas les supplices de l’existence, elle qui laboure nos corps comme on laboure un vaste domaine ! Je suis un mutilé, et toutes ses femmes le sont tout autant. Je peux les libérer mais jamais les purifier... Impuissant, face au décombres sombre de leurs esprits, il ni y'a qu'à la force de leurs convictions qu'elle pourront se reconstruire un paradis.

Je n'ai jamais été aussi concentré en mission. Jamais aussi déterminé, pour damné de mes mains tous ses chiens dégénérés ! J'ai la ferme intention de faire justice, ici et maintenant. Pour autant je contiens ma rage du moment. Avant tout je dois retrouver ma comparse, une Kunoichi de konoha, infiltrée ici même, sous une identité d'empreint... Akimi Inoue ! La voilà cette femme suffisamment folle ou forte pour ce jeter de plein grès, dans l'enfer des bordels. Si une larme devait dévaler son visage attristé, elle s'engagerai alors dans une épopée sublime, ou Les trais fins et la symétrie parfaite d'une peau cristalline, sont autant de décors au paysage idyllique qu'elle anime de son simple sourire. En voilà un sourire ! Un de ceux qui redonne vie aux rocailles les plus froide qui soit. Et si la plus délicate des étoffes devait dévaler ses courbes généreuse, elle ferai alors pâle mesure devant la douceur de sa peau. En voilà une peau, une de celle dénuée de toutes imperfections, une de celle ou l’œil se perd sans mal à la recherche d'une attache quelconque. Un grain de beauté ou tout autre chose, qui ferai guise d'imperfection, le genre de petit rien qu'un maquillage habile aurai dissimulé. Ici aucun artifice de ce genre n'est nécessaire et comble de tous, comme pour parachever le voyage de mon regard et débuter celui de mon ouï... Sa voix est d'or et de velours !

"Bonsoir jeune homme, comme vous l'avez demandé mes services sont à vous pour la nuit. Faites moi part de vos désirs les plus secrets."

"J'aime les femmes ! Leurs parfums suave comme un voile de senteurs, leurs douceur épurée comme un voile de chaleur, leurs voix ambré comme un voile mélodieux et leurs gestes légers comme un voile réconfortant au pouvoir cicatrisant. La femme est un tout... Un voile, un fourreau et une prison doré qui à l'image d'un lin-seul mortuaire, embaume l'homme et ses tourments dans un repos éternel."

Dans ce discourt, j'y ai glissé le code. Celui que nos villages ont choisi pour nous, celui qui servira de reconnaissance mutuel. C'est maintenant à elle ne me donner signe de sa compréhension ! A elle de me donner la réciproque au code qui nous unira ou nous délira. Derrière le Fusuma translucide, je sais bien que le moindre de mes faits et gestes et épié. La porte traditionnel n'assure en rien la nature privé de la discussion. Dans cette situation, il nous est impossible d'établir une stratégie d'attaque. Quoi que pour en élaborer une, encore faut-il que ce soit la ninja infiltrée, avec laquelle je suis sensé m'associer.

Mission en coopération Pv Michiyo (Rang B) : La pègre et son quartier des plaisirs. [-16 ! : Topic à caractère violent] Batime11

Dehors l'enveloppante nuit à pris possession de la ville et les lumières incessantes d'Ebo prennent doucement fin. Le thé fulmine dans le salon et bientôt il sera l'heure pour la clientèle de regagner les chambres qui lui sont assignée, au coté des douceurs qui lui sont donné de goûter. Mais voilà, je n'ai toujours pas ouïe l'ombre d'un code. Nous avons discuter de tout et de rien, mais jusqu’à présent elle n'a pas levé le doute sur sa véritable nature, serai-ce une simple catin éponyme, ou bien un silence forcer, dans ce lieu ou privé et discutions ne sont que de lointain synonyme.

Jin Kaza.

La pègre et son quartier des plaisirs.

Coopération avec Jin Kaza

Les quelques secondes précédant la réponse de Jin avait paru une éternité pour la jeune femme. Elle se demandait si la personne en face d'elle était bien son coéquipier pour la mission, ou s'il était un simple client venu pour l'occasion demandant ses services uniquement grâce aux bouches à oreilles. En effet ces dernières semaines avaient été faste pour faire de la publicité, beaucoup de clients ressortaient de cette bâtisse le sourire aux lèvres et l'esprit cherchant une date de retour. Elle se disait aussi que si la personne en face d'elle n'était pas celle qu'elle espérait elle raterait certainement le shinobi du pays de la foudre envoyé pour la mission.

J'aime les femmes ! Leurs parfums suave comme un voile de senteurs, leurs douceur épurée comme un voile de chaleur, leurs voix ambré comme un voile mélodieux et leurs gestes légers comme un voile réconfortant au pouvoir cicatrisant. La femme est un tout... Un voile, un fourreau et une prison doré qui à l'image d'un lin-seul mortuaire, embaume l'homme et ses tourments dans un repos éternel.

Tant de douceur dans la bouche d'un homme capable de tant de force brute surpris la kunoichi. Son discourt avait adouci l'esprit de cette dernière qui se perdait dans tant de questions sur sa mission. Cependant, les mots de son interlocuteur trahissait une pensée hésitante au sujet de la Femme à ses yeux, sans doute l'oeuvre d'un amour déçu. Le sexe féminin ne devrait pas être symbole de mort ou d'emprisonnement pour un homme de son âge. Michiyo était attristée de voir qu'il les comparait à une prison, même si elle était dorée. C'est alors que les derniers mots de l'homme au regard sombre avait eu le même impact qu'une explosion dans le coeur et la tête de la demoiselle. Enfin la confirmation que le shinobi était là pour elle la rassura, les chaînes du doute libérèrent enfin son coeur et la peur de rater son rendez-vous s'évanouit de son esprit. Cette dernière refit surface assez rapidement, quand le regard de la jeune Kunoichi se posa sur une flamme rouge enserrant la taille du kumojin. flamme révélant ainsi son art pour la guerre, les murmures près de la porte prirent tout leur sens, malgré l'absence d'arme à ses côtés il était toujours surveillé par les gardes. La jeune Midorikawa s'obligea à ne pas répondre à Jin pour ne pas qu'il éveille les soupçons et qu'il reste lui-même dans le doute. Le regard sombre posé sur elle devenait de plus en plus lourd et attendait ardemment une réponse qui ne pouvait pas être dévoilé pour le moment. La discussion qui avait suivi avait été futile et sans aucun sens, car sans code elle n'était aux yeux du ninja qu'une femme de luxe sans importance. Elle en avait assez de faire patienté la ninja du pays de la foudre, ayant elle-même dut attendre sa venue, il était inconvenant de le laisser dans le doute de la sorte. Les murmures s'étaient apaisés, les rumeurs assagis et les suspicion envolées, tout était propice à la révélation. Elle s'approcha donc de l'oreille du jeune homme, posant délicatement sa main sur sa cuisse non seulement pour prendre appui, mais aussi pour que l'illusion de sa séduction soit parfaite. une fois ses lèvres effleurant presque la joue du shinobi elle prit à nouveau la parole, susurrant ses mots pour qu'aucune autre personne n'entende.

Vous savez pour moi les hommes sont comme des loups, calme, solitaire, fort et souvent doué d'intelligence. Capable de grandes choses quand leur coeur est mis à l'épreuve et pourtant tellement faible lorsque la raison les oublie. Mais si leur coeur est grand alors il enveloppe la femme et ses peurs dans un doux cocon protecteur.

Michiyo avait prononcé ses paroles presque langoureusement, comme lorsque l'on chuchote des mots d'amour à l'oreille de son doux et tendre. Elle recula doucement restant toujours a proximité du visage de Jin, plongeant son regard violacé dans le sien enfin délivré de son secret un court instant. Puis se rasseyant convenablement elle fit glisser sa main sur le genou du jeune ninja de Kumo complétant ainsi l'illusion de départ pour qu'aucune personne payé pour surveiller ne ce doute de quoi que ce soit. Elle se sentait enfin libre et complice, enfin sans les chaînes de la solitude dans ce monde de perversion. Il fallait à présent que les deux compères aille dans un endroit calme et a l'abri des oreilles indiscrètes et sa chambre serai le parfait endroit pour cela. Elle se dressa donc de toute sa hauteur remettant de l'ordre dans sa tenue, puis elle incita le jeune Kaza à la suivre. Elle le dirigeait donc de couloir en couloir, restant le plus près de lui afin que trop de distance n'éveille pas les soupçons. Cependant, elle respectait toujours une distance convenable afin de ne pas interférer avec l'espace vitale du faux client.

Tiens Akimi se retire ? Montre lui tout ce que tu as surtout, il faudrait pas le décevoir !

Quelques phrases de ce genre harcelaient la demoiselle jusqu'à ses quartiers, mais elle n'en tenait plus compte et ne les entendait même plus. Elle ressentit une sensation assez bizarre, un frisson tenace et ancré au fond de son estomac. C'est alors qu'un souvenir lui revint en mémoire, celui de l'auberge de Taki lorsque le jeune homme avait maîtrisé un bandit en un seul coup. La même sensation, une sensation de force et de haine omniprésente, elle se rapprocha donc de son coéquipier pour tenter de l'apaiser, priant pour que le garde ne fasse pas d'esclandre s'il avait ressentit la même chose. Ils allaient bientôt récolter ce qu'ils avaient semer, payer pour toutes les souffrances de toutes ses femmes exploitées et bafouées jusqu'au plus profond d'elle-même. Une vie ne leur suffirai pas pour comprendre toutes les douleurs que ces femmes et elle-même avaient subis, bien que pour la jeune demoiselle la souffrance ne fut que de quelques semaines et sensiblement atténué, grâce ses techniques capables de calmer n'importe qui, limitant ainsi les déboires des clients saouls. C'est toujours un sourire léger aux lèvres et la mine rayonnante, que la jeune femme entrouvre la porte de ses appartements. Une femme à la chevelure rougeoyante lui fit face et se confondit en excuse en voyant la silhouette de l'homme qui l'accompagnait derrière elle puis elle sortit de la pièce. Michiyo fit entrer Jin dans la pièce prenant ensuite un instant pour interpeller un des hommes de main du tyran lui ordonnant que personne n'approche de sa chambre. Cet homme en question était le garde qui l'avait accueillit le premier jour, depuis elle avait fait en sorte qu'il garde sa porte, car elle avait une emprise sur lui bien plus grande que sur les autres, la jeunesse et la naïveté ayant toujours été un faiblesse dans le monde auquel ils appartenaient. Une fois les deux personnes rentrées dans le petit nid rouge passion dédié à la kunoichi elle referma la porte a clef derrière elle en soupirant légèrement.

Bien, ici nous serons au calme.

Ils allaient enfin pouvoir discuter sereinement et sans faux semblant pouvoir monter une stratégie afin de neutraliser le chef et toute sa bande pervertit nuisant au développement d'Ebo.

Spoiler:

Entre infiltration et déstruction

~ « Nuit suave et mort sulfureuse » ~

Mission en coopération Pv Michiyo (Rang B) : La pègre et son quartier des plaisirs. [-16 ! : Topic à caractère violent] Room_r12

Le souffle court, happé comme un ultime élan de vie, celui que l'archange dérobe dans la douceur. C'est un peu l'effet de cet instant en suspens. Ce moment éphémère ou tous s’arrête, ou tous n'ai plus qu'hardeur suave et sucré, celui d'une rêverie bouleversante. Elle s'approche, posant délicatement sa main sur ma cuisse. Un appuis délicat qui ouvre la voie à l'errance de mes désirs insoumis. Ses lèvres effleurent mes chaires brûlantes, susurrant des mots emplis de tendresse et d'espoir... Comme si l'ange déchu me demandait son chemin, celui d'un idylle lendemain, un chemin que j'aurai tracé de mes mains !

"Vous savez pour moi les hommes sont comme des loups, calme, solitaire, fort et souvent doué d'intelligence. Capable de grandes choses quand leur coeur est mis à l'épreuve et pourtant tellement faible lorsque la raison les oublie. Mais si leur coeur est grand alors il enveloppe la femme et ses peurs dans un doux cocon protecteur."

Comme lorsque l'on chuchote des mots d'amour, le timbre de sa voix m'aura presque bouleverser tellement il résonne comme une intime et ultime conviction. Elle recule doucement plongeant son regard violacé dans le mien, sombre et azuré. Et avant que je n'ai le temps d’émerger de ma quiétude, avant que je n'ai le temps de comprendre que c'est bien elle la Kunoishi de Konoha, elle se relève. L'heure est venu de suivre la ninja pour organiser notre attaque, celle qui renversera se régime despotique. Dans les couloirs qui mènent à sa chambre, parce-que c'est dans son intimité la plus secrète qu'elle nous emmène, nombre de gardes vomissent de viles réflexions concupiscentes. De quoi me faire sortir de mes gonds. A ma surprise, j'arrive sans mal à contenir mes émois vengeurs ! Une performance de l'esprit nouvelle que je me félicite intérieurement.

Après avoir donné ses ordres au garde, elle referme la porte de la chambre dernière nous. Le voilà le cocon d'une intimité éphémère, acteur des souffrances et des rares repos. D'ailleurs c'est une question que je me pose, c'est elle salit pour le bien de la mission ?! Un sacrifice et une dévotion pour la cause, qui me semble hors norme...

Bien, ici nous serons au calme.

J'arrive au terme de ma pensé quand elle prononce ses mots. J'ai enfin compris comment cette ninja sans sort indemne dans l'enfers des bordels ! C'est une adepte de l'art au combien mystérieux qu'est le genjutsu !

"Le garde à notre porte est sous votre emprise mental, n'es pas ?!"

Ses rougeurs et son silence prolongés me suffise comme réponse. C'est donc ainsi qu'elle fait, pour garder ses chaires prudes dans se monde de perversion, plongeant surement ses clients dans des rêves érotiques jusqu'au premières lueurs du matin.

"Peu importe. L'important c'est d'en terminer avec cette pègre... J'ai besoin de récupérer mes sabres, sauriez vous m'y aider mademoiselle ?"

Jin Kaza.

La pègre et son quartier des plaisirs.

Coopération avec Jin Kaza

La jeune kunoichi n'avait pas eu le temps de se retourner que les paroles de Jin lui glacèrent le sang. Le jeune homme avait compris en peu de temps comment elle survivait dans ce lieu si sombre. Était-ce une simple déduction ou, est ce qu'il avait des informations à son sujet ? Jouait-il un double jeu ? était-elle découverte ? Il y avait a présent tellement de questions qui fusaient dans son esprit.

Le garde à notre porte est sous votre emprise mental, n'es pas ?!

Un frisson intense traversa de part en part le corps de la jeune demoiselle, la surprise était de taille, avec cette simple phrase Jin venait de mettre son secret en péril. Cependant, c'était un coéquipier pour l'heure et pour le bien de la mission il fallait qu'il garde le secret. Par la suite il faudrait sans doute le faire taire. Mais Konoha et kumo n'était pas ennemis, il faudrait donc qu'il garde tout cela pour lui. Toutes ces questions mettaient son visage en proie aux flammes intérieurs, ses pommettes rougissaient à vue d'oeil, la jeune Midorikawa bénit le fait d'être toujours dos au jeune Kaza. Après une grande inspiration destinée à calmer l'afflux de sang au visage, elle lui fit enfin face le regard doux et calme, les joues encore légèrement rosit par les mots du jeune homme. Elle s'approcha doucement de ce dernier, prête à lui répondre quand il l'a devança soulevant un problème pour sa part.

Peu importe. L'important c'est d'en terminer avec cette pègre... J'ai besoin de récupérer mes sabres, sauriez vous m'y aider mademoiselle ?

La voix calme et posé du jeune homme fit vaciller son esprit, il lui ressemblait étrangement, réussissant à rester calme et courtois malgré le fait d'être dans une enceinte pervertit et hostile sans ses armes. Cette question l'obsédait elle aussi, Miyako ne faisait malheureusement pas partie de ses bagages, mais les sabres du bretteurs étaient accessibles et il fallait l'aider. Michiyo rassemblait ses idées tout en s'approchant du Kumojin, une manœuvre se mettait doucement en place dans sa tête. Jin ne devait pas se montrer errant dans les couloir de ce bâtiment, il faudrait qu'il reste caché attendant son retour. Pourrait-il rester ici sans rien faire alors que son âme bourdonnait et réclamait vengeance ? Les pas de la demoiselle l'avait conduite tout près du jeune homme, elle posa délicatement ses mains sur ses épaules. Les murs avaient des oreilles et les serrures certainement des yeux, même si le garde devant sa porte ne laisserai approcher personne, trop de prudence ne serait que bénéfique. Les doigts de la jeune femme glissaient lentement sur le torse couvert d'un kimono de son partenaire, alors que cette dernière murmurait son plan à l'oreille du jeune homme.

Pardonnez mon audace très cher, mais cette pièce est bien trop souvent espionné, alors je me dois de jouer le jeu aussi avec vous, pour préserver notre identité encore un peu. Pour vos armes je peux m'en charger, mais vous ne pouvez m'accompagner au-delà de cette porte.

Priant pour qu'il ne la rejette pas, ses mains continuaient leur chemin trouvant la ceinture écarlate du bretteur du nord. Le lien enserrant sa taille se délassât aisément et retomba doucement de part et d'autre du jeune homme. Le regard troublé de la demoiselle restait fixé dans celui de l'homme debout devant elle. C'était la première fois pour elle qu'elle avait peur de la réaction d'une personne. Le lieu était propice à toute frivolité, mais le temps et la mission l'en empêchait, de plus elle se l'était formellement interdit. D'un geste doux et délicat, elle écarta les pans de l'habit recouvrant le torse du ninja, dévoilant ainsi ce qui aurait pu sembler être un tatouage, mais à mieux y regarder cela ressemblait plus à un sceau. De sa main droite elle déposa une caresse aussi légère qu'une plume sur la marque apposé sur le corps de Jin. Le regard toujours plongé dans celui du jeune homme elle attendait son approbation et sa promesse de rester ici en l'attendant.

Entre infiltration et déstruction

~ « Nuit suave et mort sulfureuse » ~

Elle semblait bien embarrassée. J'avais visais juste, une évidence de laquelle j'ai très vite compris l'aspect "sensible". A chacun et chacune ses secrets, surement que cette compétence est pour elle un poids tout autant que mon passé et mon sceau ne le sont sur ma personne. Je comprends donc sans mal, les souffrances qu'imposent les blessures mises à nue. Autant ne pas insister sur le sujet !

Les doigté fin et délicat de la jeune femme glisse lentement de mes épaules à mon torse, pour oser enfin passer de mon torse aux ceintures qui scelle mon intimité. Le murmure susurrait à mon oreille dans le même instant ne m’empêche pas de rougir ardemment sous le joug de ses gestes sûr et langoureux. Me voilà éprit par le feu des passions.

Pardonnez mon audace très cher, mais cette pièce est bien trop souvent espionné, alors je me dois de jouer le jeu aussi avec vous, pour préserver notre identité encore un peu. Pour vos armes je peux m'en charger, mais vous ne pouvez m'accompagner au-delà de cette porte.

Mon coeur bat à tout rompre ! Je sens son souffle court et chaud qui enivre mes chaires tandis que ses mains déshabillent avec douceur mon cœur et mon corps. Un parfum de femme humé qui m'ensorcelle, une douceur de soie caressé qui me donne des ailes et un émoi brûlant au fond de mon être, qui ne désire plus qu'elle.

Le lien qui enserre ma taille cède, comme le dernier rempart qui enchaîne le plus lourd des secret... Le regard trouble de la demoiselle reste fixé dans le miens alors que ses mains douces et délicates font tomber les pans de mon Kimono. Dévoilant alors le sceau qui tient mon cœur, marque démoniaque qu'elle caresse avec la légèreté d'une plume, à la manière d'un baume cicatrisant appliquer sur une blessure encore rougeoyante... Le regard toujours plongé dans celui de la jeune femme, je me saisis sans violence de la fine main, celle qui effleure le vif de mon cuir scarifié. Jamais plus je n'avais autorisé une tel proximité avec une femme, jamais plus depuis la mort de ma défunte épouse ; la seul femme à qui j'ai offert mon cœur et mon corps. C'est donc avec pudeur que je la repousse, sans brusquerie offrant même mes lèvres posé dur sa joue empourprée. Et cela tout juste avant de lui susurré mes excuses ainsi que les conditions à notre bonne entente avenir.

"On ne me touche pas mademoiselle, quelques soient les raisons invoquées... Je me suis interdis les femmes, par respect pour ma défunte épouse ! Comprenez le bien."

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Je l'entend sortir tandis que je détache ma chevelure ébène. Rassemblais les forces de la repousser ne fut pas aisé. Peut-être ai-je été dur avec elle, la réflexion sur le sujet suffit pour que les questions de mon passé trouble me tournent autour. Dois-je oublier, oublier Yomi pour avancer, ou dois-je rester fidèle jusqu'au dernier jour de ma vie... Je n'ai pas le temps d’élucider les tracas qui animent mon sang encore bouillant d'excitation. que dehors un bruit résonne. Un bruit aiguë suivie de près par les réprimandes d'un garde.

"Tu fais quoi la traînée"

Un vent de panique me prend. Si la couverture de ma comparse a été découverte par ma faute, sa vie serai en péril, ce que je ne peux tolérer. Je sors donc prestement de la chambre pour lui venir en aide. Là le portier essai de m'en retenir poliment. Vaine tentative, j'écrase sans vergogne les mots conciliant qu'il me réservait, d'une poigne puissante venue l'anéantir. La trachée broyait, il s'écroule dans la souffrance et l’inconscience. (Morsure vengeresse)

J'accoure au plus vite, dévalant les luxueux escaliers marbrés de la bâtisse maudite, avant de retrouver la jeune femme...

Jin Kaza.

La pègre et son quartier des plaisirs.

Coopération avec Jin Kaza

Ce que redoutait la jeune femme arriva, la douceur et la chaleur de la main de Jin entra en contact avec la sienne. Une force mesurée, une douceur extrême palpable uniquement grâce à la saisit sans brusquerie, une légèreté à peine croyable si on se rappelle le sort qu'avait subi le shuriken à l'auberge de Taki no kuni. Une douce chaleur empourpre à nouveau les joues de Michiyo, le jeune homme venait de déposer un baiser sur sa joue.

On ne me touche pas mademoiselle, quelques soient les raisons invoquées... Je me suis interdis les femmes, par respect pour ma défunte épouse ! Comprenez le bien.

Un respect et une fidélité à toute épreuve était donc à l'origine de ce refus. Les contacts répété et prolongé avec les chairs à nues de l'homme aux cheveux sombres ont été révélatrice. Toutes les joies et tout le bonheur qui apaisaient les songes du bretteur étaient là, bien présents dans la mémoire de la demoiselle. Une seule personne était à l'origine de tant de calme, une jeune femme, une guerrière au même titre que le Kaza. Dans le même temps des visions effroyables succédèrent au bien-être et au calme, des peurs secrètes, profondément enfouit et refoulées, mais elles n'échappent pas à ceux qui veulent les voir. La jeune femme comprenait à présent pourquoi son charme ne semblait pas agir sur lui bien que son but ait été différent ce jour-là. Il l'avait repoussé alors que quelqu'un les espionnait peut être. Enfin elle se détourna du jeune homme lui offrant un unique sourire pour lui faire comprendre qu'elle acceptait les termes et les conditions précisées par Jin. Certes le sourire n'avait pas toute sa candeur habituelle, mais elle ne pouvait faire mieux en l'instant présent.
Elle ouvrit la porte après une grande inspiration, le laisser seul ici inquiétait Michiyo. Pas de répit pour réfléchir, car une fois la porte refermée derrière elle, une voix masculine brisa le silence des couloirs au beau milieu de la nuit.

Hey Akimi tu vas ou?

Un des hommes de main du tyran, patrouillait alors qu'elle sortait. Sa voix la fit sursauter et l'extirpa de ses pensées, reprenant ses moyens elle se redressa et sourit au jeune homme qui se rapprochait d'elle. Cette dernière plongea son regard dans le sien prononçant les mots "Wahei Tamashii"en son fort intérieur.

Le client veut plus de saké je descends lui en chercher. Je pense qu'il est plutôt riche malgré son kimono simple.

Le garde semblait la croire et lui dit de se dépêcher d'aller en chercher sans l'oublier, ce que fit la demoiselle sans rien ajouté de plus. Elle vérifia que l'homme de main continue sa patrouille et ne s'attarde pas devant la porte de ses quartiers. C'est en chantonnant, afin d'apaiser la méfiance des patrouilleurs, que quelques dizaines de marche plus tard la voilà devant le hall d'entrée, où l'on avait retiré les armes du jeune Kaza. Personne n'était en vue et le vestiaire était verrouillé, seule la dame âgée et quelques hommes d'arme en détenaient la clef.

Akimi-chan ne devriez vous pas être dans vos quartiers à cette heure ?

Cette voix était douce, calme et légèrement tremblante à cause de l'âge de sa propriétaire. La dame semblait éreinté par toutes ses nuits de veille, épuisé par tant de mépris et de travail. Rougissant légèrement la kunoichi se tourne de côté pour voir à la fois la porte du vestibule et son interlocutrice. Comment lui expliquer sa venue ici sans accompagnateur et sans un client désireux de prendre congés ? La jeune femme infiltrée ne pouvait décemment pas faire de mal, à celle qui possédait la seule chose qui freinait encore le renversement de ce régime tyrannique. Ses pensées fusaient à mille à l'heure sans que le moindre mots ne franchisse ses lèvres. Son regard était posé sur la vieille dame qui farfouillait dans ses poches en se dirigeant vers la pièce tant convoitée. Un tintement inespéré puis le frottement métallique unique à une clef dans une serrure, délivrait la porte de ses chaînes. Surprise par le geste de la dame, qui pénétrait dans les ténèbres de la salle regorgeant de vestes, sacs, armes et tant d'autres chose, elle se mit enfin à parler, tout en la suivant à l'intérieur.

Haneko-sama... Mais que faites vous ?

La question semblait véritablement stupide, car la réponse était une évidence, elle lui ouvrait la porte et lui offrait dans le même temps un katana et un sabre plus court. Haneko ne les porta pas jusqu'à la demoiselle, lui montrant uniquement leur cachette. La jeune femme s'en approcha, les regardant avec attention en se rappelant les passages qui en parlaient dans le livre du jeune ninja de Kumo. Une main tremblante saisit un morceau de cuir pour les dissimuler, la manipulation silencieuse n'était pas des plus simples et pris un peu de temps. La dame de l'accueil revint vers elle, portant d'une main une sacoche en cuir ayant un peu subit les affres du temps et de l'autre, un plateau avec un service à saké.

Akimi-chan ce sac est pour moi une façon de te remercier. Depuis ton arrivé la joie et le repos que tu as apporté ici, ont redonné du courage aux filles. Je sais que tu n'es pas ici pour travailler, je ne suis pas dupe. Personne ne viendrait ici pour travailler et surtout pas de son plein gré. Peut importe d'où tu viens, merci... Ceci appartenait à mon fils parti bien trop tôt, il a donné sa vie pour la liberté d'Ebo et je pense qu'il n'aurait pas été contre le fait que tu les détiennes à présent. Maintenant part.

La jeune shinobi émue par les paroles de son aînée, la prit dans ses bras pour la remercier, puis saisit la sacoche pour prendre des notes de son contenu. Un kit de projectiles ninja, shuriken, kunai, senbon et deux notes explosive. La demoiselle était à présent armée, elle glissa les senbon dans ses cheveux et fixa la sacoche à la taille, dissimulé par sa ceinture tout en restant rapidement accessible. Enfin elle saisit les armes de Jin, maudissant le poids et l'encombrement des alliés des bretteurs. Une fois la prise des armes assurée et le plateau de saké dans les mains, elle dissimula l'image de la fatigue qui avait envahi son visage. Le retour sera sans aucun doute plus complexe, car elle ne pourrait pas utiliser sa technique de nouveau pour passer inaperçu. C'est donc les mains prises que la jeune femme prit congés de son amie.
Quelques mètres la séparaient de l'escalier, assurant sa prise le plus discrètement possible elle entreprit de gravir les marches une à une priant pour ne croiser personne. Le visage rougissant sous l'effort elle se rendit compte que seul une douzaine de ses obstacles venait d'être franchit. Elle sentait aussi plus que d'ordinaire son éventail dissimulé dans sa manche, en effet, ses muscles tendus sous l'épreuve de force qu'elle réalisait, l'appuyait sur ses côtes. En gravissant le second escalier une ombre passa furtivement près d'elle, enfin c'est ce que son esprit lui faisait croire, le réflexe fut de trop pour cette fois-ci. Le déséquilibre du poids des sabres la fit trébuché, à genoux sur les marches elle entendait encore le bruit de verre brisé contemplant le saké ruisselant sur le marbre.

Tu fais quoi la traînée ?

Les katanas étaient à découvert, il fallait le neutralisé au plus vite. Deux gestes totalement synchronisés attira le regard de l'homme qui approchait. Le premier fut de dissimuler à nouveau les sabres sous le cuir qui leur était destiné. Le second quand à lui détacha son éventail dans sa manche et l'ouvrit en un claquement sec pour le placer devant le bas de son visage.

Mission en coopération Pv Michiyo (Rang B) : La pègre et son quartier des plaisirs. [-16 ! : Topic à caractère violent] Missio10

Le regarde violacé de la demoiselle se plantèrent sur le garde comme un prédateur qui poursuit sa proie avant de lancer l'assaut. Cet homme, elle le connaissait il était sadique, pervers et aimait voir les gens souffrir. Concentrant toute sa haine sur les peurs de l'être immonde qui lui faisait face, des peurs somme toute relativement simples et communes. Une peur panique de la mort rien de plus, une fois la vision prête et cela ne lui prit qu'une ou deux secondes, elle décrivit un mouvement gracieux de son éventail. c'est a ce moment qu'un homme apparu en courant en haut du corridor, Jin se tenait là à la regarder, mais elle ne se déconcentra pas.

Kyoufu Kyoukou

Le regard du garde devint vitreux, terrorisé par les visions qui venaient de prendre le pouvoir sur son esprit. N'étant pas un ninja et étant seul il n'avait aucune chance de se sortir de ce mauvais pas. Une moue de panique déforma son visage, il s'apprêtait à hurler. La réaction de Michiyo fut plus rapide, en un éclair elle se plaça derrière lui verrouillant une clef de bras pour l'immobiliser et plaquant sa main sur sa bouche pour le faire taire. Le déplacement de la jeune femme avait été trop brusque et un pli de son kimono se déchira, laissant échapper ce qu'il renfermait. Un livre égaré par son propriétaire à Taki gisait tout près des sabres. Elle l'avait remarqué mais est-ce que le kumojin l'avait vu lui aussi ? Elle porta son regard dans celui du ninja du pays de la foudre alors que la garde cessait peu à peu de se débattre contre ses peurs. Il sombrait à présent dans les méandres de ses cauchemars et il resterait comme cela encore un moment, à son réveil il sera tétanisé de longue journée encore. Simplement, car il n'était pas entraîné comme la jeune femme à accepter la puissance des peurs, ainsi qu'à résister au Genjutsu. Maintenant il fallait faire vite et ramener l'homme dans la chambre pour à présent s'organiser pour l'attaque finale.

Spoiler:

Entre infiltration et déstruction

~ « Nuit suave et mort sulfureuse » ~

Quand je la retrouve, c'est un homme torturé qui tombe à ses genoux. Un homme tiraillait pas les peurs les plus profondes, celles d’émois ténébreux venu le hanté, venu de ses dessins les plus sombres, venu pour le dévoré... Dans son regard j'ai tout lu, de la peur mais aussi l'envie d'en finir avec sa vie, pour étouffer les braises incandescentes qui le harcèlent du plus profond de ces entrailles. Alors qu'un cri de libération veux s’arracher des ses lèvres meurtries, la Kunoishi restreinte dans son son kimono d'apparat le fait taire. Une chrysalide morbide, celle d'une veuve noir sans état d'âme, qui étouffe ses proies dans la plus belle des soies. Une de celle qui dévore les hommes dans leur propre fumier ensanglantés. Dans leur propre viscères. Comme pour les noyers dans l’opprobre et la culpabilité. En voilà un châtiment funeste, bien cruelle.

Dans son élan la belle araignée au venin fatal a déchiré le pan qui préserve la pudeur des ses chaires. Dénudant par la ses jambes gracieuses aux courbures mélodieuses. Encore un atout dangereux auquel mon regard s'extirpe de justesse. La faute à un ouvrage caché au plus près de son seins, tombé à ses pieds.
Le choc est époustouflant. Comme un souffle froid au sortir d'une douillette demeure un matin d'hiver. Une claque dont je ne me remettrai pas ! Mon esprit a fait le lien en une fraction de seconde, le lien entre elle et Michiyo Midorikawa ! Ces deux femmes ne font qu'une, L'une était un papillons sublime qui de sa voix tendre et chaleureuse m'avais pigait dans une chrysalide chaude et réconfortante. Le cocon du sentiment le plus brûlant auquel dieu nous ai fait dont, à nous les hommes. L'autre est une veuve noir, une araignée cruelle et sans vergogne qui noie sa proie dans ses propre culpabilités, dans ses propre remords et dans son propre sang !

Une once d'hésitation me tiens, avant que l'importance de la mission ne me rattrape. J'approche, tandis que son agresseur s’effondre dans ses bras, éprit d'un coma mortuaire dès plus oppressant. Au plus proche d'elle je l'ignore, jamais mon regard ne se pose dans le siens. Je ramasse prestement mes effets, mes armes et mon ouvrage, les glisses dans ma ceinture et écrase une poigne monstrueuse sur le cadavre que la Kunoishi tient encore. Saisi par la gorge je lui arrache et le porte jusqu’à la chambre tandis que dans mon ombre la veuve noir ne peut que me suivre. Dans les escaliers marbrés personne ne nous fait barrage, j'entre alors que la ninja traîne le tout jeune homme à l'interieur ; celui qui tenait en sûreté notre porte ; celui que j'ai éteint de mes mains un instant plus tôt.

La porte se referme dans mon dos et j'évite toujours le regard de la belle, faisant même les cent pas dans la pièce. Non pas pour réfléchir à une quelconque stratégie, mais pour digérer la traîtrise. La Kunoishi rencontrée à l'auberge de Taki, c'est dissimulée de ma personne par pur fourberie. D’ailleurs son parfum m'était familier j'en été convaincu, tout en est devenu limpide ! Alors que je m’apprête à lui cracher mes remontrances au visage, on frappe à la porte.

"Tout va bien ici !"

Un échange de regard furtifs entre ses pupilles violacé et les miennes azuré nous lie d'une compréhension immédiate. Un souffle d'audace méprend, j'ai avaler les mètre qui nous sépare d'un train pour venir glisser ma main dans sa fine chevelure. J'assure mes gestes d'un contrôle extrême, pour ne pas la blesser ni la contraindre. Une main noyer dans la chaleur ardente de sa nuque une autre apposée dans le creux de ses hanches généreuse et je finis par la plaquer contre le mur. La passion est un transport d'émotions qui bouillonne plus ardemment que l'élan dévastateur qui anime ma force démoniaque. Mes lèvres dévorent la moindre parcelle de ces chaires transpirantes, j'ai fait de sa peau mon univers. Un royaume ou j'hume et je goûte le sucre enivrant des embruns parfumés qui fulminent aux frontières de son cuire rougeoyant. Mes lèvres contre les siennes, ses mains plaquées contre mon buste et mon râle profond au limite du bestiale, comme une ode chanté à son oreille... J'ai alors perdu toute condescendance, que l'archange m'arrête ou j'en dévorerai l'essence vital. De la hanche ma main glisse sous le voile déchiré de son kimono soyeux... pour venir mordre des cuisses puis son fessier généreux.

Jin Kaza.

La pègre et son quartier des plaisirs.

Coopération avec Jin Kaza

Un froid semblait naître dans cet escalier de marbre blanc, à la seconde où le livre s'échappa le temps semblait s'arrêter pour Michiyo. Le regard et le visage stupéfait du bretteur du nord déchira l'âme de la jeune demoiselle. L'espace d'un moment la mission semblait compromise alors que tout semblait aller jusqu'à présent. La révélation avait été trop brusque et elle se maudissait de ne pas avoir fait le détour par Kumo avant. Son identité si bien gardé par les apparat du jour éclata comme un éclair une nuit sans lune. Saurait-il garder le secret et mener à bien cette mission ? A genoux le corps inerte du garde dans ses bras, elle observait la réaction de Jin priant pour qu'il poursuive cette quête, durement mise en place par la kunoichi. Il semblait s'être ressaisit, son pas déterminé et son regard fuyant en disant long sur ses émotions. Comment lui expliquer qu'elle le devait et que jamais il aurait dû la reconnaître ? Les gestes du jeune homme était précis et aucun regard ne lui était accordé alors qu'elle le cherchait. Les sabres à sa taille, son livre dans sa poche et l'homme inanimé arraché des bras de la shinobi, Jin pris le chemin de son nid transformer pour l'occasion en quartier stratégique. Tel une ombre la jeune femme se faufila dans les pas de son partenaire, puis ramassa le jeune gardien inerte sur le pas de la porte. Un instant de flottement et le claquement sourd de la porte résonna dans toute la pièce, le silence qui s'en suivit fit assourdissant. Dissimulant les corps des hommes, elle remarqua que le jeune Kaza faisait les cent pas, la moquette étouffait les bruits de sa marche. De la colère ? Non elle n'en décelait aucunement, c'était plus subtil plus vif comme sentiment. Elle était prête à recevoir ce qu'elle méritait. Le prix de sa trahison... Elle avait trahi son coéquipier lui dissimulant son identité. Comme coopérer avec une personne qui nous dissimule des informations, D'un autre côté c'était le prix à payer lors des infiltrations de cette envergure

Tout va bien ici !

Ne s'attendant pas à une visite à cet instant, ses joues prirent une teinte rosée instantanément. Leur regard se croisèrent enfin après ces longues minutes d'attentes. Elle croyait avoir échoué a cette mission, mais l'éclat dans le regard de Jin la rassura. Il fallait réagir, d'un geste imperceptible de la tête elle acquiesça toute manœuvre venant de la part de son partenaire

Le feu de ses pommettes s'intensifia, Michiyo croyait brûler de l'intérieur, son coeur se serrait. Les mains du jeune homme venait de se poser sur son corps et ses lèvres sur sa peau. La vigueur du mouvement fit reculer la demoiselle jusqu'au mur. Le poids de la fougue de son partenaire pesait sur l'intégralité de sa personne, mais la légèreté de ses gestes transcenda la jeune femme. Offrant sa peau alors que d'ordinaire elle aurait canalisé et restreint le moindre contact. Fermant les yeux au lieu de reste à l'affût du moindre geste suspect. La main forte du bretteur du nord sur sa nuque plaquait sa poitrine contre le torse de ce dernier. Alors que son autre main placée autour de sa taille empêchait toute échappatoire. L'esprit de Michiyo s'enflamma à son tour, sa main droite saisit doucement la chevelure sombre qui glissait lentement entre ses doigts appuyant de ce fait les baisers du Kumojin. Tandis que son autre main, glissa sur les hanches de son partenaire jusqu'à ses reins, faisant fusionner leur deux corps encore séparés par d'ample tissus et animé de passion dévorante et éphémère. Les yeux fermé et l'esprit vagabond la demoiselle profitait de cette instant comme ci cela était le dernier qu'elle vivait. Non pas qu'elle le vivait pour la première fois mais la situation actuelle changeait tout, le danger qui régnait au dehors des murs de cette pièce s'était évaporé en partie. Cette complicité semblait irréel, improbable. Mais l'ardeur du moment se dissipa aussi vite qu'elle était apparue. Un effleurement de leurs lèvres suivi d'un baiser prolongé. Une caresse au travers de son kimono déchiré, puis une saisit ferme de son fessier. L'ambiance qui régnait dans la chambre était incandescente, la porte était refermée depuis un petit moment déjà, mais personne n'y avait prêté attention. Soudain, les visions jusqu'alors oublié refirent surface, plus intense, plus présente plus dure à contenir. Les mains de la demoiselle se posèrent sur le torse de Jin, tentant de le repousser, mais la force de la passion ne se contient pas si aisément. La vue de Michiyo se troublait, son esprit semblait vouloir imploser, les forces la quittait. Tous ces sentiments, joie, peurs, amour et haine vrombissait dans sa tête à l'allure d'un essaim de guêpes dérangé. Une fraction de seconde, pour profité de la liberté de parler. C'est d'une faible voix qu'elle pris la parole tentant de tirer l'homme de sa torpeur.

Jin... arrête.... s'il te plait....

Sa voix se perdait dans les soupirs du jeune shinobi et sa force vitale diminuait à une rapidité qu'elle n'aurait jamais cru possible. La puissance de ses attaques psychologiques la détruisait de l'intérieur. Même avec tous les efforts du monde elle ne pouvait cacher la souffrance qui tenaillait son être. Son équipier allait peut-être tout découvrir, mais il fallait qu'elle se libère. A bout de force elle le repoussa en vain, car elle tenait à présent à peine debout. La jeune Midorikawa savait qu'elle pourrait vite récupérer ses forces et ses moyens, mais il lui fallait rompre le contact. Les quelques secondes avant que Jin lâche prise, lui parurent une éternité. Ses jambes ne la portant plus, elle tomba a genoux devant lui tremblante et peinant à retrouver son souffle. Rouge de honte et de fatigue psychique elle garda sa tête baissée et le regard fixé sur ses mains. Une faiblesse qu'elle s'appliquait jour après jour à dissimuler. Une vie de solitude, c'est uniquement cela qui la sauverait. Voilà pourquoi elle se refusait toute relation, voilà pourquoi elle restait seule... tel était son fardeau.

Entre infiltration et déstruction

~ « Nuit suave et mort sulfureuse » ~

Sa main glissait dans l'ondule de mes cheveux sombre, tandis qu'une autre, sur mes hanches, glisse jusqu’à mes reins et dirige la fusion de nos deux corps. Elle était alors animé d'une passion dévorante aussi brûlante que la mienne, mais tout aussi éphémère qu'une "belle de nuit". A l'image de cette fleure blanche du nord qui ne fleurit qu'une fois par an, lors des nuits du solstice d'hiver, pour faner au petit matin, notre feu ardent n'aura duré qu'un instant... La douceur pour laquelle je me suis épris de passion, perd ses forces. Doucement elle glisse vers l'errance de l'inconscience. Dans mes bras musculeux je la ressens qui faiblit, comme une fleure sublime qui au terme de sa danse nuptiale, jaunie. Elle fane dans mes bras et l'effrois me glace alors plus violemment que les gelures mordante de ma patrie !

Jin... arrête.... s'il te plait....

Comme une bouteille à la mer, dans les eaux démontées d'un océan brutal porté par les remous d'un émoi brûlant, je n'ai d'abord pas entendu, les gestes qui mon doucement repoussé. Ses mains plaqués contre mon corps n'ont fait que m'enflammer d'avantage. Ce n'est que lorsque les mot haletants, qu'elle ma délivrés comme un murmure suave et suppliant ont fait échos chez cette ultime lueur de conscience perdu dans les tumultes de mon océan, que d'une main de fer j'ai repris possession de ces eaux agitées, jusqu'alors transcendées par les houles écrasantes de la passion.

Elle tomba à genoux, une chute adoucie par mes soins. Tremblante elle peinait à retrouver son souffle. Elle gardait sa tête baissée et le regard fixé sur ses mains, comme si ces dernières étaient à blâmer. Un genoux à terre, j'ai alors glissé ma main auprès de sa joue, relevant son menton pour plonger mon regard dans le siens. C'est à cette instant que je compris l'ampleur du problème. Le moindre contact avec ma personne la faisait vaciller, un voile brumeux tombait alors dans son regard améthyste. Pas le genre de déséquilibre qui me prends moi, quand la chaleur de nos cuire se mêlent... Un mal autre plus sombre et mystérieux !

J'ai alors arraché les draps blanc du somptueux lit, pour les faire tomber sur les épaules de la Kunoishi, avant de la porter à bras le corps sur la couche. Ici je les laisser reprendre son souffle à son aise, loin de mes chaires fumantes et bestiales. Mon regard amplis d'inquiétude et d'interrogation cherchait réponse au mystère qu'elle porte en son nom, tandis que la belle retrouvez peu peu ses forces.

"Il faut m'expliquer Michiyo. Tu risques ta vie dans cette offensive. Et seul je n'y arriverai pas !"

Le discourt doux gorgé de compassion et de patience, j'attendais qu'elle me rassure sur son état. Si elle n'ai pas à même de combattre je la sortirais de cet enfer au détriment de la mission !

Jin Kaza.

La pègre et son quartier des plaisirs.

Coopération avec Jin Kaza

Dans cet instant de perdition le jeune ninja avait alléger le poids de son fardeau en la retenant. Il était de nouveau maître de lui-même. Elle était à genoux le regard fixe sur ses mains, tandis que celle de Jin se posa sur sa joue pour lui relever la tête. Un frisson encore intense longea sa colonne vertébral de la nuque jusqu'en bas de son dos. Encore un contact alors qu'elle ne possédait pas encore tous ses moyens, sa vue se troubla, la jeune femme semblait se noyer dans les limbes de ce flot d'énergie positive comme négative du shinobi. Il coupa cours à tout contact, comme s'il comprenait tout ce qu'il se passait, la tête de la demoiselle retomba lentement vers le plancher. Puis comme une aile douce et réconfortante, un drap blanc enveloppa Michiyo, elle se sentit soulevé, porté par les bras du jeune homme qui venait de la couvrir pour éviter le moindre contact entre leurs chairs. Il la déposa sur le lit avec douceur et délicatesse, attendant qu'elle reprenne ses esprits. Dans la tête de la kunoichi, elle tentait de tout remettre en ordre, car si elle ne cessait pas le tourment de toutes ces informations elle sombrerait sans doute dans la folie. Elle focalisa son attention sur un de ses souvenirs aussi réconfortant que le câlin d'une mère après le chagrin d'une petite fille. Rassemblant sa propre énergie positive elle apaisa doucement ses pensées tourmenté, comme une tornade qui se dissipe laissant place au doux rayon de soleil.

Il faut m'expliquer Michiyo. Tu risques ta vie dans cette offensive. Et seul je n'y arriverai pas !

La voix masculine qui délivra la pièce de ce silence résonna dans sa tête, comme un écho qui nous parvient au sortir d'un rêve un peu trop brutal. Il voulait savoir et Michiyo savait qu'il fallait le rassurer pour le bien de la mission, elle devait se relever et avancer pour finir cette quête. La jeune femme se leva doucement pour vérifier que ses jambes la soutenaient bien à nouveau. Puis plongea son regard violacé dans celui de son partenaire pour lui offrir un sourire rassurant. Enfin elle se servit un verre d'eau dont elle but quelques gorgées pour dénoué sa gorge. Elle lui tournait le dos pour ses premiers mots puis s'était retournée pour lui faire face, arborant toujours ce même sourire.

Je le sais que je risque ma vie Jin... Mais je vais bien maintenant, il me fallait juste un peu de temps pour reprendre mes esprits. J'espère ne pas t'avoir effrayé... Pour la suite il va falloir que je me rende dans les quartiers du chef de cette organisation, car j'ai encore un ultime cadeau à lui faire...

Sur ces mots, la jeune femme sortie un petit sachet d'herbe d'un de ses replis de son Kimono. Elle l'observa avec une grande attention, se rappelant l'homme qui lui avait fournit cette poudre létale, quant au thé il venait de sa propre fabrication. Puis se dirigea dans un coin de sa salle d'eau où elle avait réuni tout le nécessaire pour préparer du thé. Elle mit ainsi de l'eau à chauffer, puis elle revint vers le ninja de Kumo en souriant. Ses mains tremblaient encore un peu, mais sa démarche semblait sûr et son regard était redevenu brillant. Elle avait toujours le souffle court, mais le dissimulait habilement. La mission devait être faite et réussite peu en importait son état physique ou psychologique.

Cela va être la partie la plus simple de ce qui nous reste à faire. Bien qu'il faille encore un peu de discrétion, enfin pour la suite plus rien n'aura d'importance hormis les innocents vivant ici.

La demoiselle shinobi avait installé un plateau, avec une théière en fonte noir ainsi qu'une unique tasse, de la même fabrication que le contenant du liquide mortelle, qu'elle offrirait au tyran d'Ebo. D'un geste de nouveau sûr elle s'agenouilla près de ces effets, puis versa l'eau dans l'urne qui contiendra le meurtrier du dictateur. Enfin elle y vida son sachet qui au premier contact de l'eau rependit une couleur légèrement ambré, après quelques instants plus tard un doux parfum de jasmin s'échappa du couvercle. Elle se leva à nouveau et se rapprocha du ninja du pays de la foudre en prenant garde à ne pas renverser le liquide précieux.

Jin... Une fois que je serai rentrée dans sa chambre je cesserai de chanter... Et les gardes vont sortir de leur torpeur. Je n'aurai plus aucune prise sur eux.... Ni sur toi... Promet moi d'être prudent jusqu'à mon retour... Il me faudra que quelques minutes pour qu'il soit ne se doute plus de rien...

La demoiselle dénoua légèrement son kimono pour lui permettre de plus ample geste, puis elle fixa son éventail à la ceinture et enfin elle s'empara du plateau, après avoir mélangé la liqueur ambré et replacé le couvercle. La jeune femme s'assura que le jeune Kaza était prêt puis se dirigea vers la porte de sa chambre. Un sourire heureux s'épanouit sur ses lèvres en ressassant un souvenir qui lui tenait à coeur, une ballade chantée avec sa mère.

Wahei Tamashii

Elle commença sa chanson sourire aux lèvres, heureuse de chanter à nouveau en souvenir de sa mère. Se rappelant son parfum, sa douceur et sa présence apaisante et rassurant. Toujours en train de sourire, même au pire moment de sa maladie jamais Michiyo ne l'avait vu montrer une once de souffrance. Kumiko Midorikawa avait enseigné à sa fille comment cacher ses sentiments afin de se protéger. Elle déambula dans les couloir faisant résonner sa voix dans ce dernier, brouillant ainsi tous les esprits présents ici avec leurs propres souvenirs. Un chant de paix et d'apaisement retenait les questionnements et les ardeurs du combat des gardes et de Jin. Après quelques marches et deux coursives la porte en bois massif leur faisait face, pleine de dorures comme la première fois où elle l'avait vu. Le chant perdurait encore aux oreilles de tous les spectateurs. Un dernier sourire à Jin suivi de trois heurt sec à la porte perturba le chant. Mais il était tard et la réponse du chef tyrannique se fit un peu attendre. Pour patienter la jeune femme continua sa ballade en y mettant tout son coeur.

Oui entrez!

La porte bascula sur ses gonds et elle entra sans cesser de chanter plongeant son regard dans celui du tyran afin de planter et asseoir son emprise sur son esprit. La porte claque derrière elle étouffant ainsi sa voix et rompant par la même occasion le jutsu sur l'esprit des gardes et de Jin. Il était à présent seul avec la poignée de garde présent devant la porte. La jeune femme cessa de penser à cela et se concentra sur sa mission se disant que plus vite elle avait terminé plus vite elle pourrait aider le jeune homme au regard sombre. Michiyo allia grâce et souplesse dans ses déplacements posant le plateau sur une table près de l'homme tyrannique. Sa voix emplit la chambre contenant uniquement les deux êtres humains présent, Le visage et le regard du maître des lieux s'adoucirent progressivement. Son esprit était à présent complètement sous l'emprise du regard et de la voix de la kunoichi. Ses mains à présent sûr d'elle saisit la théière et servie une tasse de son thé mortel et le lui posa dans les mains en s'inclinant. Puis d'un geste élégant elle fit quelques pas en arrière dépliant délicatement son éventail. Elle commença à effectuer une danse typique de Geisha manipulant son attribut du vent. En toute innocence l'oppresseur d'Ebo, porta son verre à ses lèvres le buvant à moitié. Cela était bien suffisant et dans quelques secondes il commencera à agoniser. Le sourire de la demoiselle s'agrandit en voyant cela, observant son visage devenir rouge et son regard amplis de terreur et de question. La voix se tut et un doux rire le remplaça. Le regard améthyste de la jeune femme se fit plus dure et d'un mouvement d'éventail raviva toutes les peurs les plus secrètes du despote. Ses yeux s'injectèrent de sang et son visage se figea dans une moue d'horreur, tandis que la shinobi s'accroupit devant lui pour le regarder droit dans les yeux.

Kyoufu Kyoukou

Voilà ce que tu fais subir au peuple d'Ebo, voilà maintenant que toutes ces peurs te sont rendues. Tu mourras avec comme dernière image celle de ta terreur la plus intime. Et je serai là pour te regarder sombrer.

L'homme se débattait intérieurement pour se défaire de cette emprise psychique, mais il n'était ni ninja, ni même guerrier. Il était piégé et Michiyo riait heureuse de voir l'âme de ce pauvre homme quitter son corps. Son regard et son visage étaient les seuls témoins de ce qu'il voyait. Un cri s'échappa du pauvre tyran, mais seulement une seconde à peine, car la jeune femme l'étouffait déjà de sa main. Le poison mettait trop de temps à agir et elle n'en avait pas à revendre, car au vu du bruit provenant du couloir Jin devait se battre. Cependant, une partie de l'âme de la demoiselle était désireuse de le voir agonir. Une de ses mains passèrent dans sa ceinture ouvrant ainsi la sacoche de ninja offerte pour l'occasion par une dame animée par la vengeance elle aussi. Michiyo saisit un kunai et le sera fermement un sourire démoniaque fixé sur ses lèvres. La jeune femme semblait se transformer en une autre personne. L'arme de la demoiselle étincela sous un rayon de la lune jusqu'alors timide. Il s'éleva et frappa comme la foudre mord un arbre un soir d'orage. Touché en pleine gorge, il n'avait plus aucune chance. Le liquide de vie s'échappa avec force et vigueur de son corps tachant au passage le plateau de thé ainsi que la main droite de la belle. Cette dernière appuya son geste pour enfoncer le Kunai plus profondément, la trachée fit un craquement sinistre en se brisant sous le coup.

Ça c'est de la part de Cristal de neige.

Voyant le corps inanimés la jeune femme se releva ramassant son éventail et regardant une dernière fois l'homme se vidant de son sang et de son âme. Satisfait de la mort de cet homme elle se dirigea vers la porte de la chambre, s'arrêtant au passage devant un miroir pour remettre une mèche en place. C'est alors que Michiyo repris le contrôle d'elle-même en voyant ce regard si dure et si mauvais. Elle savait ce qu'il se passait, mais peinait toujours à l'empêcher de sortir. Il fallait qu'elle apprenne à se contrôler et se maîtriser, enfin la maîtriser. Elle retourna une ultime fois vers le corps pour verser le thé dans l'évier et récupérer son arme de la gorge du tyran. C'est ainsi qu'elle ouvrit la porte de la pièce mortuaire, la main droite tenant un kunai ensanglanté prête à intervenir au moindre contrevenant.

Spoiler:

Entre infiltration et déstruction

~ « Nuit suave et mort sulfureuse » ~

"[...] Je vais bien maintenant, il me fallait juste un peu de temps pour reprendre mes esprits. J'espère ne pas t'avoir effrayé[...]"

Elle avait récupéré très vite. L'eau cristalline lui avait suffit pour retrouver force, conscience et candeur. Un voile mystique plane toujours sur l’événement et ce n'est pas dans ses réponses évasives que je trouverai réponse. Par pudeur mais aussi par respect, parce-que je sais ce que c'est de vouloir garder secret ses jardins intérieur comme ses cimetières damné enfouit au plus profond de son passé ! Je n'ai donc pas insisté, éludant l'incident comme si jamais il n'avait eu lieu au grand-dame de mon cœur éprit.

"[...] les gardes vont sortir de leur torpeur. Je n'aurai plus aucune prise sur eux.... Ni sur toi... Promet moi d'être prudent jusqu'à mon retour. [...]"

J'écoute attentivement le plan qu'elle me propose, en silence je comprends ses affects ninja, à savoir Le poison et le genjutsu. Cette femme répond parfaitement au attente de la Kunoishi espion, une redoutable allié qui sera nous mener, plateau en main, au bureau du tyran d'Ebo. Et ceux, sans un mal. Son chant nous a tous plongé dans une plénitude confortable, moi comme les hommes de mains.

Quand la lourde porte au cadre doré embellit de gravures appliqués sur son bois noble et lustré se referme. L'assemblé masculine retrouve enfin conscience. Tous les esprits s'échauffent, je suis alors le dernier rempart entre le maître et ses chiens ! La cursive se remplit doucement d'individu tous plus armés les uns que les autres. Des regards veineux s’échangent dans un couloir noyer par l’animosité ambiante. Un couloir étroit comme champ de bataille pour notre petit jeu macabre du jour, voilà qui est à mon avantage...

Six contre un, mieux que m'inquiété l’imitant théâtre ou se jouera l'ode sanguinaire d'une nouvelle nuit, exhale chez moi le souffle brûlant d'une vengeance sans nom. Un souffle puissant qui gronde à l'image de mon essence vital bouillante. Mon sang comme catalyseur et mon corps comme exutoire, acteur de la sentence du pécher purgatoire !

"Gen'kotsu"

La lance d'un premier fond sur ma personne, foudre d'acier futile contre ma poigne divine. La morsure vengeresse s'abat sur le bois, une poigne sans faille qui stoppe l'asseau avant qui ne me pourfend. le portier ne lâche pas prise, mais à l'autre bout de la lance la force est implacable, je manie la lance comme si elle était mienne, soulève le frêle bretteur et l’écrase contre le mur attenant, le bois de son manche s'enfonce, craquelle et se brise dans ses entailles. En voilà un agonisant dans la douleur, pour autant ma besogne n'en reste pas moins inachevé. L'espace retreint contraint mes assaillants. Pour eux, pas d'autre possibilité que de renoncer à la fureur de leur katana pour dégainé l'acier court de leurs Wakizashi.

Un second s’élance, une coupe transverse pour me déchirer, épaulé d'un tiers qui donne soutient d'une estoc parfaitement calibré. Le duo synchrone ne me laisse pas le choix, le dur de mes avants bras sera l'acteur de mes défenses. J'anticiperai le front perçant pour le dévier et calculerai la trajectoire du front tranchant pour le bloqué. Pari risqué d'une manœuvre suicide...
J'ai dévier d'un bras l'estoc, ma vital nervure épargner, l'acier c'est tout de même niché dans mon épaule. Tandis qu'au même instant l'acier de la coupe transverse, c'est écrasé contre l'ossature du flanc dense de mon bras. Je ne remercierai pas assez la rudesse des enseignements passé, dispensé par mon maître Zekai ainsi que l’écrasant pouvoir que m'offre la résistance du Gen'kotsu.

/L'ulna(=cubitus) os de l'avant bras, a une face superficielle qui ne donne pas d'insertion musculaire et qui courre sous la peau de l'avant bras, comme le tibia de la jambe : Jin contre l'acier avec son ossification densifier par le Gen'kotsu et le Zekai no Ken/

Gen'ko-Zekai, l'ultime défense physique du clan Kaza !

Le regard effarés des attaquants n'a pas le temps de se dissiper et leurs comparses de venir les sauver, que ma funeste vengeance tombe sur eux. La force du démon suffira... Mes avant bras ouvrent l'angulaire de mon imposante poitrine, frappant par la même l'acier ensanglanté pour désarmer les bretteurs désabusés. Mes chaires son débarrassé du poison ferreux jusqu'alors planté dans la chaleur fumante de mon corps et mes ennemies dorénavant sans défenses. Le chant des fer tombé n'aura pas le temps de résonner sur le parqué que ma poigne aura écrasé les cous et les vertèbres des deux hommes.

Gen'ko-Zekai, La morsure vengeresse !

Le sang vomit, exhalé du nez ou même des yeux fait preuve indubitable d'une mort cruelle, douloureuse mais silencieuse. Comment aurait-ils puent criés leur souffrances, j'ai nié leur droit à la parole, j'ai saper le vœu, celui de leurs dernière volonté !

Courageux était le suivant, son sabre porté en garde haute se voulait tomber sur moi comme un joug d'outre tombe. Un tranchant descendant que je ne laisse pas venir... Mon poing déchire la pièce d'un grondement plus terrifiant que celui d'un tonnerre. Un geste invisible mais sonore, le mur du son brisé résonne longtemps aux oreilles de mes assaillants.

Gen'ko-Zekai, L'implosion vengeresse !

Je crois qui ne reste rien des viscères de cet homme. Son foie aura implosé à l'image de sa cage thoracique percer : Dans le sang et l'horreur fumante des chaires brûlantes. J'anticipe le geste du dernier brave, arrachant sa trachée et les nervures sanguines qui la nourrissent, dans une gerbe jugulaire écarlate. Encore une fois le Gen'kotsu à parler de son sombre et funeste langage damné. Le sixième, est un lâche, il fuit mais mon courroux le rattrape, j'ai brisé ses vertébrés lorsque son dos il m'a donné. Encore une fois ma morsure vengeresse à parlé de son émoi d'ombre et d’hécatombe.

Mission en coopération Pv Michiyo (Rang B) : La pègre et son quartier des plaisirs. [-16 ! : Topic à caractère violent] Gamara10

Quand enfin je me retourne, la porte s'ouvre. Une vison d'horreur attend la belle tandis qu'au loin j'entends le pas pressé des renforts...

Jin Kaza.

La pègre et son quartier des plaisirs.

Coopération avec Jin Kaza

Quand elle a ouvert la porte c'était un homme encore tendu par l'effort du combat qui se dressait devant elle. Les mains rougeoyante du sang des gardes étaient baissés, et aucunement agressive. Un rapide coup d'oeil dans le couloir lui révèle l'ampleur des dégâts et la force dévastatrice de son coéquipier, en effet la vie coule et se répand sur les murs et le parquet. Aucune brave n'aura survécu jusqu'alors, il ne reste rien de vivant dans cette coursive à part des corps sans âme, tranché et brisé de part en part. La jeune femme était à présent complètement rassurée, l'homme du pays de la foudre qui lui avait été envoyé en renfort était un guerrier redoutable. Mais il restait encore à faire tous les hommes de main n'étaient pas encore arrivés, leur fureur grondait et résonnait déjà en bas, plus rien à présent n'éviterai le combat. Michiyo posa à nouveau son regard sur le jeune homme pour voir son état physique qui, au vu de l'hécatombe n'était pas si mauvaise que ça. Une profonde entaille au niveau de l'épaule de Jin laissait échapper lentement son sang. La kunoichi concentra son chakra dans sa main droite, cette dernière s'entoura d'une légère aura verdâtre qui scintillait doucement, elle apposa sa main sur la blessure. L'ouverture se referma assez rapidement gardant à nouveau le liquide de vie précieusement.

Shousen

Les pas et le tintement des armes se rapprochaient rapidement de leur position, mais la jeune femme tenait à conservait l'intégrité de la bâtisse, il leur fallait sortir et combattre dehors. C'est sous la brise fraîche de la nuit qu'elle serait à son avantage, c'est dehors que ces mécréants termineraient leur agissement et pour bon nombre d'entre eux leur vie. Une fois la blessure refermée la jeune femme se plaça devant l'homme à la poigne de fer, constatant avec étonnement que ses armes n'avaient ni quitté leur fourreau ni même été salit. Une dizaine de lâche briseur de vie firent irruption devant eux, choqué par le spectacle et vociférant des injures pires les unes que les autres. Des insultes que ne faisait qu'attiser la rage de la demoiselle, pour toute réponse elle se mit à composer des signes en souriant, dans un nuage de fumée dix personnes créées à l'identique de sa créatrice se tenait devant elle. Elle se faufila alors que toutes se mettaient en mouvement pour tromper l'oeil. Ces clones imitait à l'identique les gestes de leur maîtresse, reproduisant le moindre mouvement de ses muscles, la moindre émotion comme un jeu de miroir qui n'en finirait plus de noyer le regard. Sa main se leva pour saisit deux des armes camouflées dans sa longue chevelure, son geste était sur et ne tremblait pas. Une fois les deux senbons tenus fermement, elle arma son bras et les lança sur l'homme qui semblait tenir la tête de l'escouade vengeresse. L'immobilité de la victime augmentait les chances de réussites, une des deux se ficha dans son épaule le déséquilibrant sensiblement alors que le deuxième par chance toucha le cou mortellement. Michiyo savait que la chance n'était pas à compter en tant qu'allier dans un combat, mais là elle avait été généreuse.

Kasumi Juusha

Le pauvre bougre s'effondra de toute sa hauteur sur le palier de marbre alors qu'à l'unisson les clones chargèrent, se précipitant sur les gardes, qui par réflexe avait dégainer leur arme. Chacun d'être eux frappèrent ces illusions qui volèrent en fumée. Une technique ratée fut la première idée de l'assemblée, mais pour la demoiselle tout était calculée, sa main gauche rangea son kunai dans sa sacoche, puis agrippa la manche de son compagnon pour l'inciter à la suivre. Fonçant à toute allure la demoiselle entra dans l'écran de fumée quand ce dernier se dissipa, ses créations n'avaient aucunement disparu, mais au contraire avait doublé leur effectif. Animé par l'adrénaline qui coulait à présent à flot dans son organisme la demoiselle concentra son chakra sur la main droite, mais ce n'était pas une aura verte en cet instant-là, mais comme un éclair bleuté qui semblait électrique, elle affinait son essence pour qu'il devienne tranchant comme une lame de rasoir. Fondant sur ses proies tel un faucon sur sa victime, la belle arma un revers de sa main rayonnante sur un garde abasourdit par la rapidité et effervescence actuelle. Touchant juste, elle trancha net le-devant de son cou, l'hémoglobine jaillit de l'ouverture ainsi créé aspergeant ses voisins. Michiyo sentie quelques gouttes de ce liquide encore chaud sur son visage, et comme un voile devant ses yeux sa rage et sa haine s'animèrent. Cette fureur qui se faisait appeler cristal de neige et elle prit possession de l'esprit et de la conscience de la kunoichi, tranchant et déchirant tout ce qui lui barrait le chemin. Derrière eux les clones de brume explosait toujours et se multipliant davantage.

Chakra Enjitô

Néanmoins, sa course folle ne l'avait pas épargné pour autant, son habit pourfendu à plusieurs reprises avait finit presque en lambeau. L'amplitude de son vêtement fausser pour la plupart des coups la précision de son initiateur. De plus, son accompagnateur et la fumée la protégeait d'attaque plus véloce. La sortie n'était plus très loin quand la pointe d'un sabre arracha un léger cri de douleur à la jeune demoiselle, L'épaule endolori elle s'arrêta une seconde pour saisir la forte poigne qui tenait l'arme. Tirant l'homme jusqu'à elle, elle lui offrit un sourire digne d'un carnassier avant son repas, avant de faire pénétrer sa main affûté tel un scalpel dans son abdomen. Elle s'enfonçait aisément à l'intérieur de ce corps hurlant sa douleur, rompant sa technique elle se saisit du coeur du pauvre homme qui battait à peine. Tous les autres attaquants c'étaient figés glacé par ce cri effroyable, une mélodie aux oreilles de la dénommée Cristal. Cette dernière riait doucement en voyant le visage du corps agonisant, ses forces le quittaient et sa voix s'éteignait peu à peu.

Chut voyons ne va pas effrayer tes petits camarades. Là tu vois Cristal est là endort toi...

Le palpitant à la main alors que le corps tombe lourdement sur le marbre déjà rougit, la jeune demoiselle se retourne vers l'assemblé et Jin qui s'était arrêté lui aussi. Riant et insouciante du danger elle regarda le voisin du défunt, la blancheur de son visage et son haut le coeur confirmait sa jeunesse sur le champ de bataille. Aucune morale ne freinait l'horreur de Cristal, elle saisit doucement presque tendrement sa main pour y déposer l'organe encore palpitant. Le jeune homme horrifié s'écroula sous le poids de sa terreur, aucune technique psychique n'était à l'oeuvre pour cette fois et aucun artifice n'y avait aidé. Dans un dernier rire cristallin la jeune femme tira Jin vers la sortie se plaçant à distance convenable de l'entrée. Toujours entre le bretteur du nord et les attaquants elle composa une autre série de signe. La nuit noire dissimulait la technique invoquée, seul le faible rayon de la lune faisait scintiller les gouttes noirâtre qui tombait d'un ciel sans nuage. La zone se confinait entre la porte d'où les gardes sortaient hurlant leur envie de vengeance, et la position des deux shinobis attendant le moment opportun pour frapper. Le liquide qui se déversait mouillait le costume des hommes de mains sans maître, alors que sur le sol il devenait glissant soustrayant tout appuie stable pour ces hommes pressés d'en finir. La première rangée de ces derniers finirent leur course ventre à terre, alors que les autres s'agglutinèrent dehors à se demander ce qu'il se passait. Une main passa dans sa ceinture sortant ainsi une note explosive, intérieurement elle bénit la vielle dame de lui avoir confiée ce sac. Elle l'utilisa comme déclencheur d'une hécatombe sans nom, une étincelle dans la nuit fit jaillir un souffle comme le hurlement d'un dragon réveiller après des siècles de torpeur. Elle s'était protégée le visage en croisant les bras devant elle, une fois l'explosion sans voix, c'est celle des agonisants brûlant sous le feu encore attisé par cette pluie mortelle qui lui succéda. Debout devant les flammes Cristal semblaient hypnotisée par la douce chaleur et lumière du feu ainsi que les cris qui s'éteignait peu à peu, pour laisser place à un silence de mort

Spoiler:

Entre infiltration et déstruction

~ « Nuit suave et mort sulfureuse » ~

8 secondes d'utilisation du Gen'kotsu dépensé dans le rp précédent

La fatigue à aussitôt gagné mon corps, quand j'ai éteins le feu bouillant du Gen'kotsu. Une poignet de secondes suffisent pour m'épuiser. Ma maîtrise de l'arcane démoniaque est plus que bonne, mais j'ai à cœur de l’améliorer encore et toujours, jusqu'a atteindre le niveau du père de tout les Kaza. Un homme dont la légende dit qu'il pouvait déchirer le roc dur de la montagne d'un simple geste aérien...

La Kunoishi sortie, les mains et le visage égoutté et entaché par le sang, confirmaient à mes yeux la mort du dirigeant. Son regard s'attardait brièvement sur les cadavres qui jonchaient là, avant de terminer sur les plaies. Une aura verdâtre, luminescente et chaleureuse se posa alors sur mes chaires, les talents de la ninja sont indénombrable... J'avouerai m'être senti démuni face aux multiples compétences dont elle me fait preuve. Mais cela n'était rien encore. Quand la dizaine d'homme s'attroupa entre nous et les escaliers marbrés, vociférant leur dégoûts leurs haines mais aussi leurs désires de vengeance, la belle n'en resta pas moins calme. Après avoir tuer le chef de file, de deux senbons habilement tirer, jusqu'alors cacher dans sa chevelure ondulée. Une série de mudra lui suffire ensuite pour faire apparaître une petit armée de double. Sur l'instant j'ai crus avoir affaire à des clones, bel-est-bien physique. La performance propre au ninja de Konoha me désabusa, j'ai noté alors l'ampleur de nos différences...

Mission en coopération Pv Michiyo (Rang B) : La pègre et son quartier des plaisirs. [-16 ! : Topic à caractère violent] Attaqu10

C'est la cohue, un méli-mélo de chaires et de sangs. Fumante est l'ambiance, elle m'a sommé de la suivre, dans son sillage je la vois tranché des têtes comme de simple fruits mures. Une luminescence bleuté vrombi dans ses mains, je ne lui connaissais pas tant de cruauté gratuite, quoi que la mission oblige à ce genre de comportement. Le sabre court dégainé je couvre notre retraite. Les lances sont un atouts plus que puissant dans l'étroitesse de ces couloirs. Je peux difficilement contrer les attaques et riposter ensuite, mon wakizashi aussi lourd et résistant soit t'il n'en reste pas moins trop court. Je n'en n'aurai terrassé qu'un ou deux dans cet enfer, privilégiant la défense de ma comparse lançait alors dans une ode destructrice chanter du revers de ses mains tranchantes. Les clones, ne sont pas physique, mais leurs facultés à fait germer la discorde et la désorganisation chez nos ennemies, ils se multiplient à mesure qu'on les tues !

Pour autant, malgré mes efforts pour couvrir ces arrières, la furie, parce-que c'est qu'elle est à cette instant précis, ne maintient pas la proximité protectrice avec moi. Aspiré par ses émois rageurs elle s'enfonce dans la mer de fer ennemie. Un homme aura alors facilement blessé la kunoishi tandis que j'affrontais au même instant les naginatas/haltebardes en tous genres, qui fondent sans vergogne sur ma personne.

"Chut voyons ne va pas effrayer tes petits camarades. Là tu vois Cristal est là endort toi..."

Le pauvre homme en paiera le prit. Tout de suite il perdit son cœur dans un cris de souffrance tordant, aigu et lancinant. Un cœur arraché des mains nues de son assaillante blessée. Les mots sont sadiques et le comportement inquiétant, voilà donc la sombre araignée qui sommeille cachée dans les blanches pétales de la fleur.

Finalement notre duo à sus sortir sans trop d'encombre de la bâtisse. C'est maintenant tout les hommes du clan qui sortent dans la place attenante au petit château. Une quarantaine, auquel nous avons décapité une petit quinzaine depuis le début de notre opération. Ce sont des soldats organisés et bien armés. Malgré leurs incompétence dans le domaine du ninjutsu j'ai repéré quelques fines lames qui seront nous causer de sérieux problèmes. Alors que je range la courte lame, pour faire naître la lourde et puissante épée forgé par Kumo, une pluie sombre tombe du ciel. Un coup d’œil sur ma comparse m'indique que c'est encore un fruit des arcanes ninja qu'elle maîtrise. Les uns glissent, les autres tombent, la suie poisseuse les a tous encrassés. Alors que l'assemblé sort doucement mais surement du piège une note explosive finis d’achever le travaille. Un brasier sans nom s’élève, le hurlement des hommes incinérés sur place aura surement résonné dans toute la ville comme la dernière souffrance d'une cité lésé mais aujourd'hui soigné !

Des flammes ne sortie qu'un seul homme, la ceinture noir qu'il porte, gravé au nom de l'école Hitten mitsurugi ne présage rien de bon. Le style de cette école est forgé dans la puissance et le vide, tandis que le miens dans la puissance et le feu. Nos écoles sont opposées, mais sans conteste partage le même goût pour la force pur !

"Vous avez précipité mon accession à la tête de cette organisation et je vous en remercie. Je sais aussi dorénavant que les villages nous ont dans le collimateurs ! J'avais pourtant prévenu l’imbécile, il faut être plus discret !"

Je fais signe à la kunoishi de rester en retrait. Un combat de bretteur s'annonce. Un de ceux que l'on ne dérange pas, un de ce qui font la fierté des vainqueurs. Mon regard s'intensifie, les veines autour de mes azures pupilles noircissent, gorgées d'un chakra dense. L'ultime acuité du kendoka, celle du style Zekai, me sera d'un grand secoure dans ce combat ou mes forces purs sont amoindries !

"Zekai shouka !"

Lui comme moi savons bien que les mots ne valent pas l'échange qui va suivre. Que nous en connaîtrons plus, l'un sur les motivations de l'un et sur les volonté de l'autre dès le premier échange. Là ou des heures de discutions ne nous mènerait à rien.

La garde batto est un fabuleux défis technique pour l'attaquant que je suis. Rengainer, sa dégaine véloce pourrait me tuer d'un seul coup. Je n'ai ni connaissance de sa vitesse, ni connaissance de sa longe. Heureusement mon sabre est long, une estoc solide sera le mettre à mal. Je m'élance, l'inflexibilité de ma lame l’empêche de parer même dans sa dégaine légendaire. Il recule sous le joug du Shogeki Kujo. L'impact destructeur est un arcane du style Kaza auquel les défenses ne sont pas préparées. Le déséquilibre qui suit suffira pour armé une attaque puissante. La lame s'allonge dans mon dos, mon appuis planté solidement en terre engage la chute terrible du châtiment divin.

"Gen'ko-Hibarashi, l'ombre du lotus pourpre !"

Mission en coopération Pv Michiyo (Rang B) : La pègre et son quartier des plaisirs. [-16 ! : Topic à caractère violent] Brise_10

Dans sa chute mordante mon sabre à brisé l'acier ennemie, petit sacrifice comparé au châtiment diabolique que je lui réservais. C'est le premier homme à sortir indemne de ce combos. Surement n'ai je pas été suffisamment pour m'engouffré dans l'ouverture offerte par le Shogeki. Toujours est t'il que c'est maintenant lui qui attaque. Le bras tremblant il peine à récupéré. La force dévastatrice du Gen'kotsu l'aura sans conteste inquiété, mais le courage face à la mort est un affect de bretteur... Jamais nous ne reculons !

"Kuzu Ryu Sen"

Jamais je n'ai vue un geste aussi rapide. Six assauts porté simultanément à moi. Mes affrontements passé mon éreinté, mais mon regard vois venir l'attaque comme un ralentis d'une mort certaine. J'esquive donc habilement les attaques portés, contrant les plus dangereuses dans un pas de recule savamment exécuté. Le shouka s'étend que déjà sa lame écrase la mienne dans un froissement d'acier menaçant. Ma lame appel au sang et la sienne également. Un chant sinistre venu des fers pour les enfers...

"Chikkyu Ryu Sen"

Habile, mon sabre aussi lourd soit-il est dévié, une estoc vient alors s'enfoncer dans mon épaule et déboîter l'articulation déjà endolorie par une blessure fraîchement soigné. J'ai mordu mes lèvres quand le feu de la douleurs à sonné en moi. Nous voilà à présent l'un en face de l'autre. Mon sabre tenu d'un bras, j’éveille les dernières force du démon malgré le contre coup douloureux que cela me demande, sans cela le bras droit de l'organisation m’écraserai...

" Tu est fort, mais je vais en terminer avec l'Arcane suprême de mon école...
Hyoho Niten Ichi Ryu !"

Il avait disparue ! Juste à temps j'ai pu relancer le Zekai Shouka alors qu'il attaquait dans mon angle mort. Une premier roulade me sauva la mise. Mon regard aussi acéré soit t'il avait un mal fou à le suivre, j’abattais mon sabre sur lui que déjà il disparaissait pour réapparaître dans mon dos. Une danse macabre à laquelle l'issu semblait inéluctable. Déjà à sa deuxième attaque je ne pouvais plus suivre. Son sabre fond sur moi dans un élan fatal, j'attaque moi aussi, mais c'est sur il m'aura déjà trancher que mon sabre ne l'aura pas encore touché !

Figé sur place mon sabre le déchire en deux dans une gerbe de sang, d'os brisés et de viscères fumantes. Ses boyaux et son échine fracassée s’entendent maintenant par terre alors que l'assaillant agonise dans son dernier souffle. Pourquoi, pourquoi c'est t'il stopper dans son élan... C'est un genjutsu, lancé par la ninja de Konoha qui l'a pétrifié sur place, il ne m'aura pas fallu longtemps pour le comprendre. Ma rage alors grandis malgré la faiblesse de mon corps meurtrie.

"Pourquoi vous êtres vous interposée !!!"

Jin Kaza.

La pègre et son quartier des plaisirs.

Coopération avec Jin Kaza

La danse macabre des flammes ne consuma pas tous les hommes qui avaient détruit la volonté d'Ebo. Un en réchappa, au vu de ses armes et de sa tenue c'était un bretteur au même titre que Jin. Son visage éclairé par la lumière dansante et vif du brasier révéla son identité, le bras droit de cette infâme bande se dressait déjà devant le shinobi du pays de la foudre.

Vous avez précipité mon accession à la tête de cette organisation et je vous en remercie. Je sais aussi dorénavant que les villages nous ont dans le collimateurs ! J'avais pourtant prévenu l’imbécile, il faut être plus discret !

D'un geste de la main, le coéquipier de la demoiselle lui fit signe de rester en arrière, une demande qui attisa la Rage de Michiyo. Cette dernière sombrait dans les méandres de son inconscience, en proie à tant de haine refoulé et tant de rage enfermé. L'écho du fer croisé par ce combat singulier ne parvenait qu'en un bruit étouffé aux oreilles de la douce kunoichi. Perdu dans un rêve bien sombre, elle n'entendait que sa propre voix lui parler. Une voix intérieure qu'elle dissimulait tous les jours, une voix terrifiante pour la demoiselle qui la paralysait dans ses songes, mais l’interpella dans sa chute.

Alors, petite Michiyo, que penses-tu de mes prouesses ? As-tu remarquée la force que nous avons toutes les deux ? Tu devrais me laisser combattre plus souvent. J'aime ça, entendre tous ces cris, sentir la chaleur du sang de mes victimes sur mes mains et ce goût métallique.

Cristal arrête je t'en prie. Cesse de faire souffrir ces pauvres hommes, tu.... tu es si cruelle. Pourquoi tant de haine ? Pourquoi cette rage ?

HA HA HA Michi-Michi tu me fais rire, tout ça t'appartiens, cette rage et cette haine sont les tiennes. Seulement Cristal de neige les contrôle mieux que toi. Maintenant tais toi et regarde.

Le ton autoritaire de cristal figea la demoiselle impuissante devant tant de volonté, spectatrice des agissements de sa voix intérieure. Le bretteur de Kumo affrontait avec ferveur le second tyran du groupe tandis que ses sbires agonisaient toujours. La rapidité des deux jeunes hommes ainsi que leur force déconcertait la jeune femme. Ce combat était épique et impressionnant. Des gerbes d'étincelles jaillissaient des chocs des acier manier avec habilité, les cris du fer emplissaient la nuit remplaçant peu à peu les hurlement du brasier. Michiyo se débattait intérieurement pour aider Jin qui semblait mal en point, sa force lui demandait beaucoup de ressource et l'attaque de son adversaire toucha juste, s'ensuivit d'un bruit sourd. L'arme jusqu'alors maintenue à deux mains, n'était plus soutenue que par une seule. La douleur était inscrite sur le visage du bretteur blessé, mais il tenait bon. L'épaule déjà blessée ne semblait plus à sa place, Michiyo hurlait à l'intérieur de sa cage son désespoir et son envie de lui venir en aide, mais l'esprit sombre semblait sourire et se réjouir du combat.

Tu est fort, mais je vais en terminer avec l'Arcane suprême de mon école...

Le jeune Kaza esquivait tant qu'il pouvait parant et contrant les attaques fulgurantes de son adversaire, mais en retour son sabre fendait l'air. L'ennemi était aussi vif que l'éclair attaquant toujours dans le dos du blessé, cela ressemblait à une danse avec pour seule musique le chant de l'acier contre l'acier. Jin faisait face à la kunoichi et regardait derrière lui, armant sa prochaine attaque. Cristal pris la parole interpellant le bourreau qui attaquait le dos mis à découvert du jeune bretteur. Elle venait d'ouvrir son éventail prête à savourer la suite des événements arborant un grand sourire.

Hey toi là bas, arrête de jouer et regarde moi ! !

Kyoufu Kyoukou

Intérieurement Michiyo louait cette intervention de la part de sa geôlière, bien que maudissant le fait qu'elle ne tienne absolument pas compte de ses limites. Un mouvement gracieux de son arme de vent, stoppa net le joug dévastateur du bretteur à la ceinture noire. Un seul regard avait suffi à terrasser la brute, un seul coup d'oeil pour lui assurer une mort certaine par le fer du bretteur de la foudre. Tout ce que renfermaient ses chairs jaillir pour se répandre sur le sol. Un feu d'artifice aux yeux du mauvais esprit de Michiyo, mais une horreur aux yeux de la douce. Le jeune bretteur semblait furieux par l'intervention qui lui avait sans doute sauvé la vie. La douce demoiselle ce serait confondu en excuse si elle avait été maîtresse d'elle-même. La réaction en fut tout d'autre à son grand désarroi, uniquement spectatrice de ce malheur.

Pourquoi vous êtes vous interposée !!!

Le rire de la demoiselle terrifia Michiyo, qui se démenait pour reprendre le contrôle, elle avait peur de ce qu'il pouvait bien arriver. Toujours son éventail en main, elle l'agitait nerveusement comme un serpent à sonnette agitant sa queue pour prévenir sa victime. Les pensées de Cristal était clair, tuer était la seule chose qui lui importait.

Pourquoi Cristal est intervenue ? HA HA HA mais tout simplement parce qu'elle ne voulait pas que tu meurs par ses mains à lui. Mais maintenant que tu connais son secret tu dois mourir ! !

Kyoufu Kyoukou

Le geste du poignet de la kunoichi avait déjà commencé son oeuvre, hypnotisant sa proie elle rassembla toutes les peurs secrètes, refoulée et intime du bretteur, afin de les projeter dans son esprit. Michiyo hurlait et se débattait en assistant à cela, il fallait qu'elle fasse taire cette furie. Mais déjà le regard du jeune homme devenait vitreux et son visage retranscrit ses terreurs les plus intimes. Pendant ce temps la jeune femme s'était rapprochée de l'homme tombé a genoux, kunai en main. L'âme enchaînée rassemblait son courage et toutes ses forces disponibles, car après cette rude nuit ses forces avait grandement diminué, et épuisé les deux esprits. C'est alors que saisissant la chevelure sombre du shinobi pour basculer sa tête en arrière, elle pris à nouveau la parole, jouant de son autre main avec son arme.

Sais-tu que Michi-Michi se bat pour te sauver la vie ?

La volonté flamboyante de l'âme prisonnière vînt enfin à bout de son geôlier. Ce saisissant les tempes elle laissa son arme tomber sur le sol devant l'homme qui reprenait peu à peu ses esprits. Il en restera pas moins troublé et choqué un bon moment. La demoiselle pleurait déjà à chaude larme à cause de la frayeur qu'elle venait de vivre. Elle s'en serait voulu toute sa vie si elle avait regardé son coéquipier mourir par sa faute. Honteuse elle s'éloigna du jeune homme lui jetant un dernier regard noyé par sa rivière de larme.

Jin.... Je.... t'en pris.... gomenasaï

Enfin dissimulée par quelques arbres la jeune femme usa de ses dernières forces pour grimper au creux d'un arbre, s'effondrant ainsi, épuisé mais victorieuse malgré la peur que Le jeune homme la pourchasse. Mais elle accepterait complètement son désir de vengeance et même la sentence qu'il lui réserverait, quelle que soit cette dernière.

Mission en coopération Pv Michiyo (Rang B) : La pègre et son quartier des plaisirs. [-16 ! : Topic à caractère violent] _une_l10

Spoiler:

Entre infiltration et déstruction

~ « Nuit suave et mort sulfureuse » ~

12 secondes d'utilisation du Gen'kotsu dépensé dans le rp précédent

Pourquoi Cristal est intervenue ? HA HA HA mais tout simplement parce qu'elle ne voulait pas que tu meurs par ses mains à lui. Mais maintenant que tu connais son secret tu dois mourir ! !

Cristal ?! Je me doutais bien qu'une entité nouvelle avait prit possession d'elle. La douce Kunoishi de konoha douce et prévenante, sensible et clémente a cédé sa place au roc froid d'un cristal pourpre. Ce patronyme lui sied à ravir, m'étant parfaitement en exergue la nature dur et monochromatique d'une personnalité enfoui, refoulé pour sa cruauté. J'aurai aimé retourné au près des miens en ce jour triste. C'est dans l'apparente fragilité des femmes que réside le panache de leurs plus grande force, parce-que la douceur est un atout d'ange dans ce monde d'archanges. Mon épouse avais tout de la douceur, un fourreau d'acier tapissé dans un écrin de soie. Le repos j'ai trouvé auprès d'elle, pour sceller dans sa candeur l'hardeur brûlantes des rages tonitruantes qui bouillonnaient jusqu'alors mon âmes.
Dans le regard de celle qui veux maintenant ma mort j'ai à mon grand désespoir replongé dans le funeste dessin sur lequel ma vie à trébuché. Ma plus grande peur est un souvenir, celui des larmes et des râles torturé de ceux que j'ai chéri et aimé mais tué. Je me revoie éteindre de mes mains tout un clan, les mains d'un homme blessé et perdu. Ils m'avaient alors arraché ce que j'aimais le plus, mon épouse. La rage dans les veines j'ai tuer jusqu'au dernier l’ensemble d'une famille qui ne souhaité que vivre. Faute de ne pas avoir sus la sauver, j'ai exterminé jusqu'au dernier femmes et enfants soldat et vieillard... Tout cela dans la haine et la folie de l'instant brûlant. Cette seul seconde ou tout n'a plus de sens, ou le sentiment noble l'emporte sur tous les autres, puis finit par basculer dans le vide infini de la tristesse. A cette seule seconde c'est le monde entier que j'aurai détruit si les forces, j'avais possédé.

Mission en coopération Pv Michiyo (Rang B) : La pègre et son quartier des plaisirs. [-16 ! : Topic à caractère violent] Chap_110

Le remord est un poison, j'ai ciré, souffert et maudis mon bourreau avant de m’éteindre dans une torpeur inconsciente. Le regard vide, j'ai erré longtemps dans les limbes de mon esprit tiraillé. Au sortir de ce long silence intérieur j'ai retrouvé la chaleur tiède d'un lit. J'étais alors alité dans l’hôpital de Kumo. Le blason de la foudre dans le dos d'une infirmière, changeant alors les draps blanc d'un lit voisin n'aurait su me mentir. Quand elle me vit revenir à moi... tout sourire la jeune femme m’éclaira des nouvelles auxquelles je n'étais pas aux faits, perdu que j'étais dans le repos d'une mort à demi réalisé.

"Trois jours que vous étiez dans le coma. Une équipe de Genins vous à récupéré au lendemain de votre mission à Ebo. Les villageois témoin nous ont prévenu de la situation. Konoha présente ses excuses. Mais la Raikage n'a guère apprécié... Vous vous souvenez de ce qui c'est passé ?!"

J'ai acquiescé d'un geste de tête, avant de porter mon regard sur l'horizon. La réalité finit toujours par me rattraper !

Jin Kaza.

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