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 Puisqu'une histoire n'est jamais la même deux fois [Terminée]

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Ayumi Hidemi
Suna No Juunin
Suna No Juunin
Ayumi Hidemi

Messages : 120
Date d'inscription : 25/04/2013
Age : 28
Localisation : Dans les bras de ma chérie

Feuille Shinobi
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MessageSujet: Puisqu'une histoire n'est jamais la même deux fois [Terminée]   Puisqu'une histoire n'est jamais la même deux fois [Terminée] EmptyJeu 25 Avr - 20:32

HIDEMI Ayumi



""La moitié d'un ami et la moitié d'un traitre." V.Hugo"






Personnage

|- Age : 25 ans.
|- Surnom : Princesse, par ses parents.
|- Sexe : Femme.
|- Village : Suna.
|- Rang : Juunin.
|- Liens familiaux : Clan Hidemi.

Joueur

|- Age : 17 ans.
|- Localisation : Bouches du Rhône.
|- Comment êtes-vous arrivé ici : Ancien membre Nnr.
|- Une note sur 10 : 9, par ce que 10 symbolise la perfection, et que la perfection pousse certain à arrêter de s'améliorer Cool
|- Vos Hobbies : Guitare à plein temps, basket ball et lecture quand il m'en reste.



"Rekishi" - Histoire


Chapitre un :
Car nous naissons tous, il faut bien grandir un jour ..

Deux personnes qui ne se connaissent pas, de leur rencontre nait l'amour, de cette amour vient une relation, de cette relation vient un geste, et de ce geste vient un enfant. Hiruzen faisait parti du clan Hidemi et était ninja du village de Kumo. Lors de l'une de ses missions il avait du aller aider un village en guerre. Ce village en guerre ... il n'était que poussière à son arrivée. Cependant il y avait une survivante, une femme, qui malgré les cendres et les habits déchirés, avait une certaine aura autour d'elle. Il n'avait pas eu à se faire prier pour aller la secourir et la rammener au village. Il s'était surpris à lui rendre visite de plus en plus souvent à l'hopital, à lui parler, et à devenir ami avec elle. Mais ses sentiments allaient plus loin ... Et lors de sa sortie de l'hopital, alors qu'Hako ne savait pas où aller pour redémarer sa vie, Hiruzen lui avait proposer de venir chez lui ce soir, elle aurait toute la journée d'apres pour réfléchir à où elle irait par la suite. Sauf qu'elle n'avait jamais quitté ce lieu. Elle était devenu sa femme et par ce geste portait le nom des Hidemis. Et au bout d'une année de vie comune, elle était tombé enceinte. Neuf mois plus tard, un bébé sortait de son ventre, une fillette qui porterait le nom d'Ayumi.

Elle aussi désormais, était une servante dévoué du clan Kiyomizu, alors qu'elle était née il n'y avait même pas quelques heures, mais elle était une Hidemi, et tel serrait son but plus tard. Ce bébé était la fierté du couple, les rendaient heureux, et donnait toujours envie à Hiruzen d'être de retour le plus vite possible de mission pour la voir. Elle était magnifique, à ses yeux, et aussi à ceux de sa femme, alors qu'il n'avait jamais rien trouvé de beau chez un bébé. Mais celui ci était le sien, le sang de son sang, "le fruit de ses entrailles".

En quelques mois -ses parents s'amusait à compter- elle avait apris à marcher, ou du moins à se déplacer, car ce n'était pas encore cela. C'était amusant à voir, un bébé qui essayait d'aller d'un bout à l'autre d'une pièce. La petite apprenait sacrément vite, et avait se sourire émerveillé dès qu'elle faisait un pas. Bien qu'il savait que ça allait être ainsi, son père n'avait aucune envie que celle ci grandisse et ait à prendre les cours et habitudes qu'elle aurait à prendre. Il aurait aimé la voir apprendre à marcher pour l'étternité. C'était tellement amusant, et beau ... Il ne pouvait croire que lui même avait été ainsi un jour, avant de devenir l'épée de son clan, et le serviteur de celui de Konoha.

Quelques mois passèrent, désormais elle marchait plutôt correctement, courant de ses petites foulées vers sa maman, tombant quelques fois, pleurant et puis riant lorsque sa mère la rassurait. La petite Ayumi avait vécu son premier anniversaire, et s'éssayait à la langue des humains. Quelques mots sortaient de sa bouche, et finirent par former des phrase. Elle avait une petite voix mélodieuse qui semblait être une chanson lorsqu'elle parlait, un vrai petit ange au yeux de ses parents. Et puis jours après jours, elle grandissait, marchait mieux, parlait mieux et s'interressait à tout. S'émerveillait de tout, voulait tout savoir. Hiruzen était vraiment heureux, lorsqu'il tenait sa chère femme par la main, et que son petit bébé sur les épaules lui posait des questions sur ce qui les entourait, avec des yeux plein d'étoiles.

Et puis vient le jour de l'éducation, à compter de ses quatre ans, on commençait à lui inculquer ce qu'était son clan, doucement, avec des images symbolique et simpliste, petit à petit, elle apprenait à tour de rôle à écrire, peindre, compter ... Tout ce qui faisait de vous un petit enfant. Mais ses maitresses mettaient un point d'honneur sur l'art. Son petit frère était née quelques années après elle et souvent elles le prennaient comme exemple dans leur "dessins". Certe au début ce n'était que de vulgaire griboullis. Mais au plus elle vieillissait et plus cela devenait .. quelque chose. A l'âge de ses septs ans, il y avait un jeune garçon, du même âge qu'elle, qu'elle croisait souvent. Il s'agissait de Kakuzô, l'un de ses cousins, ses parents l'avaient chargé d'aider Ayumi à s'occuper du petit lorsque ses parents ne serrait pas là, et plus tard il deviendra son tuteur. Les deux enfant s'entendaient bien, étaient de bon amis. D'ailleurs, même Si Ayumi avait quelques fois des contacts avec les autres, elle n'avait pas vraiment d'autre ami pour le moment. Du même âge presque exactement, il n'y avait qu'eux. Et il grandirent un bon moment ensemble.


J'étais encore toute petite, et l'on m'apprenait déjà beaucoup de chose ! Un peu trop pour ma petite tête, mais je m'éfforcais à tout retenir, nous avions un but commun dans le clan, on me l'avait assez répeté et maintenant je commençait à comprendre. Ce que j'aimerais moi, être un jour aussi belle que ces femmes dont on me parle, du clan Kiyomizu. On me conte leur beauté du matin au soir, et je n'en ai jamais vue. J'aimerais être une fille comme cela plus tard ! Non pas que je veuille que tout les hommes me ravissent, mais être belle comme cela .. c'était un peu mon but personnel en plus de celui que nous imposait notre nom.

Mon cousin aussi grandissait, et c'était à lui d'avoir à apprendre tout ce qu'on nous avait appris à mon petit frère. C'était amusant de le regarder faire, mais nous nous voyions de moins en moins, j'avais d'autre occupation, la musique, l'écriture, la peinture, et plein d'autre apprentissages ... C'était merveilleux, mais a la longue, j'en apprenais tellement en une journée que mon cerveau semblait vouloir me dire stop. Et en plus de cela, il fallait ajouter les entrainements phyisique et persistant, l'art du combat ... Pourtant j'aimais cela, apprendre apprendre et toujours apprendre. C'était tellement beau ce que je pouvais découvrir ! Au fil du temps, on m'apprenait ce que j'allais devoir être plus tard, et on parlait de mon inscription qui semblait approcher à grand pas à "l'académie des ninjas de Kumo". Alors j'allais devenir comme papa ? Une Kunoi... Kunoichi ? Apprendre à me battre et tout cela ? Encore apprendre, c'était merveilleux. J'avais hâte d'y être. Cependant, quelques jours avant mon entrée dans cette académie, je n'avais bel et bien que sept petites années, on me raconta une histoire, comme quoi l'un de nos ancètre aurait rompus nos lien avec le clan de Konoha, qu'en vérité, nous les servions indirectement. Comment cela ? J'avais eu vent des réactions de mon cousins et je le comprenais facilement, on m'avait caché ça et je faisait tout cela ... pour rien ? Pour "tenter" de ratrapper une érreur passé ? Je n'eu pas la force d'agir de même que Kakuzô l'eut fait, mais interieurement je pestais tout autant. Ma timidité me tuais, je la découvris à cette âge là, voyant que j'étais incapable d'agir face à cela, juste bonne à fermer les yeux et à laisser couler ..

L'académie ninja me fit reprendre une second souffle. Je passais plus de temps ici et même si mes entrainements persistait à la maison, délaissant les connaisance pour le combat, j'y passais beaucoup moins de temps qu'avant, me concentrant plus sur la musique que ma mère m'apprenait. Mon père semblait fier de ce que je devenais, m'entrainait à me battre. Il était un ninja medecin, et j'étais toujours émerveillée de le voir panser mes bleus et mes blessures avec ses jutsus. C'était impressionant, c'était une ninja comme cela que je voulais être, même si l'on m'orientait beaucoup plus vers le combat, je voulais être en mesure de sauver les autres. Si nos ancêtres avaient échoués, c'était peut être car ils n'avaient pas exploré toutes les possibilité. Moi je le ferrais, comme mon père.

A la maison on me bourrait le crâne, j'avais le même âge que mon cousin, je devais donc sortir diplômée en même temps que lui. Pourquoi ? Chacun avançait à sa manière non ? Il était plus doué que moi, de peu puisque nous étions les deux premiers, mais on me poussait toujours à le ratraper. Moi j'aimais bien le fait de savoir qu'il était meilleur que moi, en quelque sorte. Car cela donnerait un but à mon talent en medecine, que mon père avait commencé à m'inculquer doucement, mais surement en m'apprenant les bases de la biologie. Cependant, et a ma propre surprise, à mes dix ans j'eus mon diplôme en main et l'on m'affectait à une équipe. Tout deux étions la nouvelle génération et mes parents étaient fier de moi. J'étais également fier de moi même, car malgré ma timidité, et le fait qu'à l'école on nous prenait pour des pouris gatés, j'avais réussi à me faire des amis.

Mais un nouvel evenement m'en appris plus sur ma famille, alors que nous nous amusions avec mon petit frère, nous sommes tombés sur un livre, un livre racontant l'histoire de notre clan, comment on en était arrivé là, depuis nos plus vieux ancêtre. Avec ce que l'on m'avait raconté, je ne pus m'empêcher de tourner la première page :

«
Histoire du Clan Hidemi Volume I
récit écrit par l'un des nôtre, dont le nom fut perdu avec les âges.

Qu'étions nous avant ? Nous le clan Hidemi ? Peu de chose c'est vrai. Un simple clan de Kumo, vivant dans la paix et le bonheur malgré tout. Nous n'étions pas aussi nombreux que le furent les jeunes âmes d'aujourd'hui, ou du moins ce qu'elles seront je n'en doute pas, mais je ne vivrais pas assez vieux pour les voir de mes propre yeux. Nous n'étions qu'une simple famille n'ayant aucun talent ou haut fait particulier, ne participant guère a la vie active du village comme le faisaient les ninjas. Ceci n'était pas pour nous.

Nous vivions dans une simple maison, en bordure du village, mais avons tout de même eu notre petit secret. Un secret qui n'en était pas tellement un en vérité car il était notre fierté. Notre beauté. Il s'agissait de notre elevage de paon ! Ah je me souviens encore de mon tendre âge, le temps que je passais à contempler nos magnifiques oiseaux, et a les caresser ... Ce petit troupeau nous donnait notre légere réputation dans le village et dans le pays, on nous connaissait pour cela, alors que d'autre étaient connus pour leurs hauts faits de guerre. Chacun son histoire. Nous, nous gagnions notre vie comme cela, en élevant les plus beaux oiseaux du monde ! Ci ce n'était pas magnifique ... J'aurais aimé voir mes fils à l'oeuvre, près de ses oiseaux, mais mon temps se meurt, et il m'en reste tout juste assez pour pouvoir conter cette histoire à nos futurs descendants, il ne faut pas que l'histoire se perdre.

Et puis un jour, notre bien nous fut prit. Je ne pourrais pas, même en cent ans de vie, vous raconter la réaction de notre véneré chef, qui était pourtant un homme bon et aidant son prochain comme personne. Je ne l'avais jamais vu d'une telle fébrilité, sur le bord des nerf, à bout. Il ne se fit pas prier et parti en expedition avec son cousin et bras droit à la recherche de notre bien aimé bétail. Et malgré ce que j'en dis, tous, nous furent au plus profond de nous atteint par cette subite disparition, qu'allait on devenir ? Bon sang si jamais ils ne les retrouvaient pas ...

Et puis nous les virent revenir, plus rayontant que jamais, suivit de nos précieux, je peux encore entendre la voix de notre dirigeant, nous compter sa merveilleuse découverte. Ils avaient rencontré Narcisse. Quel étrange phénomène, ici et pourquoi ? C'était alors ceci la raison de la fuite de notre bétail, il avait été attiré par cet homme. Notre véneré chef nous compta mot pour mot ce qu'il avait vécu, et tenta de nous décrire, se perdant dans ses mots, la splendeur de cet homme ! Je pouvais moi même me le visualiser, me l'immaginer, et percevoir sa beauté.

Notre famille gagna en popularité car il avait été retrouvé un objet appartenenant a l'un des seigneurs féodal, le représentant de notre clan s'était tout de suite précipité pour le lui rendre. Et pour nous remercier, celui ci nous donna argent et terre. En même temps que cela, il nous fit part de son engouement pour l'art, et que désormais, elle serait notre pratique commune. Tous nous devrons nous y atteler. Ainsi, les clients affluait de plus en plus nombreux, l'argent entrait à flot et notre influence augmentait peu à peu. Pour moi qui entrait déjà dans mon âge avancé, je voyais cela comme un renouveau pour nous, nous devenions des gens importants ! Et puis un jours, notre cher chef revu ce Narcisse, et en revint des plus éblouit qu'avant, nous donnant pour but de devenir les humbles serviteur des Kiyomizu de Konoha. De les servir jusqu'à la mort dans leur moindre désir. Ceci nous transforma, et transforma notre clan. Nous n'étions plus que de simple vilageois oeuvrant dans l'élevage de paons, nous devenions des combatants et des ninjas, de véritables serviteur et ain..... /page arrachés/ »


C'est tout ? Ceci m'avait émerveillé au plus haut point, je voulais la suite ! Mais malheureusement, cela ne semblait pas possible, mais j'avais eu une nouvelle activité, désormais je recherchais les pages qui manquaient et m'attelait à recopier soigneusement en plusieur copie ce journal, comme il disait "l'histoire ne doit pas être perdue" !


Chapitre deux :
Ainsi commence une vie


Finalement cela n'avait pas été si dificile, je pouvais désormais porter avec fierté le bandeau de Kumo sur mon front, remplaçant ainsi mon bandeau de lin rouge que je portais constament. J'étais vraiment heureuse d'avoir réussi, on m'avait tellement soulé avec cela "Ayumi, tu dois y arriver et être promu en même temps que Kakuzô" et patati et patata. Au fond de moi même, j'avais eu une profonde envie de faire expres d'échouer, pour embêter tout le monde. Mais mon père avait eu les mots juste, et je voulais être la fierté du clan, même si mon cousin qui était le digne successeur en tant que chef le serrait surement plus que moi, je l'aiderais dans son ombre à devenir le meilleur de notre clan. Il en avait la force et il pouvait le faire, s'il ne l'était pas déjà. Je l'aiderais, du mieux que je pourrais.

Mais on nous avait une nouvelle fois séparé, et par une plus grande distance puisqu'on nous avait chacun affecté à une équipe differente. J'étais avec deux de mes anciens amis de l'école, j'étais plutôt bien tombée. Et en plus, notre sensei était une ninja. Que pouvais je rêver de mieux ? Elle nous en appris beaucoup sur ce qu'allait être notre vie, ce qu'elle était. Elle nous en appris tellement que tous nous devellopions de fort lien entre nous, en seulement quelques années, on en avait fait un bon bout de chemin.

En même temps, je continuais mon apprentissage au sein même de mon clan, cet entrainement que je me forçais de continuer, malgré tout. Entre temps, mon père lorsqu'il était présent continuait de perfectionner mon Irou, et du haut de mes douze ans, je savais déjà réaliser les jutsu basiques de cette école. J'étais la seule ninja à maitriser ces techniques dans mon équipe, et j'étais du coup, très souvent solicité auprès de mes camarades. D'ailleurs, il me semble même que j'eus été la seule de notre promotion à maitriser l'irou, du moins à ce niveau. C'était en quelques sorte ma vocation. Et qui plus est, avec mon entrainement je maitrisais bien le Taijutsu, ou du moins savait me défendre. J'étais pour une fois, un point fort. Dans mon équipe j'étais la meilleure de nous trois, derrière notre sensei, mais ma timidité me refusait de l'avouer, pour moi ils étaient meilleurs que moi sans nuls doutes.

Je persistais aussi à pratiquer les arts musicaux et de peinture, écrivant également quelques fois par ci par là, et je voyais mon corps se transformer. De petites bosses apparaissaient sur ma poitrine, au début cela m'avait troublé, mais ce n'était pas le pire. Le pire se situait sous la ceinture, quelque chose que toute les femmes doivent endurer m'avait dit ma mère. Et bien, je me plain déjà d'être une femme, si tout les mois je dois vivre cela ... Mais bon, si c'est le prix à payer tant pis, je l'endurerai. Je devenais aussi de plus en plus jolie selon mon entourage, prenant un soin farfelue de mon corps et de mes cheveux, j'aimais être belle en tout temps et à vrai dire je commençait à m'accomoder au fait d'avoir ces deux ... bosses en plein milieu de la poitrine. Et alors que ma taille s'était arrêté à un mètre soixante neuf, eux deux ne s'arrêtait pas, il fut un temps ou j'eus peur que ceux ci deviennent tellement immense que je n'en verrais plus mes pieds. Mais il s'était arrêtés pile poil à la bonne taille. Enfin pour moi. Cela me plaisait, j'aimais mon corps comme il était. Je n'avais que quatorze ans mais souvent on me vieillissais. Avec mes camarades, nos missions se faisaient fréquente, souvent de petites choses débiles, ne requierant que peu de nos capacités, mais l'une de nos mission fut d'un rang élevé, nous avions tous le stress montant dans notre poitrine, sauf notre sensei. Au final tout s'était bien déroulé, nous avions reussi avec brio, et ma fierté n'en fut que plus grande.
Celle ci continuait de grandir, puisque notre Sensei nous avoua capable de nous produire à l'examen Chuunin de cette année. A vrai dire cela faisait déjà quatre ans que nous étions ninja, peut être était il temps de passer à l'étape supérieure ?
Nous étions donc ici, sortant de la sale d'inscription à l'examen, avec une certaine peur, j'avais du être celle qui avait du parler pour le groupe, nous annoncer comme participant. Le Kumojin s'occupant des papiers avait du ressentir ma timidité, puisqu'il me sourrit d'une de ces manières qui vous donne la force de finir vos phrases, interieurement je le remerciais de ce geste, c'était aimable à lui. Et puis quelques jours plus tard, nous y étions, j'étais aller voir mon cousin une dernière fois avant de me rendre à l'examen, lui il l'avait passé seulement un ans après avoir recu son titre de gennin, voici donc l'écart que je voulais qu'il y ait entre nous, au fond de moi. Il était vraiment fort, j'étais vraiment faible, du moins c'était ce que je croyais, car quelques heures avant mon examen, celle qui était notre sensei me demanda si vraiment je me sentait si faible que ça, et me dit même que si c'était le cas, je pouvais tout de suite abandoner l'examen, je ne réusirais pas si je ne croyais pas en mes capacités. Elle me conta une à une, toutes ces petites choses que j'avais accomplis dans l'équipes, ces combats que j'avais mené à bien avec ma tête et mes bras. Mes amis que j'avais surement sauvé plus d'une fois avec mon irou. Je devais mener notre équipe jusqu'a la dernière épreuve, au moins.

Ce fut donc ainsi que je m'instalais dans la sale de la première épreuve, ces mots qui raisonaient encore en moi. Et je pus me rendre compte de ce talent dont parlait mon sensei à la fin de la deuxième épreuve, ou plutôt après les phase de qualifications pour la finale de l'examen. Ce type lui, se croyait trop fort, croyait qu'il allait m'abatre à plat de couture avec son Katon surpuissant et cuisant. C'était lui, qui était cuisant et notre combat ne dura pas très longtemps. Il chargea dessespérement sur moi, surement ne s'était il pas renseigné sur ma personne ? Il passa sous ma garde, et la poigne de mon katana s'abatit sur sa nuque, il tomba dans les vapes au sols et j'étais désignée gagnante. Comme quoi, il ne sufisait pas de se croire bon pour l'être, mais j'étais loin d'être tombée contre le meilleur ...

J'avais un peu dévelopé ma tenue, désormais j'avais deux katanas courts qui me tombait du dos, à porté de main, c'était le maniement de cette arme qui m'avait été enseigné lorsque j'étais plus jeune. Et je dois dire que la finale ... Je n'aurais jamais pensé la remporter. Ce fut sur un coup de chance, j'avais réussi in extremis à faire passer l'une de mes lames sous la garde de mon adversaire qui préparait un jutsu, sauf que je ne lui en avait pas laissé l'occasion de me relancer une nouvelle fois cette attaque étrange, son chakra semblait innépuisable, et moi j'étais presque morte de fatigue, si le combat durait plus longtemps, je risquais d'y passer. Sauf que je l'avais eu, il s'était approché d'un pas de trop de moi, l'une de mes lames passa sous son bras, brisant son mudra tendis que je le frappais de la paume de la main sur le ventre, a terre, il avait ma lame sur la gorge et il devait finalement être autant épuisé que moi, puisqu'il n'eut pas la force de se relever, même une fois ma victoire signalée. En même temps, c'était le combat le plus long que j'avais mené, mais je n'osais pas le frapper au point vitaux, ni même à lui trancher un morceau de peau. Alors que lui tentait de me tuer à chaque attaque. Il y avait eu plein d'ouverture ou mes lames aurait pu l'abbatre, mais je ne souhaitais pas avoir une mort de plus sur ma conscience, ce type lors de l'une de mes missions m'avait suffit, à mon âge.

J'avais donc reussi l'examen, alors que mes deux compagnons devraient le repasser. Finalement ma sensei avait raison, j'avais un certain talent, peut être. J'avais grandit d'une nouvelle étape dans ma vie, j'avais ratrapé mon cousin pour une courte durée, et mon père en était fier. A croire qu'il était le seul, car les autres semblaient tous plus perturbé par la distance que prennait le digne descendant du clan avec celui ci que part leurs prouesses. Seulement, au fond de moi, j'avais la misérable impression de n'être qu'une ombre, je ne les interessait pas, personne ne voulait savoir ce que je devenais. Je m'étais peut être préparée à cette éventualité, mais là, ça me frappait ... et fort.

Et puis vint un jour ou je rencontra cet homme, au bord d'un fleuve, il était l'un ninja medecin les plus réputés de Kumo, je n'aurais jamais imaginé le croiser un jour, et puis la il était devant mes yeux. Ma timidité ceda face au poid de la curiosité et d'un pas sautillant, je me dirigeais vers l'homme, qui semblait dormir. Jamais je n'oserais le reveiller voyons ! Merci aux dieux, je n'en eu pas besoin puisque celui ci ouvrit un oeil en m'entendant approcher. Je fut agréablement surprise quand celui ci, sans même m'avoir demandé qui j'étais me fit signe de m'installer à côté de lui et de l'accompagner durant la fin de son repas. Je ne fis pas prier et degusta donc cette petite brochette de poisson sans même dire un mot. Même si mes yeux se tournaient sans cesse vers lui. Et puis il prit la parole, il me connaissait ? Ce fut à ma plus grande surprise. De plus, il savait que j'avais un certain talent pour l'irou, merci papa.

Et alors, ce passa quelque chose que même maintenant je ne peux pas saisir. Il retroussa sa manche gauche et me presenta une brûlure sur son avant bras, me demandant si j'avais la gentillesse de bien vouloir le guérir. Euuh oui, mais pourquoi ne pas le faire soit même ? Je veux dire, son Irou était bien plus performant que le mien alors pourquoi me le demander à moi ? Tout de même, je me mis à genou et posa doucement mes mains sur sa blessure, laissant un leger flux de chakra sortir de mes paumes. La sensation de mon jutsu semblait l'appaiser et lui procurer un certain bien être, ceci me troubla d'autant plus. Et il continua dans les geste incongru que je ne comprenais pas, d'un coup il pris l'une de mes mains dans sa main droite, et moi je n'arrivait pas à défaire mon flux de chakra. D'un coup il prononça un simple mot, "Vent". Voulait il dire qu'il s'agissait de mon élement ? Ou qu'il allait faire du vent à Kumo dans peu de temps ?

Cet homme que je ne connaissais que de réputation semblait m'apprécier, mais cela me faisait tout de même peur, s'il voulait seulement mon corps pour une nuit ? C'était à cause de ce genre de pensées que je réfléchis un moment à sa proposition lorsqu'il me dit qu'il voulait m'apprendre à mieux maitriser l'Irou, et en m'avouant avoir décelé mon ellement qu'était le Fuuton, m'entrainer également à celui ci. Dans ma famille aussi, cette nouvelle ariva comme un coup de poignard. Pour ma mère surtout, qui ne concevait pas que je parte avec un total inconu, même pour devenir plus forte.

Ce fut encore une fois mon père qui me sortit d'affaire, couvrant mes trâces, je me rendis donc hors du village, sur un mont non loin de Kumo, pendant deux ans, ou il m'appris les jutsus de base, et d'autre plus développé de mon ellement, ainsi qu'en approfondissant mon irou. Si avant je ne me voyais uniquement comme une ninja de soutien, désormais avec mes katanas, mon fuuton ... je devenais bien plus polyvalente, je pouvais me battre seule, et être capable d'appliquer des soins sur des gens bléssés. Sauf que je n'aurais jamais le niveau médical de mon père. Ces mots m'ateingnirent au plus profond. C'était tout ce que je souhaitais devenir, étant petite ! Une ninja, toute comme mon père. Et puis, après ma formation, je compris qu'il m'avait fallut cela pour me motiver, que je ne ratraperais jamais le niveau actuel de mon père, puisque celui ci progessait à mesure que moi je progressais. Ainsi il serrait toujours meilleur que moi, sur ce terrain du moins, puisque moi j'étais aussi faite pour le combat. Du moins, lui avait eu des problèmes avec la famille lorsqu'il s'était consacré à l'irou, et délaissant ainsi son entrainement de combat. Mon irou devenait donc plus un complément qu'un véritable talent. Les rôles s'inversaient. J'étais en fait, plutôt moyenne en tout. Je ne savais pas où se situait ma plus grande force. Mais revenons là où nous en etions.

Pendant les premiers mois, j'avais vraiment appris à maitriser l'élement du vent, bien que je ne connaissait rien de celui ci, mon mentor parvint tant bien que mal à me faire rentrer cela dans le sang. Travaillant dur, ne delaissant pourtant pas mon entrainement physique que j'entretenais toujours avec mes katanas. Et puis petit à petit s'ajoutait à cela l'entrainement de l'irou, J'avais du mal à tenir la cadence, et vivre dans un endroit reclu de toute population ne m'aidait pas. Heureusement, après six mois de durs labeurs, j'eu enfin droit à quelques jours de repos. Mon mentor comptait entammer un voyage et voulait que je l'accomagne, ou alors je pouvais rentrer à Kumo sans finir mon entrainement.

Pendant donc environ six mois supplémentaires, nous voyageames dans le pays de la foudre, en fait je ne comprenais pas vraiment ce que voulais faire cet homme en se baladant de mont en mont, dans des sortes de monastères, aussi splendide architecturalement parlant soient ils, sans grand intêret pour moi. Mais il ne s'arrêtait pas de m'en faire baver pour autant. Et puis vint un jours où il m'avoua qui il était. Il était le frère ainé de celle qui avait toujours été ma sensei. Elle l'avait supplié de bien vouloir me prendre comme élève et notre rencontre n'avait été que pure mise en scène. Je me sentais quelques peut honteuse après ceci, mais finalement, ce n'était pas plus mal. Elle tenait tant à ce que je devienne un grande Kunoichi alors ? Et ma famille avec tout cela ? Avaient ils acceptés que je parte durant tout ce temps pour devenir plus forte ?

Enfin, après cet éprouvant voyage, nous en étions à la moitié de mon apprentissage, seulement ... J'eus une nouvelle fois le droit à un peu de répis et puis l'entraiment repris de plus belle, de plus en plus rude, je devenais de plus en plus hésitante quand à mes capacités de tenir un tel rythme ... Le temps passait passait .. et je n'avais toujours pas l'impression de progresser. J'avais plus l'impression que la fatigue et l'épuisement me faisait regresser. Et puis, vers la toute fin de mon entrainement, un message nous fut transmis. Il y avait eu une attaque sur un village non loin, nous etions les seuls personnes capable d'intervnir et alors que je me préparais à partir, mon sensei tenta de me retenir, en prenant comme pretexte que nous n'avions pas terminé.

Je lui tenu tête autant que je le pouvais, et il semblait fier de me voir faire ceci, comme si c'était ce sens du devoir que je mettais en avant cette fois qu'il souhaitait m'enseigner. Et puis soudain, il m'annonca que je n'avais plus rien à apprendre de lui, et qu'après cette mission nous ne nous verions plus. Que .. quoi ? Avais je vraiment attein le niveau que l'on attendait de moi ? Ou peut être qu'il n'arrivait à rien avec moi ... Et puis, peut être avait il intercepté mon regard, une main sur l'épaule, cinq mot et mon moral revenait de plus belle. "Je suis fier de toi". M'avait il dit avant que nous nous élancions vers ce village, a quelques dizaines de minutes d'ici.

Une fois sur place, il y avait des bléssés, mais pas que. Des morts entre autres et les coupables étaient toujours là. Je sentais une rage qui ne m'étais pas familière m'envahir et sans même comprendre ce que je faisais, je fis carnage dans les rangs de ces brigands innexpérimentés. Je les aurait volontier tous tués si l'on ne m'en avait pas empêché. La mort n'était pas une solution de vengeance. Du coup, je laissa là, à même le sol où le sang ruisselait, les corps pour la plupart évanouis des bandits. Les autres avaient pris peur et fuyaient en voyant leurs camarades tomber. Et puis je me m'y à m'inquiéter des blessés, la plupart étaient mort, quoi qu'on y fasse, mais il y avait encore de l'espoir pour certain, pourquoi voulait il les laisser là ? Selon lui aucun d'entre eux n'étaient sauvable. Je ne pouvais le nier, leur état étaient vraiment piteux. Le village avait été rasé, et leur blessure bien trop grave, certain étaient déjà totalement consumé. Ces brigand étaient des barbares ... Et puis, alors que je m'apprêtais à partir en direction de Kumo, en comapgnie de mon mentor, une petite voix se fit entendre, la voix d'une petite fille en pronvenance des décombres. Je me ruais vers cette maison en ruine sous les cris de mon sensei qui m'hurlait de ne rien y faire, qu'il était trop tard. Non, pas pour cette petite fille ! Et voila, de quelle manière nous sommes rentrés à Kumo, à trois, précedent l'équipe d'expert de notre village, partis enquêter sur les lieux.

En rentrant à Kumo, deux ans plus tard, j'avais bien vieillit, et surtout bien grandit. J'avais désormais une petite fille qui me trainait presque toujours dans les pattes, qui me prennait pour sa grande soeur. Je l'aimais beaucoup, et j'étais heureuse de l'avoir sauvé, j'aurais tellement aimé pouvoir en faire autant avec tout les gens de ce village, j'en avais les moyens, j'en étais sure ... Mais après mon retour, ma famille avait quelque peu changé. Kakuzô était devenu Juunin, j'avais encore pris du retard sur lui, le bougre ! Maintenant cette sorte de petite compétition que mes parents avaient en quelques sorte montée me faisait sourire, il était meilleur que moi, mais moi si je voulais l'aider comme je le souhaitais, je devais me raprocher au plus près de son niveau. Et puis, bizarement, il avait été remis dans le droit chemin du clan, c'est d'ailleurs lui même qui me fit revenir à ces convictions, que je devais être une servante du clan Kiyomizu. Il avait eu les mots juste.
Chapitre trois :
ce que nous sommes, ce que je suis

Du haut de mes dix huit ans, il ne me restait qu'un "problème" à résoudre avant de pouvoir continuer sur ma voie. La petite que j'avais récupérer, je ne pouvais la garder éternellement, il y eut donc une petite disctution entre nous, ou je dus lui expliquer tant bien que mal que nous n'allions plus nous voir autant que cela. Il y avait un endroit où elle serait en sécurité, il s'agissait de Konoha. Et comme par la plus grande des coincidences, j'avais une mission sur Konoha à accomplir. Je pris donc la jeune fille avec moi, et l'emmena là bas, afin de l'y laisser déveloper sa nouvelle vie, je lui avais promis avant de partir de revenir la voir aussi souvent que possible, mais j'avais tout de même peur pour elle, qu'il ne lui arrive quelque chose de mal ...

Cependant je revins à Kumo le coeur léger, heureuse qu'elle ait enfin trouvé un foyer ou vivre pleinement sa vie. J'avais revu ma sensei, ma véritable, qui avait testé mon niveau et qui avait été fort fière de mes progrès que j'avais fait au côté de son frère. Mais elle ne s'arrêtait pas là. Elle m'avait conseillé comme participante a l'examen Juunin auprès du Kage, sans même m'en parler. Elle me croyait assez forte pour cela ? Réellement ? Et puis si je voulais être une bonne ombre, j'allais devoir continuer d'évoluer, ceci était la meilleure opportunité. Je n'accepta pas, mais ne nia pas pour autant. Ceci, elle le prit pour une approbation. De toute manière je n'avais plus vraiment le choix. Je redoubla donc d'éffort lors de mes entrainements, me préparant psychologiquement à l'échec, je n'étais pas assez forte, qu'attendaient ils tous de moi ? Pourquoi tout le monde me croyais si forte ? Je ne l'étais pas ... Encore et toujours ces même questions, j'avais l'impressions de revivre ce que j'avais vécu lors de l'examen chuunin, l'experience en plus.

Et puis le jour fatidique arriva, j'eus cru mourir durant cet examen. Jamais je n'avais vécu quelques chose de si dificile. Je devais être prête à tuer chacun de mes opposants. Sans pitié, j'avançait péniblement, me frayant dificilement un chemin jusqu'au bout, ou je dûs affronter un adversaire qui me semblait bien trop puissant pour mon état. Mais malgré sa force, il devait lui manquer un brin de cerveau, ce brin même qui me permetait d'égaliser avec lui, et de finalement réussir. Ce fut dans les bras de ma senseis que je me retrouvrais, inconsciente, après avoir terminé et avoir réussi. Elle avait les yeux brillants, fière de moi comme jamais, je l'avais en quelque sorte égalée et je pouvais ainsi devenir une meilleure ombre dans mon clan. M'approcher de mon but final.

Des années passaient, on tentait sucessivement de me nommer sensei, ou de me nommer examintrice, je refusais, trop prise par mon travail et par ... un certain homme. Cet homme qui lui aussi était Juunin, avait été mon compagnon durant une mission, et dans une certaine nuit de cette mission, j'avais perdue quelques chose. Quelque chose d'intime. Depuis nous sortions ensemble, j'avais vingt deux ans, il en avait deux de plus, on était heureux. Je ne m'étais jamais sentie aussi bien, je respirais la vie, en oubliait presque mon but et mon rang dans mon village.

Nous remplissions toutes nos missions à deux, nous avions même prévu de nous lier. Jusqu'au jour ou tout bascula. Tout mon monde s'éffondra autour de moi. J'étais rentrée un peu plus tôt de mission et je l'avais surpris, avec une autre, partageant ma couche pendant les deux mois ou j'avais été absente en mission. Je ne suppotra pas cette idée et le plaqua sans demander de raison. Je me renfermais sur moi même, n'étant plus que froideur, n'étant plus du tout la même qu'avant. Mes parents s'inquiétaient, ma famille s'inquiétait, mes proches s'inquiétaient, et ils avaient tous bien raison. J'avais faillit tenter de mettre fin à ma vie, pour une misérable aventure. Heureusement, mon cousin était intervenu, m'avait remis dans le droit chemin. Je ne le remercirais jamais assez, car aujourd'hui, peu à peu, je redeviens moi même ...

Chapitre 4 : Des événements plus qu’inattendus.

Pendant une bonne année ma vie ne changea guère, j'effectuais mission sur mission et tentais d'aider mon cousin tant bien que mal. Je commençais presque à me lasser de la routine, jusqu'à ce qu'on m'assigne une équipe, trois petits gennins sous mon commandement ? Mon cousin ne savait donc pas ce qu'il s'appretait de faire, mais bon, si je le devais soit, je les prendrais sous mon aile. Même si je ne me sentais pas du tout prête à cela. Ces trois petites têtes blondes auraient presque pu me pousser à rester sur Kumo plus tard. Mais je ne le pouvais pas, désormais je me trouve à Suna, deux ans plus tard, vous voulez savoir pourquoi ? Soit, je vais vous le conter.

Peu après que l'on m'assigne mon équipe, Kakuzô disparut et on nomma un nouveau Kage. J'étais on ne peu plus troublée par sa disparition, mais je tentais de faire face, de me montrer digne de lui et digne de ce village qu'il aimait tant. Cela aurait continué ainsi sans compter le fait que tout les opposant de ma famille s'en prenaient à nous. Au début ce n'était que de simple agréssion verbale et morale, mais un soir l'une des familles adverses, mais aussi l'une des plus populaires de Kumo, s'infiltra dans nos demeure et le combat éclata. Avec l'effet de surprise dont ils disposaient, ils avaient pu faire une véritable carnage parmis nos rang, mais nous avions réussi à les repousser. Je ne fut pas l'une de celle qui participa au combat, à cette époque j'étais partie en mission avec mon équipe. Mais à mon retour je n'échapa pas à ce sorte de coup d'état envers notre famille. Apparement Kumo entière voulait notre mort et à peine ais-je pénétré dans le village que deux hommes cagoulés me sautaient dessus, je fis signe à mes gennins de partir se réfugier et j'écrasai les deux hommes. En fait j'aurais même pu demander à mes élèves de les combatres tellement ils étaient nuls, apparement on ne savait toujours pas qui j'étais, tant mieux pour moi au final. Mais je n'avais pas de temps à perdre, il fallait que je rejoigne notre demeure, je savais pertinement que quelque chose de mal s'était produit et je devais aller voir ...

Sur place je vis les décombres et les cadavres, parmis l'un des corps sans vie ... il y avait mon petit frère. J'hurlais de douleurs, pleurais à n'en plus finir et me mis à la recherche des coupables, emplie de rage. Mon père par x miracle réussit à me calmer et à me remettre d'aplomb. Il avait trouvé la meilleure solution pour moi et pour le reste du clan. Nous devions partir. Oui, mais pour aller où ? De plus si moi, une juunin du village désertais, je risquais de mettre toute notre famille en danger. Un choix fut donc fait, ma famille partirait par le nord, je m'orienterais vers le sud, seule. Et pendant deux ans, j'érais de pays en pays, effacant mes traces et vivant dans la peur, ne dormant presque plus la nuit.

Cette vie de misère s'arrêta le jour où je rencontra un homme étrange, qui semblait me reconnaitre. Mais oui ! C'était le père adoptif de la petite fille que j'avais sauvé il y a des années ! Peut être pourrait il m'aider ... Après une légère conversation j'appris que la petite fille était resté avec sa mère adoptive, était devenue une ninja de Konoha et apprenait l'irou en mon honneur. J'esquissai un leger sourire à cette idée, après tout elle avait réussi à trouver une vie calme. L'homme quand à lui travaillait à Suna, très proche du Kage dans l'un des bureau d'investigation du village. Quand j'eu finis de raconter mon histoire, celui ci s'empressa de me faire signer des tones de papiers et m'accompagna au village caché du sable. Il m'assurait qu'il pourrait faire pression sur le kage pour que celui ci m'accepte dans le village sans prendre en compte "mes antécédents". Hm, il devait certainement parler de ma vie à Kumo, mais soit, s'il pouvait me faire intégrer un nouveau village où je pourrais évacuer ma douleur en paix ... Je ne refusa pas. En fait je me laissai un peu trimballer comme un bagage.

C'est ainsi que deux ans après l'attentat sur ma famille, je me retrouvai Juunin à Suna, et tentait tant bien que mal de reprendre une vie normale, effaçant mon passé de ma vie.


"Gotai" - Physique

Vous ne l'aviez jamais remarqué, cette chevelure éclatante au loin, en êtes vous bien certain ? Et bien cela est tout à fait normal. Comment remarqueriez vous quelques chose qui n'est pas. Bon, malgré cela, je vais essayer de vous en expliquer suffisament pour que la prochaine fois, vous ne la ratiez pas.

De loin, Ayumi ne possède aucune caractéristique spéciale. Tout à fait naturelle, rien ne sortant extravaguement de l'ordinaire. Cependant, elle possédait une beauté entretenue depuis des décenies, depuis sa naissance en fait. Son corps, très représentatif de ce qu'une femme veux, dans les tailles et poids moyen que sont son mètre soixante neuf et ses soixante quatre kilos, suivant des courbes corporèlles idéalement allignées, représentent parfaitement bien. Des formes qui donnèrent à plus d'un homme une envie folle de mettre les mains dessus. Que voulez vous, en plus d'être de gros affamé de formes et autres, les hommes ont souvent l'oeil pour ces choses la, et à vrai dire, sur ce point de vue son corps ne l'aide pas réelement, puisqu'elle se plait à prendre soin de celui ci, et à l'embelir. Du coup ce n'est pas rare que, même au sein de sa propre famille, des yeux furrètent discrètement vers elle. Cela pouvait parraitre salace au début, mais elle éprouvait une certaine satisfaction à cela. Comme une approche à leur but. S'il fallait encore mettre des chiffres sur cela, dites vous bien que ses deux colines pectorales tournent autour des soixante dix sept centimètres de tour de poitrine et que ses hanches sont également d'une taille tout ce qu'il y a de plus approprié à cela. Cela ne l'a pas pour autant empêché de déveloper une certaine musculature, lors de son travail ou de ses divers entrainement. Tout ceci d'une couleur blanc-beige, légèrement satiné qu'est sa peau légèrement plus bronzé sur ses avant bras, ses molets et son visage. Mais ceci n'est qu'un détail et qui plus est un détail très dificile à percevoir, il n'est pas chose aisé de bronzer pour quelqu'un comme elle. Allez savoir pourquoi, soit sa peau ne change pas, ou très peu de couleur, ou alors devient rouge comme une creuvette, et la sensation de brûlure n'en est que plus douloureuse, lui faisant facilement redouter les séances de bronzette.

Cette même peau douce est revêtue comme la plupart des Kunoichi, par, au plus près de sa peau, ce sorte de t'shirt en maille, et de même pour ses jambes, cette même texture qui lui descend jusqu'au mi mollet. Ce qui se trouvera par dessus, cela dépendra des jours, du temps, de son humeur et de certaines autres caractéristiques, mais cela serra toujours "classe". A vrai dire, rien qu'avec son corps e son visage, cela le sera sans même qu'elle ne le veuille. La plupart du temps, Ayumi optera pour un t'shirt à manche, recouvert par sa veste de fonction et du reste de sa tenue combative pour ce qui se trouve en bas, le tout monté sur une paire de sandalette grise. Les quelques fois où le temps se montre plus clément pour les Kumojins (et lorsqu'elle ne part pas en mission) elle opte bien plus aisement pour un short la couvrant jusqu'a mi cuisse sur ses "mailles" et un débardeur simple. Les jours de pluies comme on en voit souvent à Kumo, elle se plait à revêtir son gillet d'un blanc cassé, la couvrant totalement jusqu'aux chevilles. Si pour la plus grande partie de son temps elle préferait avoir une ampitude de mouvement, ainsi qu'une liberté large, la jeune femme aimait se sentir à l'abri, comme protégée par cet Anorak.

Et pour revenir à ce que je vous disais au début, sa chevelure est bien loin d'être éclatante. Non il s'agit plutôt d'une couleur terne, bleuâtre, se raprochant faiblement du noir, coiffés en queue de cheval avec une frange, la plupart du temps cachée par une bandeau, qu'il s'agisse de celui de son village, ou d'un simple ruban, et, sur ses deux extrémités, deux mèches longeant son visage, les pointes fines arrivant sous son menton. Cependant, comme pour son corps, un certain entretient font que ceux ci sont toujours d'une certaine scintillance, malgré cette couleurs foncé. Une brillance d'ailleurs, qui s'allie parfaitement avec ses yeux d'un bleu azur tacheté de petit point jaune vers le centre de sa pupille. Des yeux ma fois attendrissant et plein d'émotion. Car oui, son visage est extrement expressif. Un visage fin et angélique possédant de pomettes légèrement rosé en permanance, et puis en plein milieu, son nez apparaissait tel un sommet surplombant tout le de sa petite hateur.

Comme une petite touche de piment sur un plat un peu trop ... léger, ses fines lèvres rose éclantes donnait un côté plus énergique à sa personne. La plupart du temps celles ci sont surmontées d'un léger sourire, qui semblait aimer tout ce qui l'entoure. Tout comme ses yeux et son visage, ces petites lèvres étaient parlante sans même n'avoir à effectuer le mondre son. D'ailleurs si, ses lèvres avaient déjà croisé des semblable une fois, aventure qui fut un échec des plus lamentable et qui l'avait mit dans un salle état pendant un bon moment.

Et evidement, que serait une femme sans ses bijoux ! Bon je l'admet, en réalité, les bijoux ne lui plaisent pas plus que cela, mais elle aime en porter quelque uns, surtout ceux qu'on lui offre, auxquel elle attache une valeur particulière. Lorsqu'elle était petite, elle c'était fait percer les deux oreille, trois fois sur chacune, sur leur bord. A la base ces trous étaient bouché par de scintillante petite perle, mais en grandissant elle avait aperçut dans une boutique des sorte de petit anneaux, formant le tour parfait de son bord d'oreille. Depuis elle en mets trois à son oreille droite, lui donnant un petit coté rebelle variant avec sa personnalité. Ensuite elle porte un colier, que son frère, agé du même age qu'elle, lui avait offert à l'un de ses anniversaire et puis, ce bracelet, que lui avait offert .. un certain homme. Elle le gardait certainement pour ne pas oublier les bons moments, et surtout ce souvenir de la douleur qui en avait suivit.

Vous avez pu vous en appercevoir, le mot "petit" et ses synonymes resortent souvent, et bien oui, malgré une beauté facilement devinable sur sa personne, elle reste tout de même petite, du moins selon son point de vue !


"Shin'ri" - Caractère

Et bien, si pour vous décrire mon apparence, j'eu besoin d'aide extérieure, je vais me démener pour tenter de vous expliquer au mieux ma personne, moi même. Pour quelqu'un comme moi cela ne serra pas chose aisé de me suivre, alors soyez attentifs au risque de vous perdre dans les méandres de mon ésprit.

Pour commencer de la manière la plus simple à me cerner il faudra vous mettre en tête que je ne suis pas une personalité simple. La vie que nous mennons au quotidien, les guerres et les combats ne peuvent pas nous en laisser le loisir. En fait, les gens trouvent que je suis lunatiques, peut être est-ce vrai, mais si la vie arrêtait de me jouer de vilain tour, peut être pourais-je être plus stable. Car oui en effet, les relations humaines ne sont jamais facile, et ma dernière expérience fut un véritable carnage dans mon coeur. Tout d'abord cela était vraiment plaisant, l'amour était présent dans mon esprit et dans chaque parcelle de mon corps, et puis cea s'est déterrioré, chaque morceau de mon coeur à été dévoré à petit feu par des bétises de mon second. J'étais déjà quelqu'un de timide avant, mais là j'en devenais presque associale ...

Hem et bien je pense que la jeune Ayumi risque d'avoir encore un peu besoin d'aide pour cela. Et bien je vais reprendre. Dans son enfance, elle était d'un caractère sans pareil. Jamais dans le village de Kumo n'a jamais été vu une enfant aussi impressionable. Tout l'émerveillait, tout semblait lui donner un sentiment de bonheur constant. Bien que désormais son âge s'avance, elle est toujours resté la même, a la plus grande surprise de ses parents et de ses proches. C'était comme si elle éprouvait le simple bonheur de vivre chaque instant un peu plus longtemps. Possédant également un mal fou à mentir, cela aurait pu lui porter préjudice lors de son travail. Mais avec le temps elle apprit à faire la différence entre mentir par survie et par interêt et à être franc avec les autres. Même si, du fait de son petit côté timide, elle à du mal à balancer ce qu'elle pense a la figure des gens.

Elle suit également un modèle de la femme parfaite que sont celle du clan Kiyomizu de Konoha, depuis toute petite, cela à été inculqué dans son esprit. Elle devait petit à petit s'approcher du genre de femmes qu'étaient celle de ce vénéré clan. C'est donc avec un grand plaisir qu'elle s'amuse à prendre soin d'elle, mettre des plombes à se coiffer, à se préparer, mais très rare sont ses séances de maquillage. La beauté doit être naturelle et Ayumi ne devrait pas avoir besoin d'artefact superflut pour l'aider à devenir plus belle que désormais.

Il est très rare de la voir en colère, d'ailleurs en colère, mieux vaut pour vous ne jamais la voir. Si cette chose est d'une rareté extrême, sa violence n'en est que plus redoutable. Cependant, elle est également d'une émotivité surprenante, se surprenant parfois elle même à pleurer en regardant la beauté d'un paysage par exemple. La jeune femme aime également, comme tout membre de sa famille, l'art peint, et l'art écrit. Elle le pratique elle même dans son temps libre. C'est un peu comme une manière de s'évader et de voyager vers d'autre horizon, mentalement. Cependant dyrant un temps, cela à été violement bouleversé. Un evenement dans sa vie à chamboulé tout ses sentiments et elle n'est plus pareille. Triste presque constament, elle pleurait sans cesse et en arrivait même à ne plus vouloir vivre. C'est pour dire, elle ne prenait même plus le temps de se coiffer ! Sa timidité naturelle s'était envolé et elle envoyait sans vergogne les quatres vérité en pleine figure du premier passant. Elle était froide, distante et .. inquiétante, mais ...

Mais aujourd'hui tout ceci est terminée; Du moins j'en ai l'impression au plus profond de moi. Si tout à l'heure je me suis perdue je suis enfin revenue, et je me permet de vous couper pour finir moi même ! Aujourd'hui mon sourire est revenu, mes habitudes également. Je pense que cette mauvaise periode m'a bouleversé au plus haut point, mais même si quelque fois il m'arrive d'avoir des sautes d'hummeur, je redevient comme avant.

Avant, c'est à dire, timide, naturelle, respirant la bonté et le coeur sur la main. J'ai toujours été ainsi. Et aussi, d'une rigueur évidente dans ce que je fais. A quoi bon commencer quelque chose si ce n'est pas pour le faire correctement ? Tout est ordoné dans mon travail, sur mon bureau, bon je l'avoue que dans ma tête c'est encore un peu le chantier, mais que voulez vous. Je pense que tout vous à été dit plutôt et vous répeter ce que mon ami vous à dit plus tôt serait inutile ... a si voila quelque chose d'autre. Les gens me trouve surement lunatique à cause de ma manière de changer de caractère selon avec qui je me trouve. Ce que je veux dire par là, les gens en général me vérront plutôt sous cet angle lorsque je travaille. C'est un fait et mon poste m'oblige à adopter un caractère plutôt dur et sévère. Pour ne pas me laisser déborder mentalement, il faut savoir faire la part des choses, séparer travail et sentiments. En plein boulot, il est vrai que je suis mon propre inverse renfermée et ne laissant quasiement parraitre aucune émotion. Cela aura demander un fort travail sur moi même afin d'y arriver mais au final c'en aura valu la peine, vu le nombre de fois ou ça m'aura sortit d'affaire ... Cependant il est toujours très rare que je m'énerve, enfin réellement. C'est sur que des fois pour motivé les troupes il faut bien hausser le ton, mais cela ne part jamais d'une mauvaise intention, c'est pour leur bien après tout. Si je devais avoir un autre but que celui précedement cité, ce serait que tout le monde vive heureux et en paix. Et par la même occasion que je trouve enfin un homme digne de mon amour. Ce serrait un peu l'accomplissement de ma vie. Mais apparement, ceci n'est pas près d'arriver, pas du tout.


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Assia Toshizo
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MessageSujet: Re: Puisqu'une histoire n'est jamais la même deux fois [Terminée]   Puisqu'une histoire n'est jamais la même deux fois [Terminée] EmptyVen 26 Avr - 20:17

Alors,

En résumé, ta présentation allie qualité et quantité, ta tournure de phrases est très bien tout comme l'orthographe.
Comme tu reprends ta même perso et que l'histoire semble idem ou similaire, tu récupères ton ancien grade-niveau de NNr Smile

Donc, tu seras Juunin, Rang B, Level 15

En accord avec Hijikata, je te valide directement, je déplace donc ta présentation et tu peux directement réaliser ta fiche technique. cat

Bon rp pour la suite !


Assia Toshizo
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