Jin Kaza Shinobi No Nukenin
Messages : 233 Date d'inscription : 30/01/2013
Feuille Shinobi EXP: (397/2000)
| Sujet: Mission de rang B : Une prison agitée ! ( flashback) Dim 3 Fév - 17:47 | |
| - Spoiler:
Ordre de mission (Rang B)
La prison de Kumo est en proie à de violents troubles. C'est un bloc de criminel de deuxième niveau. Vous n'y trouverai aucun shinobi mais plutôt des assassins comme notre monde en connait depuis toujours : Brutaux et sanguinaires. Votre mission et de faire état de la situation dans un premier temps... Les geôliers de la prison ne donnent plus aucun signe de vie. Le bâtiment est fermer de l’extérieure, les prisonniers non donc pas puent s'échapper. Une fois L'équipe de sécurité retrouvait, rétablissait l'ordre sur les lieux.
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| Une prison agitée ~ « Quelle est la situation ?! » ~
Récemment promus Chunin, notre bretteur du nord sans retrouve maintenant engager ces dernières semaines dans des missions toutes plus périlleuses les unes que les autres. Kumo croule sous le travail. Les missions s'entassent à l'image des carcasses Ninjas. Les effectifs s’amenuisent et c'est dans ce contexte au combien difficile que Jin s’acquitte des quêtes qu'on lui confit. La prison de niveau deux du pays de la foudre, enserre les criminels "naturels", ceux qui ne maîtrisent pas l'art puissant du ninjutus. Les forbans qui ont cette habilité en mains sont retenus plus loin, au plus profond de la prison de haute sécurité, creusée à même les montagnes du nord. Ici la geôle dresse ses murs hauts, murs, qui ne laissent pas entrevoir l'univers lugubre et sordide caché à l'ombre de ses pierres blanches. La bâtisse d'état est au yeux de ses gracieux locataires l'objet de dégoût et de haine véloces, au point que tous ici la surnomme "la blanche catin" Vile dénomination qui n'en reste pas moins à l'image des abominations qui s’épanouissent en son seins. En effet dans cette prison, les prisonniers vivent en autarcies, sans chaînes ni règles. Il ne leurs est fournis que les vivres dont ils ont besoin ! En sommes c'est une assignation à résidence, une résidence sans foi ni loi. Un lieu ou justice à reprit le goût amer de la force bestial. Imaginez donc une cage miteuse, qui enserrent des bêtes sans une once de moralités et vous obtiendrez en tête, là encore, un tableau moins obscène qu'il ne l'est ici. Opprobres, meurtres, violences et errances sont le quotidien d'une communauté pervertie livrée à elle même.
Le bâtiment semble voué à lui même, toutes les portes sont closes. On entend au loin, dans les profondeurs de la prison les râles et les rires facétieux. L'ambiance est blafarde, morbide aussi. "Mais où sont passés les gardes ?!" Notre bretteur sur ces gardes, surveille et explore le moindre recoins des bureaux supérieurs. Bureaux à l'abris dans la lumière des lourdes portes scellées derrières lesquelles mugissent et pourrissent les quelques 2000 raclures de ce monde sous-terrain !
A force de recherche, notre Chunin trouve enfin le bureau du chef de prison. Une large pièce gravé dans un luxueux bois d’ébène, noir au nervure ambre sublime. Là encore pas l'ombre d'un homme, mais sur le bureau Jin remarque une foule de documents laissés ici vacants... Le jeune homme s'installe à son aise sur le fauteuil de cuir, sans suit alors de longues minutes de lecture qui lui révéleront tout sur cette brumeuse situation.
/Journal de bord 27/12/1778 du calendrier Kiofen/
Des troubles violent on pris les bas-fond de notre établissement, l'ordre fragile entre Kensuké Kyoden et moi même, directeur générale de la prison d'état a été brisé. Et tous cela par un tiers au comportement puéril et amer, Chijo donosube. J'avais établis un ordre et une morale dans les mains d'un prisonnier respectable. Kensuké Kyoden, héritier des Yakuza de Guré, cet homme avait l'âme d'un meneur d'hommes. Il tenais les méandres agités de cette bâtisse comme la digue qui enserre et canalise le flot rageur d'eau tumultueuse. D'ici je lui offrais le soutiens technique dont il avait besoin. Notre équilibre, je le répète à été brisé. Selon mes informations, Kyoden est mort des mains d'un nouveau despote. Un leader qui n'a pas saisis la portance de ses actes. Il laisse libre court aux vengeances et violences gratuites. Cette prison est redevenu ce qu'elle doit être aux yeux du pays. Une potence sans bourreau. Les cadavres s'accumulent, J'ai fait incinérer ses trois dernières semaines plus de corps qu'en deux ans. 236 morts, une épuration pur est simple qui n'est le résultat que d'un retour à l’anarchie. Bestial est l'ambiance qui suinte dans ces basses geôles... J'ai affrété une équipe, pour rétablir l'ordre. Mais la mission "souffle pacificateur" est un échec sanglant ! Les 100 hommes armés que j'ai envoyé n'ont pas pus descendre au dernier sous-sol, pour déloger de sa niche, le nouveau chef. Pire ils se sont fait décimé au deuxième sous sol. J'ai reçus le bilan sinistre de ma second en chef. Une spécialiste en barrière fuin-jutsu qui m'as transmis son bilan par radio. A l'heure presente elle s'est enfermée dans un cube fuin-jutsu. Ce jutsu ne la tiendra à l’écart de ces sauvageons qu'une dizaine d'heures. Dans ce contexte dramatique je n'ai d'autre choix que de demander le soutiens de Kumo. Je m'engage aussi dans le dédale sordide de cette prison pour retrouver ma second et rétablir l'ordre et la morale. Kono Zengen. /Fin du rapport/
Ces informations en mains, notre bretteur cherche maintenant le moyen d’accéder au sous sol de la prison sans laisser ces cafards qui y pullulent sortir. "Comment le directeur et son équipe rentrent et sortent sans encombre ?!" /Pensé de Jin/ Très vite, le bretteur de kumo trouve réponses à ses interrogations. Une note à son attention lui a été laissé. Sur celle ci, il lui est expliqué que "la porte du sang" se charge de faire entrer ou sortir le personnel sans erreurs possibles. Carte en mains Jin quitte alors le luxueux et lumineux cabinet de l’instigateur des lieux. Il aura récolter ici, suffisamment d'informations pour mener sa mission à bien ! Quelques instants plus tard, le ninja de Kumo prône fièrement devant la dite porte. Avec il faut l'avoue un petit air nié sur le visage..."Sérieux, comment sa marche ce truc !?" /Pensé de Jin/ Sur la porte il n'y a ni poignet ni serrure, juste une chaîne et des traces glauque de sang sur l'acier froid qui garde l'entré des sous-sols. Jin s'approche alors avec prudence de la porte, pour en examiner de plus près le curieux l'aspect. Et c'est un élan curieux qu'il regrette déjà... A peine eu-il remarqué les mantras sur la chaîne et la porte que les cliquetis graves et sonores sonnent ! L'étau s'est resserré sur son bras sans lui laisser l'ombre d'une chance. La chaîne tien bon, malgré la force titanesque que Jin exerce sur elle "Si le Gen'kotsu n'en vient pas à bout je suis cuit !" Les mantras sur l'acier rouillé dansent et billent d'un jaune infâme ! La Panique s'empare de notre prisonnier, alors qu'il s’apprête à dégainé son sabre en guise d'ultime recourt à la situation, les maillons de la chaîne se referment brusquement, comme une morsure acérer. Le poignet du samurai aura tenu bon. Mais sans le Gen'kotsu et son incroyable pouvoir de consolidation osseuse, nul doute qu'il aurai cédé à une tel force ! Pour autant les chaires de Jin sont profondément entaillées, le sang coule... Les mantras changent alors de symphonie, maintenant il s’abreuvent goulûment du vital nectar rouge écarlate, s'infiltrant même dans les chaires lésées de notre bretteur. "C'est la merde !" Le fil sombre et édenté de Mugen s'acharne sur la chaine, mais rien n'y fait, se fuin-jutsu ne cède pas ! "Si la chaîne reste inflexible je détruirai le mur et la porte qui la tient !"/Pensé de Jin/ Le bretteur écrase son poing, sabre en main, contre la porte d'acier."Gen'kotsu !" L'onde de choque est terrible, le mur craquelle, les gonds tremblent et le ventre d'acier se gondole sous l'impact haineux ! La porte tien bon... s'en est finit !?
Un flash lumineux Jaune, et plus rien ! Jin s'est fait brusquement téléporté de l'autre coté de la porte. Ici l'ambiance est blafarde et sombre ! la chaîne se desserre et une traînée de sang fait son apparition sur la porte. Jin plonge alors son regard dans les documents qu'il a volé pour trouver réponse à la situation....
/documents 0034b/ La porte de sang, est un accès par lequel n'entre que le personnels. Les criminels fraîchement débarqués, eux sont dématérialisés et invoqués directement de mon bureau à la prison. Une plateforme d'invocation au centre de la prison nous sert justement à cet effet. On y fait apparaître les vivres et les prisonniers. Et tout cela grâce au talent de mon second pour le fuinjutsu ! La porte de sang laisse entré tous le monde, mais ne laisse ressortir que ceux qui l'on empreintait pour entrer. Quand on rentre dans la prison à travers-elle, elle note votre identité génomique. Une identité matérialisée par une tache de sang sur la porte, ainsi vous êtes libre de circuler librement, sans pour autant que les prisonniers puissent sortir. La porte ne téléporte qu'un homme à la fois, celui-ci doit être vivant et reconnus par la porte /documents 0034b/
"Flippant le concept !" Une fois son poignet désinfecté, le kumojin serre son bandage et engage sa marche vers les profondeurs obscure de la prison. Au loin il entend déjà les cris, les râles et les rires psychotique de prisonniers dégénérés... très vite il tombe sur un groupe isolé dans le première sous sol. Quartes homme qui discutent... Jin reste dans l'ombre d'un pilier, épiant les forbans avec intelligence et discrétion. - Une vrais jungle le dernier sous sol jvous le dis les mecs ! - Pire avec Kyoden aux commandes c'était mieux. - Pour-sûr Gono, y'a pas plus cruel que Donosube ! - Paraîtrait que la fille ninja au 3eme sous sol s'est enfermée dernière une barrière magique ! - Ouép Donosuke a juré de la violer jusqu'a son dernier souffle... - Pour le coup jle suit le bougre. - Moi jdis faut partager... - Dis lui pas ton avis, tu risquerais de le regretter ! Les quartes hommes s’esclaffent alors de rires ! Jin en profite donc pour tracé sa route, sans se faire remarquer... Maintenant il sait que tout se passe au 3eme sous sol !
La réflexion du samurai ne présage rien de bon. 2000 contre 1, si il veut mener à bien la mission, la discrétion sera sa meilleure arme. C'est donc avec un Henge no jutsu médiocre de prisonnier qu'il entame sa marche vers le dernier sous-sol. Cafétéria, dortoirs, douches salle de jeu, la prison est un véritable village sous-terrain. Une vie parallèle, loin de tout...
Le troisième sous sol est gardé par des hommes en armes, acier surement dérober sur les cadavres de geôliers pas assez nombreux ! Aux bruits des détonations retrouve aisément l'experte en fuinjutsu, reclus dans une barrière que le collectif dépravé tente d'affaiblir à coup d'explosifs précaire ! Les cocktails explosifs n’entame pas cette barrière magique, chef ! Le temps l'entamera pour nous ne t'en fais pas !
D'ici Jin remarque le cadavre de bon nombre d'hommes, tous vêtus comme des soldats et non comme des prisonniers. Parmi eux, dans ce charnier fumant, il repère celui qu'il devine être le directeur ! Un homme barbu, aux traits gravés par les rouages du stress. Même dans la mort son visage reste ferme et inflexible. En retrait, le mercenaire de Kumo cogite pour trouver solution à cette équation complexe... Dans ce vestibule du 3eme sous sol il aura compté 36 hommes, pour autant la moindre alerte ici, rameuterai toutes les raclures de la prison. Une action direct et chirurgical, à la fois furtive et puissante serai donc la réponse parfaite à une telle situation. Encore faut-il être capable de tous les tuer dans l'espace d'une respiration... Le bretteur, mesure, jauge et calcul. Il arrive très vite au plan suivant... " Je tue le patron, 15 de ses sous-fifres, les autres apeurés vont alors appeler du renfort, la miss sort, un henge no jutsu, et on se fait la malle subtilement dans la cacophonie général... L'important c'est de choquer l'assemblé en tuant le chef !" Un plan qu'il se répète à lui même de longues minutes, comme pour ce convaincre de son efficacité.
[Je m'élance, libre cour à la violence ! La course véloce surprend les gardes, l'un comme l'autre, leur corps tombent au ralentis, et quand le bruit sourd résonnera j'aurai déjà fondus comme un rapace affamé sur les cibles suivante. Deux ceintures d'hommes me séparent du trouble faite. Mugen, mon infâme compagnon, arrache les corps, quatre par quatre ! Entendez-vous le bruissement du sang, le clapotis régulier, et le craquement sinistre des os brisés et des carcasses déchirées. Maintenant la panique chante sa mélodie. Quand le corps de Donosube peint le lieu de toutes ses entrailles rougeoyante, aux teintes généreuse et flamboyante, le silence prend place ! Tous fuient, crient, ou pleurent dans un coin, reclus comme des enfants châtiés. Dans les escaliers, j'entend la marche puissante de l'armé qui descend...] " On s'arrache mademoiselle ! "
La barrière énergétique tombe aussitôt, tous s'enchaîne sans accoue, la jeune femme fait signe à Jin de le suivre... Pas le temps pour la stratégie de la dissimulation. Le henge ne suffira pas à tromper 2000 hommes en furies. Les deux jeunes gens filent à l'anglaise. "Direction la plate forme d'invocation" explique t'elle. Un plateau sur-élevé avec sur le sol gravé des mantras d'invocation spacio-temporelle. Une fois sur les lieux, Jin nettoie la place pendant que son acolyte du jours murmure et compose des mantra taoïste et des mudras ninja... "Gen'Kotsu, la force du démon" Le ninja de Kumo vient de faire imploser un homme d'un seul et unique coup de poing. "Pressez-vous ils arrivent" les rumeurs se font pressantes... mais avant que tous ne soit trop tard, une luminescence bleuté trace les gravures au sol. L'instant d'après Jin reconnait le bâtiment supérieur, lumineux et luxueux ! Ils sont enfin sortie de la prison ! Quelque heures plus tard des renforts arrivent. Il fut décidé d'affamer les prisonniers. La stratégie fut payante... Deux jours plus tard le calme était revenu dans la prison de Kumo ! Après la cérémonie funèbre dédié aux nombreux geôliers morts durant l'incident, le bretteur décide de rentré. La mission est un franc succès.
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