Genkishi Moeru Kyūdaime Hokage
Messages : 50 Date d'inscription : 01/01/2014 Localisation : Konoha no sato ♣
Feuille Shinobi EXP: (318/2000)
| Sujet: Re: Genkishi Moeru. Jeu 2 Jan - 16:30 | |
| "Rekishi" - Histoire
-Konoha s'est vu donner d'innombrables dirigeants en ces dernières années. Cependant, ces changements sont synonymes de faiblesse, et une porte ouverte aux moqueries des autres villages. Moi, Kyudaime Hokage, je ne compte pas être éphémère, comme je ne serais pas immortel. Je ne ferai pas de promesses, mais, je peux affirmer une chose, de mon vivant, Konoha ne connaitra plus aucune oppression ! Ainsi, je compte sur votre loyauté et amour pour ce village, mais surtout, sur ce que nos ancêtres ont protégés durant de longues décennies. La volonté du feu !
-Ouahhhh ! Dis papa, comment il est devenu hokage le monsieur ?
-Et bien, c'est une longue histoire.
-Ohhh ! raconte la moi, raconte la moi.
-Très bien, je te la raconterai en chemin. Rentrons à la maison. Dit-il d'un air amusé. Cette enfant poussa alors sa chaise roulante afin de retrousser chemin vers leur domicile. Toussant légèrement, le père commença un conte pour sa fille. ...................................................................................................................
Chapitre I
" Un clan n'est pas exclusivement synonyme de puissance, il peut être un fardeau. "
Au sein du pays du feu, les possibilités d'origines sont quasi illimitées et scellent notre avenir avant même que nous n'ayons atteint l'âge adulte. Ce sceau en lui-même est un fardeau pour notre personnage. Il ne sait pas vu donner le nom des Uchiha, celui des Hyuga ou n'importe quel autre nom de clan prestigieux de Konoha. Moeru est le nom de ses ancêtres. Que tu n'es pas le moindre fragment de cette appellation, n'est pas un manque de connaissance en soit. Pour cause, les Moeru sont surement le clan au plus bas de l'échelle du village. Non pas qu'ils n'en avaient pas la volonté, mais contrairement aux autres, ils ne possédaient aucun attribut génétique qui aurait pu leur être favorable en combat, ou un quelconque savoir-faire dans un domaine prédéterminé. Combien même leur amour pour leur village était insatiable, il ne lui était pas pour autant indispensable. Un village est une constitution militaire, on ne reconnait pas un clan à ses belles paroles ou son attachement pour cette patrie, un clan est de renommé quand sa puissance l'est. Cette vérité, était la bordure qui définissait le devoir des Moeru, qui était purement dédié au domaine de l'agriculture, même si leur influence était inexistante, ils étaient un fournisseur suffisant afin de nourrir quarante pour cent du village. Leurs quartiers reflétaient leur popularité, à l'antipode des légendaires de Konoha, on ne pouvait point y voir un soleil embrasant leur terre, ou encore des jardins que seul les pupilles d'une déesse seraient observer. Éloigné de Konoha sans pour autant y être totalement détaché, ont aurait pus qualifier cet endroit d'hostile, de par ce fin voile de brume qui absorbait les rayons de l'astre de lumière, déversant de ce fait une petite quantité de luminosité sur leur habitat. Quelques arbres ne dénigraient pas d'y pousser, sinon que serait leur vie. Homme de grande sagesse, le chef des Moeru ne sait jamais plaint sur la situation qui malmenait toute sa famille, avec pour idéal, qu'un chemin de roses et de verdures n'aboutit guère à la gloire qu'il espérait. Se fiant alors à la future génération, celle qui pourrait matérialiser son dicton, et ce même s'il espérait ne voir aucun de ses membres endurer ce fardeau. Le poids du destin et son jugement est indéniable, alors qu'il voulait sans préserver, le chef du clan Moeru a donné naissance à un pilier de ce rêve qu'il imaginait.
Malgré l'hiver glacial qui marquait leurs quartiers, incitant leur récolte à se faire plus maigre et indécises, les poussant à serrer la ceinture et laisser leur crocs s'émoussé afin d'assurer trois repas aux plus jeunes. La situation ne faisait qu'empirer, se dégradant tout aussi vite que les minutes qui passent. Ce clan négligé de tous, a vu une fleur éclore, et ce même contre la rigidité de leur environnement qui vouait son temps à les faire agoniser, que pouvaient-ils faire face à la robustesse de dame nature ? Le processus de création pris fin, à l'instant où des cris aigus retentirent entre les murs d'une maison en bois. Au fond d'une pièce éclairée de quelques chandelles, sur un lit quelque peu convenable, une femme était exténuée de l'effort qui est de donner la vie. Encore transpirante et tremblante, portant dans ses mains un petit bambin. Une corpulence insignifiante s'agitait entre ses bras avec insistance, son crane orné de quelques poils blancs encore tellement fin, mais d'une couleur éblouissante, ses yeux encore fermés, ont ne pouvait juger de ses pupilles. Mais à l'instar de ses confrères, sa toison n'était pas ébène comme la leur, le démarquant déjà très vite. À peine sortit de sa maternité, il connaissait déjà d'autres températures que la chaleur de sa mère, se faisant porter et glorifier par sa famille. Comptant dans sa vie déjà quelques semaines, et une ossature finement plus dense, cet enfant était le sujet d'inquiétude et dispute d'un couple qui par le passé n'aurait pu être effleuré. Confus dans leurs esprits, voulaient-ils de cette vie misérable pour leur premier fils ? De cette faiblesse qui les séparaient de jour en jour ? Mais la vraie question étaient, pourraient-ils se séparer de ce nourrisson qui venaient tout juste d'ouvrir les yeux ? Ce concept dans lequel Genkishi est né, était pour beaucoup, une histoire cliché du clan Moeru. Un enfant qui combattra la vie, mais ne pourra briser les chaînes du destin. Cependant, bien que les débuts de sa vie furent similaires aux dires, cela n'aura pas pour autant inciter celle-ci à être un banal cliché. Ce dit concept de vie, sera le moteur d'une intense envie de démentir ces propos, et par ailleurs briser les chaînes d'un avenir qui semblait tout écrit. Et le battement d'ail qui permit cette conviction de naitre, se résumât à l'arrivée d'un homme dans leur contré.
Drapé d'un trench-coat aussi sombre que l'était cette nuit, accompagné de deux hommes lui servant d'escorte, marchant d'un pas lent vers la demeure du chef des Moeru. Essayant de garder une once de lucidité dans son esprit, le chef était anxieux et perplexe quant à l'arrivée de ses hommes envoyés par le village d'après leurs dires. Celui qui semblait ouvrir la marche fit tomber sa capuche, affichant un bandage couvrant son œil droit, une mine neutre recouvrait son faciès, il s'assit sur une chaise avec à chacun de ses côtés ses gardes du corps. Le père de Genkishi se mit face à lui, avec comme soutient, sa femme se tenant à ses côtés portant son fils dans ses bras.
-Je suis mandaté de Konoha afin de vous faire par d'un décret concernant votre clan. Konohagakure no sato se refuse de renouveler la prise en charge de votre clan une année de plus.
-C'est impossible, le conseil de Konoha est conscient de notre situation. S'il se refuse de nous apporter son aide, mon clan sera totalement effacé !
-Cesse de t'apitoyer, nous vous avons laissé suffisamment de temps pour faire vos preuves. La loi est implacable.
-J'ai le poids de plusieurs vies comme responsabilité !
-Est-ce mon problème ? Et puis... Il perdit les mots en posant son regard sur l'enfant que tenait la première femme des Moeru. Connaissant cette famille, il était lui aussi étonné de la chevelure de ce garçon. Il posa sa joue sur son poing gauche, avant d'afficher un sourire sarcastique en pointant l'enfant. -Très bien écoute, j'ai une solution à ce problème. Cette progéniture, donne la moi et je serais en mesure de convaincre les hauts placés de subvenir encore aux besoins de ton clan.
-Mais c'est de la démence ! mon fils.... En échange de la vie de mes confrères ! S'exprima t-il montrant sa colère en se levant, plaquant son poing sur la table.
-Mmm... Je t'ai dit de ne pas t'apitoyer, c'est un raisonnement adéquat, tu es le chef, ton devoir est de prendre sur toi pour le bien de ton clan. Je viens le chercher demain !
Il repartit avec ses alliés aussi vite qu'il n'était arrivé. Connue sous le nom de Danzo, le chef de la racine. Son insensibilité avait d'égal que son bas degré de scrupule, ses méthodes étaient toutes en manque d'éthique que son caractère. Ne lésinant pas sur les moyens pour atteindre son but, que voulait-il de Genkishi ? Eh bien ce qu'il savait faire des enfants, les transformer en arme, bien que Genkishi fut le premier cas si jeune de l'histoire de la racine. Un mutisme tombal couvrait la maison où eu lieu la discussion plus tôt, pris entre les filets d'un choix ardu. Devait-il protéger son fils ? Ou tout un clan ? Le salut d'un, pour le malheur d'autres ? Entouré de ses conseillés, la tentions était d'une telle perplexité que chacun déversait ses nerfs sur son voisin, accentuant la confusion qui régnait. Très vite, la situation allait être abordé par les seules personnes qui y vouaient un désir personnel. Ainsi, les parents de Genkishi se retirèrent de la salle de réunion afin de méditer sur la question. Malgré le fait qu'il ne soit âgé de quelques semaines, qu'il n'ait point encore prononcé un quelconque mot, ni mit un pied devant l'autre, ils s'y étaient intensément attachés. Même cet amour n'a pu donner à Shiro la force nécessaire de combattre cet instant, et peu à peu il m'était en doute sa conviction première « garder son fils coûte que coûte ». La mère, elle était totalement impuissante, suivant l'éducation traditionnel elle ne pouvait dire non à son mari, même si cette dernière voulait remuer ciel et terre pour garder son premier fils à ses côtés. La lune pris place, si le village partit se coucher tel le soleil, il n'en fut pas le cas pour Shiro qui, en voyant quelques chérubins entrer auprès de leurs parents, il compris très vite quelle était la solution à son énigme. Le fameux proverbe n'avait pas ternit ce complexe, la nuit avait bel et bien apportée conseil au chef du clan. Il se tenait debout sur une estrade entouré par ses membres, isolés au loin près d'un arbre, Danzo et ses accompagnateurs attendait avec impatience leur offrande. D'une mine grisâtre, Shiro Moeru fit tomber son verdict, son fils unique allait être sacrifié pour le bien de tout un clan. Sa femme tomba à terre en larmes, déchiré de se séparer de son cœur, Shiro partit vers Danzo avec ce regard qui exprimait toute la haine que pouvait ressentir un père. Sous le regard de deux parents qui semblaient avoir perdus leurs âmes, l'enfant s'éloignait pour la première fois de ses terres, vers un avenir qu'il n'aurait en aucun cas pu imaginer, aux côtés de Danzo il devint alors son protégé....................................................................................................................
Chapitre II
" Faconné dans l'ombre, il devint l'épée de Danzo." À peine avait-il atteint ses cinq ans, sa voie s'orientait déjà vers celle du soldat, cependant une catégorie bien exceptionnelle de combattants, la classe de l'ombre. En aucun cas sa formation fut équivalente à celle d'un ninja lambda. À l'antipode de ces guerrier voués à la lumière, la formation des membres de la racine était d'un tout autre niveau. En premier lieu, Genkishi se devait de durcir son corps, et améliorer son endurance, il pratiquait de longs exercices musculaires et cardio-vasculaires, en y ajoutant des combats réguliers assurant de ce fait son expérience qui s’amplifiait chaque jour. Les cours étaient donnés dans une classe regroupant quatre élèves, en cette enceinte, les étudiants assimilaient les enseignements des professeurs sur les différents domaines nécessaires au Shinobi. Pour Genkishi, les possibilités de spécialisations furent très vite variés et maîtrisés avec brio, et ce contre toute attente grâce à un talent naturel. Sous le regard attentif du commandant de la racine qui l'avait prit exceptionnellement comme élève, que voulait-il démontrer ? La question fut étudiée à de nombreuses reprise, et seul une thèse pouvait en être tiré de manière convenable. Danzo a mis au point le système " Racine fertile " dans l'unique but de créer des soldats sans origines, qui n'auraient pour vie et pour but la réussite de leur mission seulement. Et cela se voyait dans les méthodes qu'il utilisait afin de les assimiler à cette loi. Ils étaient isolés du contact humain afin d'éviter de faire naitre en eux un quelconque sentiment. Leur seul loisir était l'entrainement ou la lecture de livres traitant de l'art du combat. Ainsi chaque sujet montrait qu'il se détachait de la vie, n'y portant aucune grande importance, que cela soit la sienne ou celle d'autrui, appuyant le fait que leurs éducations était froide et sans scrupule. Aucune humanité ne leur fut offerte, à chaque erreur une sentence appropriée était attendue au tournant. Les insulter de bêtes n'était pas choquant en soit, entre eux et les animaux il n'y avait pas de grandes différences.
L'hokage neuvième du nom fut l'objet absolu à la réussite du projet inhumain de Danzo, car ce dernier fut pris en charge très tôt comparé aux autres membres de la racine qui y furent adopter vers l'âge de six ou sept ans. Malgré son jeune âge, il révéla très vite des aptitudes inouïes dans divers domaines, alors que son clan avait usé de plusieurs décennies avant d'atteindre un niveau quelques peu acceptable, il lui fallut quelques années afin d'atteindre une haute maitrise des techniques ninja. Danzo avait informé Genkishi de sa situation, lui avouant ses origines, et d'où descendait son sang, il lui proposa alors une proposition qui devint au fil des années une sommation. Tant que celui-ci continuerait de gravir les échelons et niveaux que proposait la constitution de la racine, son peuple ne craignez pas la famine ou l'insécurité. Ainsi, comme son père le fut jadis, Genkishi prenait sur lui, afin d'assurer la vivacité de personnes qu'il ne connaissait guère si ce n'est quelques photos de sa mère. Ce moyen de pression était le moteur qui le poussait à faire toujours mieux, mais aussi contre l'envie de Danzo, un contre-poids. Alors qu'il voulait totalement les annihiler de Genkishi, la soif de réussite de Danzo fit naitre en notre jouvenceau un sentiment particulier, entre responsabilité et amour. Pour lui qui fut de longues années entrainé à ne pas les ressentir, ces sentiments étaient synonyme de confusion, ne comprenant en rien le pourquoi du comment, à son insu il développait une part d'humanité.
En un début de journée, le directeur chargé du bloc ou était affilié Genkishi y fit une courte visite, afin d'informer les membres de cette division à un éventuel examen veillant à contribuer à leur réussite dans la racine. Beaucoup refusèrent d'y participer, non pas qu'ils n'ent avaient pas l'envie, ils eurent vent du déroulement de cet examen qui était un test écrit qui suivait d'une épreuve mentale, celle-ci débouchant sur un combat final. Seulement quatre individus sur vingt osèrent franchir le seuil de la porte qui menait au bureau des inscriptions, chacun âgé de seize ans, ils allaient en cet instant scellé leur avenir au sein de ce système. Pour notre héros, il n'avait pas le luxe de penser à l'initiative de ne pas y participer, un seul choix lui était propice, non pas seulement participer mais en sortir vainqueur. Une journée de congé leur était offerte, chacun usait les secondes à sa manière en bouquinant ou s'entraînant. Genkishi lui s'était totalement isolé des quartiers qui lui étaient assignés afin de méditer sur le papier qu'il a signé. Alors que les autres y participaient afin de récolter la reconnaissance qu'ils méritent, lui y participait pour un clan qui n'a pas hésité à l'utiliser comme rançon. Lui ne voyait pas la situation comme tel, si cette échange à put servir à leur survivance il n'en était que fière, fière d'avoir pu sauver des enfants, des femmes. Et si son échange fut rapide, il savait que quelque part au village, une mère pensait à lui chaque soir et où un père aurait espéré le voir atteindre les sommets qu'il escalade. Comprenant de ce fait leur douleur, mais aussi le poids que ça à du représenter pour des parents, cette connexion à distance avec ces derniers lui renvoyait le poids de sa responsabilité, vivre pour espérer un jour voir ceux qui lui ont donné la vie.
Le grand jour était là, habillé de la tenue typique des anbu qui se résumait à un gilet grisâtre et un pantalon sombre, il exposait fièrement ses un mètres soixante-quinze à l'aide de sandales ninja noire, un katana arpentait son dos lui apportant un équipement idéal pour le combat en plus des outils quotidiens du shinobi. Il fut escorter vers la salle numéro une, à chaque coin était positionné un personnage avec un long manteau noir et le visage couvert d'un masque démontrant une sécurité hors-normes pour cette première épreuve. Seul au milieu de la pièce, ont lui tendis un document suivi d'une feuille neutre qui lui servi de brouillon, il pris le crayon lui étant destiné et zieuta les questions d'un oeil curieux. La première question avait pour sujet la technique. Définie le ninjutsu de manière complète. La question était en soit pour notre héros une simple révision du dada quotidien de ses cours, ainsi rapidement il répondit à la première question : Le ninjutsu est l'ensemble de toutes les techniques n'étant pas catégorisées dans le domaine du corps à corps et des illusions. Les techniques du ninjutsu se basent donc sur l'utilisation du chakkra et de signes incantatoires. Il est possible d'utiliser le chakkra sous sa forme neutre ou de changer sa forme qui donne en tout cinq affinités : Katon-doton-suiton-futon-raiton, de ces affinités découlent un ensemble de combinaisons appelées les kekkai genkai. Il pris une légère inspiration et se mit à ruminer sur le sujet de la deuxième question qui traitait de la philosophie ninja. Qu'est ce qu'un Shinobi ? Les autres ninja qui entreprirent leur cursus au sein de l'académie, auraient répondu avec des propos fleur bleue qui n'avait aucun rapport avec la réalité. Contrairement à la première question, il lui fallut deux lignes afin d'y répondre correctement : le shinobi est celui qui endure, sans poser de questions, sans hésiter ou afficher un quelconque sentiment . Il fait partie de la constitution militaire du village et sert d'arme à part entière. La troisième question était unique chez chaque participant, elle représentait un domaine dans lequel excelle le participant. Chacun s'est vu donner un sujet, médecine, taijutsu, ninjutsu...pour Genkishi sa question avait pour affiliation le genjutsu. Quelle est la meilleure façon d'utiliser le genjutsu ? Expliquez votre réponse. Les Genjutsu sonore sont les plus utiles, que ce soit en combat ou en infiltration. Beaucoup de combattant peuvent se priver de la vue pour combattre, ainsi les illusions visuelles peuvent être rapidement contrés, il en va de même pour les genjutsu tactiles. Cependant, combattre sans l’ouïe est impossible, se fier à ses yeux n'ait pas mère de sureté, car ces dernières ont un angle mort, ce qui rend les genjutsu sonores totalement imparable.
Avec virtuosité il conqlut le premier des trois tests, et il était temps de l'épreuve mentale. Très peu d'informations étaient fitrées sur celle-ci, mais les dires conte que cette épreuve est tellement pointilleuse, qu'à ses côtés l'épreuve finale n'est que figuration. Tout comme la première partie de son examen, il était encadré de quatre ninja le menant à la salle où devait avoir lieu l'épreuve mentale. Une pièce très sombre, aucun meuble n'y était superposé. Deux hommes y entrèrent, l'un portant un manteau et un crane couvert de bandages, très vite reconnu de notre ninja il s'agissait d'Ibiki Morino. Sa simple venue en apprenait beaucoup sur le déroulement de l'épreuve, qui n'allait surement pas être un repos pour l'esprit et l'âme. Le deuxième homme quant à lui, portait presque la tenue typique des membres de la racine si son visage était caché, tout aussi connue que Ibiki, il s'appelait Shiro Fujimoto le maitre de scellement dans la racine. Ibiki lui fit boire un liquide puis entama lentement une série de mudra, une fois celle-ci terminé il n'en naquit pas un ninjutsu classique. Un léger voile de brume drapa la pièce, derrière Genkishi des câbles sortirent d'un crucifie afin de l'immobiliser. Dès cet instant où ces chaînes prirent contact avec son corps, il put sentir ses poils s'hérisser, son rythme cardiaque augmenté, et son esprit quelques peu divagué ayant surement pour cause le dit liquide ingurgité plus tôt. Une cloche secouée par un moine fou qui n'était rien d'autre qu'un mal de crane, faisait retentirent dans celle-ci une sonorité peu mélodieuse. Ses lèvres se faisaient de plus en plus sèches et sa vision de plus en plus brumeuse. La mise en situation établie par Ibiki fut une franche réussite, l'homme au fuinjutsu s'approcha de lui lentement en plaçant sa main sur le torse de Genkishi. Ce sceau, était tel aspirateur, il allait pomper son sang pour le réunir en un seul point son coeur. Si l'opération aurait pu être abouti, l'hokage aurait vu son organe premier exploser sous la pression. Cette technique en elle-même était un moyen de pression, afin de l'inciter à prier ces hommes de le relâcher de leur emprise.
Ainsi était le test, afin de prouver les capacités d'un ninja a endurer les tortures de l'ennemi. Il pouvait entendre ses compagnons agoniser sous une souffrance implacable. De son torse mit récemment à l'air, l'on pouvait voir quelques gouttelettes de sueur le traverser. Pendant que l'homme aux milles scellement continuait de garder le mudra du tigre, Ibiki s'approchât d'une table où étaient disposés toute sorte d'outils tranchants, il en pris un au hasard, et contournât Genkishi pour se retrouver derrière lui. Il lui agrippât les cheveux les poussant violemment en arrière. Son regard était maintenant posé sur les lumières au plafond, de minces fils lui serrait maintenant son corps jusqu'à y laisser quelques coupures. Il était aisé pour lui de sentir l'acier froid au contact de sa corpulence brulante, l'entrée de la lame n'a pas suscité le besoin d'un quelconque cris bestial de la par de notre homme, cependant, au moment où le bourreau la fit déplacer de gauche à droite à plusieurs reprises, il ne put se priver d'hurler sous une douleur dépassant l'entendement. Quelques fumés sortait de cette plaie, surement un autre liquide déversé sur la lame du poignard. Si on observait correctement sa peau, on aurait pu voir sa rougeur devenir de plus en plus pâle. Si au début il pouvait se débattre en bougeant la tête pour ne pas tremper ses lèvres dans les substances qu'on lui imposait, il n'en était plus le cas, faisant de lui un être totalement soumis. Les heures passaient, et les cris dans les pièces voisines s'éclipsaient « tu peux tout abandonner maintenant ». Un simple tchh... sorti de sa bouche en sang, Fujimoto s'approcha de Genkishi, cette fois-ci la main droite sur le coeur de ce dernier et la gauche au niveau de son torse avec le mudra du dragon établit. Fermant les yeux, Genkishi s'apprêtait à lancer un rugissement de fauve afin d'espérer garde le bon sens et ne pas devenir fou sous la douleur. Et tout d'un coup, plus rien, le néant... Etait-il mort ? De loin il en avait l'air, mais les deux hommes proches de lui pouvaient sentir une petite respiration. Maintenant délivré de toute douleur, le vieux Shiro s'approchât de son oreille et lui susurrât " bravo petit tu passes ".
Il fut transporté loin du martyre auquel il avait survécu. Comme beaucoup d'autres, notre survivant était allongé sur un lit de l'infirmerie, afin de reprendre son souffle et soigner ses blessures. En le comptant, seulement deux personnes ont réussi le test, les autres ne purent supporter un tel poids sur leur esprit. Danzo vint de lui-même annoncer la troisième épreuve aux concurrents restants. Yukio Okumura, ce talentueux ninja sera l'adversaire de Genkishi pour l'épreuve finale. Les hauts gradés y voyaient un spectacle de renom, ou deux génies allaient s'affronter avec froideur et aucun sens de la camaraderie...Trois jours étaient passés, les futurs gladiateurs purent se rétablir grâce au médecin de haut niveau de la racine. Au milieu de l'arène, on ne pouvait pas y sentir la même grandeur qu'un autre challenge, la raison réside dans le fait que, il n'y avait pas de publique si ce n'est un jury composé de trois personnes. Tout de même, la pression était bel et bien présente, chacun d'eux jouait son avenir dans ce combat et pour Genkishi le poids n'en était que plus intense. Les deux combattants pénétrèrent dans le sanctuaire de guerre, aucune acclamation ou une salutation ne fut donnée aux adversaires, ils en firent de même en se dévisageant attendant impatiemment le gong du commencement. À peine l'arbitre fit un mouvement de haut en bas avec son bras, les deux concurrents s'étaient déjà sautés dessus d'une telle rapidité que l'arbitre n'eut pas le temps de s'écarter faisant de lui un prisonnier de la poussière qui naquit de leur sauts. Kunai en main, un combat au corps à corps fut entreprit afin d'échauffer les corps, il était facile de comparer leur niveau quasi identiques, et leur style possédant une incroyable technique. Bloquant un coup de pied latéral en croisant ses avants bras visant a former un X, Genkishi sortit de sa sacoche trois kunai qu'il envoyât sur Yukio qui était en train d'incanter, rapide et souple sur ses appuies, ce dernier évitât les projectiles afin de créer sa technique. Crachant de sa bouche un jet de flamme, Genkishi eut le temps d'incanter et lever un mur de pierre, l'enchainement ne fut pas atteint et il riposta à son tour avec un housenka no jutsu, en maître du kenjutsu Yukio dévia les boules de feu avec son fourreau les envoyant valser à gauche et à droite. Tous deux avaient démontré une fabuleuse maitrise du ninjutsu, partageant une affinité.
Leurs préliminaires terminés, les choses sérieuses pouvaient entrer en scènes. Chacun avait repris sa position initiale afin de continuer sur le rythme entrepris. Après avoir mordu son pouce et appliquer quatre mudras, il plaqua violemment sa main au sol, laissant un sceau s'afficher libérant une imposante fumée. De la brume couleur lait sortit un énorme kangourou, assez gros pour d'un petit saut toucher le plafond à vingt mètres de hauteur. La situation semblait avoir choisis pour maître Yukio, d'une telle façon, qu'échapper aux coups monstrueux du kangourou était une tâche ardue pour Genkishi, il saisit l'immobilité de son adversaire qui avait trop rapidement utilisé des techniques de hauts niveaux pour riposter. Il composa une série de signe afin de créer des lames de vents. Tranchantes, extrêmement rapide, elles passèrent au travers des jambes de l'animal pour le clouer au sol, ayant perdu quelconque mobilité il disparut comme il était arrivé dans un nuage de fumée blanchâtre. Son invocation éliminée Yukio était en chute libre, profitant de l'effet de gravité, il créa la technique que redoutait le plus Genkishi. Une boule de feu immense, se dirigeait droit vers lui, celle-ci était le dénouement du combat. Tout deux avaient utilisé leur réserve de chakkra. Cette technique était classifiée de rang S, à en jugé des dégâts quelle cause en échapper est très difficile. Le très peu de chakkra qui restait à Genkishi allait être utilisé pour se défendre, composant une série de mudra il plaqua sa main au sol, pour au moment opportun coliser la boule de feu à son dôme de protection. L'explosion fut fulgurante jetant des débris partout dans l'arène. S'ils avaient été au milieu, tout le terrain aurait été ravagé, par chance, ils purent se rabattre vers un coin éloigné. La fumée se dissipa peu à peu, laissant apparaitre Yukio encore debout et Genkishi à terre, avec un corps quelques peu brulé et des vêtements complètement déchirés. Semblant alors être le vainqueur, il traversa l'arène d'une démarche fière et arrogante pour arriver en son centre. Alors que l'arbitre allait descendre de son point d'observation pour le déclarer vainqueur, des mains surgirent du sol pour l'y plaquer robustement. Surpris, il en tira tout de même une conclusion logique, au début de leur combat quand il fit son jet de flamme et où ils furent cacher l'un à l'autre grâce au mur doton, il créa des clones de pierres. Se levant des débris, Genkishi mit une fin à l'explication de Yukio. " C'est terminé, mes clones ont remplit les sous-terrains de notes explosives abandonnes ou meurs " Les jury s'étaient levés pour visionner ce génie, tous bouche bée de sa performance. Levant la main à contre coeur, Yukio déclara sa défaite. Genkishi se mit aux côtés de son adversaire encore immobilisé, pour d'une voix sarcastique lui avouer " ah oui au fait, il n'y a pas de notes explosives "....................................................................................................................
Chapitre III
" Il retrouve ses sentiments, les caractéristiques pour devenir hokage. " Il était arrivé à un point de sa carrière où, le qualifier d'arme n'était plus suffisant. En premier lieu, grâce à son palmarès de missions réussites, ainsi que sa liste totalement blanche d'échecs. Sa capacité d'analyse et de commander, et la diversité de ses atouts de combats ou encore son rôle important pendant la quatrième grande guerre ninja. Aujourd'hui âgé de trente-cinq ans, sa réputation n'était plus à faire, suscité à de nombreuses reprises afin de tenir le système de la racine après la mort de Danzo, il faisait cependant preuve d'un peu plus d'humanité sans pour autant être apathique. Même s'il était la recrue idéal pour le poste du défunt Danzo, la mission à laquelle il fut assigné il y a quelques mois fut le bouleversement de cette utopie crée par le chef de la racine. En un matin, un homme affolé courrait dans les couloirs du bâtiment. Vêtu d'un accoutrement typique aux membres de la racine, malgré le silence imposé dans les corridors de la bâtisse, il ne pouvait s'empêcher de crier " Maitre Inoue ! Maitre Inoue ! ". À l'accoutumé polit et formel, Shiranoui pénétra le bureau du chef sans même avoir prit la peine de prévenir, et à sa démesure il y trouva Genkishi. " Le maitre est absent, je le remplace. " Dit-il gardant les yeux rivé sur un document qu'il complétait à l'aide d'un stylo, " Une lettre reçue du haut conseil de Konoha. Une missive qui doit être exécuté sur-le-champ ". Il prit le dit document puis y jetât un œil intéressé, prenant ses affaires il fit par à Shiranoui son envie de s'occuper de cette mission. " Très bien je m'en occupe, j'ai classé les rapports et signé les autorisations de sorties ".
Il avait saisit le contexte intégral de la mission qui incitait à éliminer un petit village. La raison ? Elle n'y était pas citée, et comme l'exige la nature de son métier, il n'avait pas à le savoir. Tranchant la verdure de sauts calibrés, laissant tanguer son écharpe sous l'élan de ses déplacements. Ne perdant en rien sa coutume, il garde suspendus entre ses lèvres une cigarette sur le bord de l'extinction, et malgré le silence planant, on pouvait entendre le bruit émis de la collision de ses shuriken et kunai les uns contre les autres dans sa sacoche. Sa corpulence se mouvait au décore comme un caméléon se cachant de sa proie. Devait-il se préparer mentalement ? Après trente ans de carrière, ce rite n'est plus une nécessité, tuer n'apporte plus aucun sentiment d'effervescence ou un quelconque plaisir, cette tâche devient un train habituel qui ne demande qu'une parfaite doigté dans l'art de tuer... Sa traversée dans la forêt le conduit près d'un petit village non loin de Konoha. Il gardait ses distances afin d'observer ce qu'il se devait d'attaquer, repérer les ninjas ou guerrier du village. Encore vers les coups de dix-sept heures, s'il devait attaquer ce serait à l'heure du coucher. Observant la populace derrière ses jumelles, il ne vit aucun poste de garde, ou autre activité militaire. La surface non habité du village était entièrement utilisé comme terrain agricole, et on ne pouvait distinguer aucun uniforme spécial. D'une première analyse, cette mission n’allait pas demander un effort de trop haute envergure, car il n’avait pas à faire à des ninjas, ou un quelconque clan particulier.
La lune avait fait disparaitre l'astre embrasé afin de laisser écouler ses rayons sur la petite bourgade qui lui faisait face. S'équipant pour passer à l'acte, il mit une grande sacoche à son dos, ajoutant son katana à l'arrière de sa ceinture. Vêtu de ce manteau noir qui se mêlait au contraste sombre, il s'infiltra dans le village d'une course fuselée, en y ajoutant quelques acrobaties afin d'atteindre la maison qui paraissait plus imposante que les autres. Tout ninja de haut rang sait que dans une guerre il faut toujours éliminer le plus puissant, c'est avec cet état d'esprit que Genkishi avait jugé élémentaire de tuer le chef de ce village. Il abordât alors des déplacements brumeux, jusqu'à arriver sur la toiture de la dite maison. Sculptant les alentours d'un œil aiguisé, il y pénétra en se faufilant par une fenêtre, un jeune homme sortit d'une chambre habillé d'un kimono de nuit. Afin de veiller à sa discrétion et sa maitrise de la situation, Genkishi se faufilât derrière lui en retranscrivant chacun de ses mouvements à la perfection, armant alors sa main d'un kunai avant de mettre sa main sur la bouche de sa première victime. L'immobilisant comme le ferait une araignée à son déjeuner, il prit la peine de l'observer, des cheveux bleu nuit couvrait sa tête, le contact de son corps avec le sien lui permet de sentir une corpulence parfaitement travaillé sous ce kimono ébène. Passant le kunai sur sa gorge, au moment d'effectuer une pression sur la lame afin que celle-ci pénètre sa chair, il entendit un cri qui le fit paralyser. " Genkishi ! " s'écriât une enfant sur le bord des larmes, il sentit une main agripper son épaule et sous un réflexe habile il repoussât l'homme qui vint à ses arrières d'un coup de pied, encaissant le coup de coude de son otage, il s'écarta de ce dernier dégainant son katana pour le mettre sous le cou de l'enfant. Une fraction de seconde lui suffit afin de changer de position, et veiller à garder un avantage. Menaçant les deux hommes de tuer la jeune fille si un cri était entendu, il fut totalement anéanti en voyant une femme âgé les rejoindre. Il reconnut, malgré une chevelure blanchâtre, les traits de sa propre mère. Sur l'instant, il remit en question la mission qui lui fut donnée, Konoha l'avait-il incité a exécuter sa propre famille ? Danzo aujourd'hui mort, le clan Moeru n'avait plus aucune protection, confus dans son esprit, il lâcha la gamine abritant sa lame dans son fourreau. Était-ce la de l'hésitation pour la première fois depuis trente-cinq ans ?[/size]
-Pourquoi Konoha exige votre exécution, qu'avez-vous fait ? Dit-il d'une voix froide, le visage caché dans sa capuche
-Papa que...
-Assez Genkishi ! Comment Konoha pourrait vouloir notre mort ? Nous la fournissons en fer trouvé dans nos terres ! C'était donc le nom donné à son fils, Genkishi. Il n'avait pas perdu son tempérament impulsif, mais la situation des Moeru avait changée. Du clan totalement inutile, il devint très vite un fournisseur à ne pas prendre à la légère, la quantité de fer du village était quasi inépuisable, assurant de ce fait leur place dans la région du feu. La situation actuelle ne pouvait laisser Genkishi dans sa neutralité habituelle et ce malgré la dévotion qu'il vouait à son village. Il suffit d'un simple crie d'une mère pour effacer l'idée de meurtre qu'il avait en tête. Il ne se doutait probablement pas de l'ampleur du problème auquel il faisait face, et son origine. Toute l'histoire était l'écrit de Danzo, en test absolus, si Genkishi avait assassiné toute sa famille il aurait été l'aboutissement final de son projet « racine fertile ». Il avait pensé à la possibilité, qu'il ne pourrait pas accomplir sa mission, se faisant bloquer par ses sentiments qu'il n'a pu éteindre comparé aux autres membres de la racine. Et mon devoir commençait à cet instant. Sous les ordres de Danzo, si Genkishi n'avait pu se résigner à exécuter son clan, je me devais de le tuer lui et ses confrères. À mon tour je pénétrais dans la maisonnette, faisant tomber ma capuche devant lui, il fut surpris de voir son coéquipier sur place, il comprit très vite la supercherie et le but de ma présence. Il me fit par de son envie que je déguerpisse d'ici en vitesse et qu'il gérait la situation, mais l'ayant côtoyé depuis si longtemps, je savais qu'il n'allait en aucun cas aboutir sa mission. M'élançant vers cette femme âgé qui était sa mère, il mit fin à ma course en se projetant sur moi, m'éjectant de ce fait hors de la bâtisse. Éparpillant les débris de bois, je me relevais de son coup pour le voir en face de moi. Pour devenir le chef de la racine et atteindre mon but, je devais le tuer coute que coute. L'ironie était présente, chacun de nous avait un but qui allait le pousser à tuer son camarade. Composant rapidement une série de signe, je crachais plusieurs projectiles aqueux qu'il dévia à l'aide d'un simple jeu de jambes. Il s'était spécialisé dans plusieurs domaines, son taijutsu était irréprochable, ce qui lui permit de m'intercepter en pleine course. A son tour, il se découvrit la tête, et fonça vers moi en me projetant quelques projectiles que je contrais avec un kunai. Soudain paralysé, je le vis disparaitre de ma vision comme s'il était une ombre, son genjutsu avait prit part de moi. Il n'avait point volé son surnom du mirage, me mordant les lèvres je le vis poser les mains sur le sol. Si je n'avais pas remarqué son genjutsu, et fit un saut juste après j'aurais été empalé par ses pieux de terre. Joignant mes mains en prières, un tigre d'eau sortit de sous terre afin de le dévorer, sous la pression de l'eau il aurait été déchiquette s'il n'avait pas créé son armure doton.
Sous le regard ébahi des Moeru le combat faisait rage, leur niveau était toujours le même médiocre. Seul Gen put se défaire de cette image et surpasser même les plus talentueux de la racine. Il est un grand utilisateur du doton, surpassant même les iwajin dans sa maitrise. Profitant de cette faiblesse, quelques signes suffirent afin que je puisse créer un dragon composé d'électricité allant à toute allure frapper non pas Genkishi, mais sa famille. En levant son bras, il créa un mur de vent qui dispatacha mon dragon de foudre, je saisis mon épée raiton que j'avais créé et me mis en sa direction, criant à haute voix " Tu vas te sauver toi, ou ta famille Genkishi ". Il garda sa main pointant vers ses proches, tandis que moi j'allais à une vitesse fulgurante le transpercer, malgré sa grande vitesse j'étais beaucoup trop près pour qu'il puisse me contrer. Un bruit de transpercions retentit, suivit un flux de liquide rougeâtre recouvrir le sol, je pensais en avoir fini avec cet homme qui était mon rival, mais quand bien même ma haine était grande je n'ai point réussi à le traverser avec ma lame. C'était son père que j'avais perforé avec ma lame, il se mit comme un obstacle, gardant un sourire aux lèvres il dit à son fils " J'espère ce n'est pas trop tard, mais... le devoir d'un père...et de protéger... son fils " Il tombât à terre et je pus revoir le faciès de Genkishi, un faciès que je n'avais jamais vus, la colère seulement était déchiffrable. Il leva son autre main, et des mains de terre m'immobilisèrent, son regard fauve me traversa l'esprit pour me détruire, serrent son poing il effectua sa technique légendaire. Je sentais mes os se faire broyer un à un sous la pression de la terre, je ne sentais plus mon corps et peu à peu mon esprit divaguait dans les limbes de l'inconscience. |
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