¤ Mission rang B ¤
Le soleil était haut dans le ciel, le village de Konoha était très souvent ensoleillé quasiment toujours même. Les jours de plus étaient rares. Cela changeait, changeait beaucoup même l’environnement de Cross. Lui qui avait vécu pendant un an au village d’Ame devenu maintenant celui de Jiyuu, de la liberté qui malgré son changement de nom, son bouleversement dans son histoire n’échappait toujours pas à sa malédiction. Pays triste, la guerre l’ayant terriblement marqué, le sang ayant souillé et gorger sa terre. Le ciel maintenant s’entêtait à vouloir le nettoyer, le débarrasser de la moindre souillure, mais jamais son ménage, sa purification ne verra sa fin. Il y a avait toujours plus de sang qui coulait dans se pays que d’eau qui ne tombait du ciel. Seule la disparition des hommes de cet endroit permettrait son rayonnement. Et encore, la mort rôderait toujours sur cette contrée et priverait de son liquide de vie les corps qui s’y trouveraient. C’était à présent son domaine, son lieu de
résidence, sa terre.
À bien y réfléchir, Marian préférait la pluie incessante d’Ame au soleil resplendissant de Konoha. Au moins grâce à cette pluie les sales gamins ne sortaient et ne gueulaient pas dans les rues, leur tintamarre n’était rien comparer à la mélodie des goutes d’eau qui tombaient sur les bâtisses d’acier de la ville de Jiyuu. Tout cela n’était que bruit, qui ne faisait qu’exaspérer le roux. Dans les rues de Konoha, il vagabondait cherchant un moyen de distraction. Égorger quelques gamins qui jouaient là dehors le distrairait grandement, cependant, il ne pouvait se le permettre pour le moment. Alors qu’il passait dans une ruelle, il vit au loin un marchand qui poursuivait un voleur. Les bras levés il criait « au voleur, au voleur. » dans l’espoir que quelqu’un lui vient en aide. Hum, décidément il avait bien du courage, pourquoi quelqu’un lui viendrait en aide ? Il n’avait qu’à être plus prudent, faire plus attention à son étalage, rester à l’affut. C’est comme cela que ça marchait à Jiyuu. Mais les risques là-bas étaient beaucoup plus grands, si on se faisait choper, le marchand pouvait bien décider de faire tuer le voleur. Alors qu’ici dans ce village de faiblard on l’emprisonnait.
Marian marchait l’air de rien, n’ayant aucune envie d’aider le marchand en détresse. C’est alors qu’il remarqua la marchandise du vol. L’objet du larcin était trois bouteilles de ce doux breuvage qu’était le rhum. Mh, allait il commettre un caprice, l’aider et avec la chance voir le marchand lui offrir une bouteille ? Aller, pourquoi pas, il faut se laisser aller pas moment, surtout lorsque c’était pour la bonne cause. Et s’il ne recevait rien en retour il aurait au moins faut son action de la journée. Cela rendra son âme un peu moins noire, lui permettra de ne pas se rendre à un niveau trop profond de l’enfer. Disparaissant avant de reparaitre juste devant le voleur, le quadragénaire il assena un violent coup dans le ventre qui plia l’homme avant qu’il ne s’effondre au sol dans les vapes. Essouffler le vendeur arriva finalement à sa hauteur.
| « Ahah, mais ce n’est rien voyons. » |
| « J’ai bien fait de rester aux affuts, avec tous ces vols qui ont lieu en se moment dans le quartier marchand. Mais bon, je n’ai pas été assez rapide. Pour vous remercier, prenez-en donc une ! » |
Souriant intérieurement c’est avec grand plaisir que le binoclard se servit. Décidément, les gens de ce village étaient trop bons et naïfs. Qu’ils ne viennent pas se plaindre que l'on ait abusé d’eux. Remerciant le marchand pour son geste, il s’en reparti, ouvrant avec appétit la bouteille. À l’alcool, doux breuvage, doux nectar, qui peut aussi bien être apprécié des hommes que des femmes. Ces dernières pourtant pour la plupart préférant les plus raffinés. Oui se doux liquide un peu amer pour certain peu pour d’autre offrait bien des choses et n’en demandait que peu en retour. Seulement ce qu’il offrait n’était que passager, et c’est bien pour cela qu’on en reprenant, qu’on en buvait encore et encore, qu’on en redemandait toujours plus, qu’on prenait plaisir à en boire. Car oui, si on n’en tirait aucun quelconque plaisir personne n’en boirait. Vous pensez ? Non certains trouverait une autre raison. En effet, si les effets de l’alcool étaient éternels nous ne voudrions pas en reprendre, mais une de ces particularités est bien ça volonté d’en reprendre. Car oui, cette ambroisie terrestre apporte réconfort, joie et oubli. Il donne chaud lorsqu’on a froid aussi bien en dedans qu’en dehors. Il apporte la joie, l’euphorie aux âmes en peine. Il nous trouble et nous fait rire à la moindre action, moindre fait, moindre geste, moindre bruit. Cette boisson apporte l’oubli, elle efface pendant un temps de notre mémoire un fait passé un moment, triste, troublant, traumatisant. Ca délivre le corps et l’esprit de cette attache au passé, cela retiré les chaines qui jusque-là empêchaient notre envole. En bref, l’alcool était notre ami, un ami fidèle. C’était un médicament, un remède. Mais comme un ami, il nous pousse à faire les quatre cents coups en sa compagnie. Comme un médicament, un remède, il a des effets indésirables, des contres coups.
L’on pense rarement à réfléchir lorsqu’une solution nous est proposée, car bien souvent l’aide apporté est pire que le maux que l’on souhaite faire disparaitre. Cross n’était pas un inconnu de ces contres coups. Non pas qu’il est souvent utilisé l’alcool comme autre chose qu’un moyen de distraction, ou alors par simple plaisir. Ayant bien souvent franchi les limites et même vomi dessus sans vergogne. Il n’empêche que cette boisson, qu’elle resta pour le rouquin plus une amie qu’une ennemie. Jamais elle ne l’avait fait trop parler ce qui est bien souvent le cas des hommes ivres, non il savait se contrôler. Ses secrets et son linge sale connaissaient le meilleur des coffres fort possible, son esprit. Il mettait quiconque au défi d’essayer de le percer !
Avançant, tout en buvant sa bouteille gorgée après gorgée ses pieds l’amenèrent devant le manoir du Hokage. Il y a quelques jours il avait rempli une mission visant à s’occuper de Nukenin. Fort facile fut cette mission. Il n’empêche que cet épisode fut fort excitant et distrayant un à moment précis
Flashback
Alors qu’il sortait du manoir du Hokage quelqu’un l’arrêta. C’était un gamin sans doute devait il avoir quatorze ou seize ans, ou entre les deux. Que lui voulait ce morpion ?
| « Attendez-moi ! Vous êtes parti sans crier garde, je pars avec vous sur cette mission. » |
Quoi ? Il plaisante, lui filer un gamin comme coéquipier et puis quoi encore, on nage en plein délire.
| « Et puis quoi encore, tu ne seras qu’une gêne. » |
| « En quoi serais-je une gêne ? Je suis un excellent ninja ! » |
| « Tu as déjà tué gamin ? As-tu déjà tué un homme l’as-tu déjà vu mourir sous tes yeux et de ta propre main. As-tu déjà vu la vie qui s’échappe de lui alors que tu lui transperces le cœur ? –le gamin ne répondit rien ce qui signifiait bien un non pour Marian- alors tu ne seras qu’une gêne. » |
| « Quand bien même je dois venir avec vous, c’est un ordre. » |
| « Et bien désobéis je pourrais m’en occuper très bien tout seul, pas besoin d’un marmot dans une mission comme celle-là. Je ne dirais rien maintenant va jouer ailleurs. » |
Grommelant le gamin lui répondit.
| « Et vous, vous avez déjà tué peut être ? » |
Une vive tension, un frisson traversèrent le corps du renégat, de la pointe des oreilles jusqu’à la pointe de ses mèches. Un frisson délicieux. Se retournant lentement, un regard d’assassin et de fou dans les yeux il fixa le gamin, un petit sourire en coin un léger rire en fond.
| « Oh oui gamin, j’ai hotté la vie de tas de gens et j’y en ai prit plaisir. Tu sais ce que j’ai appris la première fois que j’ai tué volontairement ? Une chose qu’on ne t’apprend pas dans ton académie. Qu’avant de mourir, tes adversaires chient dans leurs frocs. » |
Se retournant et plantant le gamin, il se mit en route.
Flashback end
Ahah oui ce gamin l’avait bien amusé, pauvre petit créature. Dommage qu’il ne l’ait pas fait venir avec lui en mission. Il aurait pu s’arranger pour le faire tuer par les Nukenin, cela avait fait un petit rat fouineur en moins. Bah, c’était bien fait pour lui, pour sa grande bouche et son envie de traumatiser les gosses. Levant les yeux, au-dessus du manoir se trouvaient les visages de pierres, qu’est ce qu’elle était laide, elle lui donnait l’envie de gerber. Nom, mais pratique païenne que de graver sur la montagne des portraits de leurs dirigeants, les élevant bien au-dessus que ce qu’ils n’étaient, de simple mortel qui c’était fait couper les ailes, sacrifiant leur vie pour un village qui n’en valait pas la peine. Pauvres fous, bientôt ils seraient morts pour rien, car lorsque que Marian déchainerait sa colère, sa haine oui sur se village qu’il détestait, se village de pourri et pourriture. La feuille ne serait plus qu’un vaste cratère fumant de vapeur d’acide. Le moindre bâtiment, le moindre os de ses habitants et le moindre visage de pierre ne seront devenus qu’un grand vide ! Tu es née poussière et tu retourneras poussière. C’était son destin, c’était écrit ! À l’instant même où ils l’avaient tué, le sort de Konoha et celui de Cross était lié, était scellé. La feuille avait commis sa plus grande erreur le jour ou elle l’avait tué. La gouvernante de son orphelinat, sa seconde mère, non sa véritable mère. Une sainte qui ne méritait pas le moins du monde ce qu’il lui est arrivé ce jour-là. Le sol avait tremblé, l’air avait vibré, le ciel avait grondé et l’homme avait détruit ces propres créations par cet acte fou qu’est la guerre. Oui c’est avec un plaisir immense qu’il frapperait la feuille, la réduirait en miettes, l’effriterait entre ses doigts avant qu’elle ne fonde sous son acide.
Fermant les yeux, puis le rouvrant, Cross quitta le paysage de désolation qui s’était créée dans son esprit pour se replacer dans la réalité. Oui cette réalité qui ne serait bientôt plus. Mettant un pied devant l’autre, jetant sa bouteille qui vint se fracasser contre un mur loin, le renégat infiltrer entra dans le manoir de kage pour se rendre dans le hall des missions.
Y arrivant, il trouva la salle quasiment déserte. Mais que glandaient il aujourd’hui hier encore il y avait toute une agitation, des ninjas de toutes sortes qui courraient ici et là pour rendre une mission et repartir aussi tôt. Aucun Genin geignards en qui attendaient avec hâte de partir en mission. Avaient il déjà abandonné ? Ou peut-être étaient ils tous morts ? Peu importe, Marian ne s’en souciait guère. L’équipe administrative qui aidait l’Hokage, ou du moins le chef du village dans sa tâche était terriblement réduite également, une journée creuse dans ce cas. Tant mieux, un peu de silence faisait du bien, on ne les entendait plus griffonner et signer à tout va les papelards. Planter au milieu de la pièce le rouquin se décida enfin à bouger pour s’approcher d’un des notables, le régent n’étant pas là. Encore heureux sinon il l’aurait sincèrement plaints, devoir rester ici tout la journée devait être terriblement emmerdant.
| « Alors, il parait que l’on a besoin de moi » |
Sans dire un mot, le notable qui griffonnait toujours lui tendit son ordre de mission. Depuis quelques jours déjà un des marchands de la zone commerciale se plaints d’être régulièrement volé. Quoi ? Il devait encore jouer au flic et au voleur. Il avait déjà donné se matin à stoppant l’autre. Se genre de mission n’était pas pour lui, autant la refiler à un Genin. Continuant à lire l’ordre de mission il soupira. Les gardes du village ne parviennent pas à trouver la source du problème, c’est pourquoi ils font appel à un ninja plus haut gradé. Désespérant, décidément ce village lui faisait pitié. Incapable de rattraper un simple voleur ? Dans ce cas comment cela se faisait-il que le village tout entier n’eût pas été rasé depuis belle lurette ? La chance oui, surement un incroyable coup de bol à chaque problème. Mais il ne fallait pas se reposer autant dessus comme ce village le faisant. Car ce don vient puis repart comme il est venu.
Tournant le talon Marian sortit du hall avant de quitter le manoir. Il comptait rapidement plier cette mission qui ne représentait rien de plus qu’une perte de temps. Sautant de toit en toit le roux arriva au quartier marchand. Il n’était pas doué pour les enquêtes, à moins que cela ne soit que de la mauvaise volonté pour les enquêtes qui était dénouée du moindre intérêt ? Tournant la tête de droite à gauche se demandant par ou il pouvait bien commencer, les mots du marchand d’alcool lui revinrent un mémoire. Sans doute, il aurait une petite idée. Lentement, mais surement, il se rendit jusqu’à sa boutique. Poussant la porte, marchant jusqu’au comptoir, appuyant sur la sonnette, le brave vendeur sortit de sa boutique.
| « Au c’est vous ? Alors là bouteille vous à plus. » |
| « Très oui, mais malheureusement, je ne suis pas ici pour gouter ou parler d’un ne ces merveilleux nectars qui borde de vos rayons, ce qui déprime grandement ? Non, je suis là pour les affaires et plus particulièrement cette histoire de vol. Vous aviez dit que l’on en entendait parler en ce moment. Et qu’est-ce que cela dit ? » |
| « Ah, je vois qu’ils se sont enfin décidés à mettre quelqu’un sur ce problème-là. Ça a commencé depuis peu, mais ça a rapidement pris de l’ampleur. Ça s’est passé juste en face, et c’est toujours dans cette boutique que ça a eu lieu. » |
| « Qu’est-ce qui y est vendu ? » |
| « Oh tout ce qui peut être utile à un ninja si je ne m’abuse. Aussi bien médicament qu’arme. » |
Le remerciant Cross tourna les talons pour partir jusqu’à la boutique pour avoir la version du magasinier. Ce dernier était très énervé, il s’était fait voler cinq fois en tout et personne n’avait réussi à coincer les gars qui avaient fait cela. Ce qui l’embêtait le plus était le quatrième vol, un somptueux Kuzarigama, un de ces meilleurs articles avait disparût. Depuis le dernier vol, le vendeur avait fermé la boutique pour permettre l’enquête qui avait lieu, aussi pria-t-il Marian de faire vite pour que ses affaires puissent reprendre. Prenant sur soi, l’infiltrer ne l’égorgea pas pour lui apprendre la politesse. Et c’est enfin qu’il rendit visite aux gardes censés surveillez, mais aussi retrouver le coupable de ces larcins. Ces derniers confirmèrent les dires du vendeur, mais ne purent lui en révéler plus ne sachant pas grand-chose. Pfeu, belle brochette d’incompétent, ce n’était pourtant pas sorcier, tu postes quelque garde caché avec un senseur et tu vois tout de suite qui est venu pour voler. À moins que ce ne soit eux les voleurs, ce qui expliquerait leurs incompétences. Nan ça ne pouvait pas être, en les voyants le rouquin l’avait senti. C’était juste une bande de corniauds bête à manger du foin. Quelqu’un d’autre avait commis ces vols, mais qui ? Dans l’ordre de mission l’on regrettait un trafic d’armes, c’était peu probable, ce village était un village de faible, personne n’avait les couilles de faire une telle chose.
Traversant les quartiers commerciaux il vit que d’autres boutiques proposaient les mêmes services que celle voler. Bien sûr, elle ne proposait pas tous, mais un quart. La première vendait des armes, la seconde des armures et la troisième des médicaments pour ninja. Et s’il s’agissait tout simplement d’un coup fourré de la concurrence ? Mh, c’était peut être possible, surement le plus probable. La question était de savoir si les trois enseignes étaient liées ou non. Ça serait tellement simple, ses suppositions auraient ainsi un fondement. Tour à tour il fit les trois boutiques posant les mêmes questions. Au final, cela ne donna rien. Il attendu une heure sur l’un des toits d’une maison, observant la ruelle dès fois qu’ils n’aillent se rendre visite, mais rien. Cela ne signifiait deux choses : soit ils étaient innocents ou avaient déjà prévu le coup. Soit ils ne sont pas complices et il n’y en a un qu’un seul qui a fait le coup.
C’est alors qu’une piste apparut. Le patron de l’enseigne vendant les armures quitta sa boutique avec précipitation se décidant à le suivre. De toit en toit, le roux sautait, suivant son suspect attendant de voir où il l’amènerait. C’est au bout d’un certain moment que le comportement de l’homme changea en effet, il regardait derrière lui pour s’assurer qu’il n’était pas suivi. Mh, de plus en plus étrange, mais aussi de plus en plus suspect. C’est ainsi que sa filature l’amena jusqu’au bas fond de Konoha. Le suivant jusqu’à l’intérieure d’un bâtiment. Il n’aurait jamais pu rêver mieux, prit en flag ! Le vendeur d’armes était juste devant des cartons dans lesquels étaient entreposé ce qu’il avait volé. Comment le savait-il ? Tout simplement parce que le voleur tenait dans ses mains le Kuzarigama dont lui avait parlé le volé.
| « Alors ? Apparemment j’avais raison, c’était la concurrence qui voulait se débarrasser de lui. » |
| « Qui est là ? Toi ! Tu ne m’as donc pas lâché. Oui je comptais le faire couler avec ces vols, c’était lui ou moi. Son entreprise bouffait mes parts de marcher. » |
| « Mh, ces aveux me semblent parfait. » |
| « Je ne te laisserais pas me capturer ! » |
Saisissant le Kuzarigama le vendeur d’armes lança la masse sur le roux qui disparut alors pour réapparaitre devant son adversaire.
| « Tu ne pensais pas sérieusement qu’un civil pourrait battre un ninja. » |
Frappant par la suite son ventre violemment, l’homme s’écroula…
Quelque heures après le voleur avait enfin été arrêté, et les objets restituer. Retournant dans cette même ruelle, Marian vint vérifier que les gardes qui avaient donc été désignés pour ramener la marchandise avaient bien effectué leurs ordres. Il n’avait pas récupéré tout ça pour le voir disparaitre par la suite. Entrant dans le magasin d’alcool après avoir confirmé il s’approcha du comptoir.
| « Je vois que vous avez arrêté le voleur, c’est rassurant, le quartier était si tranquille. J’espère que ça dissuadera les autres. » |
| « Mh, je l’espère, j’ai horreur des missions de se genre. Bien ! Maintenant que c’est fini, je vais enfin pouvoir prendre plaisir à parler de ce qui orne vos rayons. » |