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 FLASHBACK - Pour que je puisse vous revoir. 〖PV Fujita Kodo〗

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Kakuzo Hidemi
Kumo No Juunin
Kumo No Juunin
Kakuzo Hidemi

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Feuille Shinobi
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MessageSujet: FLASHBACK - Pour que je puisse vous revoir. 〖PV Fujita Kodo〗   FLASHBACK - Pour que je puisse vous revoir. 〖PV Fujita Kodo〗 EmptyDim 8 Sep - 1:40

Valet des Kiyomizu




    Le coeur ou la raison ?
    Le sang remporte face au statut social.



    Cela aurait pu être une journée si banale ... Qui débutait tel un orchestre possédant la synchronisation parfaite, tant de chants me soufflaient au creux de ma coquille, je soupira d'un air satisfait et apaisé, épousant par mes bras ce vent qui me berçait. Je me souviens encore de ce jour ... Il fut grisâtre comme mes pensées actuelles, et pourtant c'est un temps comme tant d'autres que je peux percevoir sa magnificence là où les yeux d'un homme simple aurait pu omettre. Cette fraîcheur, ces tons de couleur qui peint le village, dressant un portrait serein alors que la nuit elle s'habille de lumières aussi colorées les unes que les autres, festives, chaleureuses, joviales ... J'étais fier de ma personne d'avoir tant changé Kumo. Les shinobis ont de quoi être relever leur menton, de vivre dans un tel village ... Et je pus prouver à tout le monde à quel point la philosophie de notre clan est véridique – La beauté est la base de notre plus grande force, nous croyons à ces idées depuis fort longtemps. Et je le sentais à travers le coeur de mes enfants, qui sont les kumojins, tout simplement. Autant qu'une femme distinguée, je pris mon temps à la préparation, que ce soit entre purification de mon corps sous les caresses des gouttes, la chute de ma cascade entre les pointes de la brosse, ou profiter des caresses fraîches et somptueuses de la soie de mes kimonos luxueux.

    Au repas, je salua Père d'un sourire doucereux, qui se joint à mon activité, encouragé par ma bonne humeur, et une visite imprévue porta vent jusqu'à nous, comme souvent dans cette demeure. Cinq de mes cousins que je connais que trop bien, bien évidemment, qui donc pourraient être aussi bruyants de si bon matin ? Quelque peu plus jeunes que ma personne, encore des enfants au grand pic de l'adolescence, ils ne portaient point tant de responsabilités que ma personne, que ce soit en tant que Raïkage ou l'élu protecteur, alors malgré que leur formation en tant que shinobi digne de porter notre nom est ce qui rythme leurs journées, leur innocence illumine chaque pièce qui porte leur présence. Je leur souris avec tendresse en guise de salutation, préférant profiter de mon silence à une telle heure, mais le repas passa tout de même du calme aux enfantillages, se chamaillant, plaisantant, jusqu'à ce que Père leur a demandé, avec la fermeté qui le définit, de se calmer et prendre plaisir au repas comme tout noble qui se respecte. Un silence se fit, des regards s'échangèrent, l'un laissa malgré lui un rire sortir entre ses lèvres pourtant bien fermées avec volonté, et les autres le suivirent alors jusqu'aux éclats de rire qui résonnèrent dans toute notre demeure. J'observais au bout de la table basse, en seiza, buvant tranquillement mon thé comme si j'étais seul, tandis que je vis mon paternel claquer sa paume contre son front. Ce genre de scènes ne me dérangent point, bien au contraire, derrière mes airs calmes et sereins, j'étais amusé et plus qu'enchanté de voir tant de joie de vivre. Je posa ma tasse de thé sur la table, tandis qu'un rire des plus discrets s'échappent de mes narines, et je souris alors, m'adressant à mon paternel.

    '' Allons, Père ... Laissez-les rire de bon coeur. Ils ont tout à fait raison de profiter pendant qu'ils sont dans la fleur d'âge. L'énergie qu'ils doivent dépenser lors de leurs entraînements est également importante pour l'utiliser dans la joie de vivre. Ainsi, leurs progrès en seront que fructueux. '' Suite à ces mots, je pris alors ma longue pipe, prêt à me détendre.

    '' Humpf ... Tu es bien trop laxiste envers tes cousins, mon cher fils ! Tu sais être strict en tant que senseï et Raïkage. Appliques donc cela dans notre quartier également, surtout lorsque ces petits exaltés viennent sans aucune gêne dans NOTRE demeure et y semer pagaille auditive ! ''

    J'observa le visage de mon paternel, qui semblait posséder la sensation de perdre son autorité. Avec lenteur, je sortis de ma gorge une fumée dense, et remettant le bois entre mes lèvres, mon regard balaya la table, et saisis les yeux de mes cousins rivés sur ma personne, comme attendant une seule chose – Que je continue à les défendre. Je baissa mes yeux, d'un sourire amusé.

    '' Mais c'est ce que je fais, Père. C'est ce que je fais ... ''

    Il soupira, abandonnant visiblement face à la situation, et lorsque le silence fut brisé par des rires à nouveau, mon paternel se détendit enfin et en sortit un timide de ses lèvres. Ce qui détendit d'avantage l'ambiance, et le repas ne fut que des plus agréables. Parfait pour que je puisse avoir toute l'énergie au monde et quitter ma demeure avec de la joie dans mon coeur. Mes cousins sortirent avec précipitation juste après ma personne, me rattrapant au pas de course afin de me doubler, visiblement pressés de partir à l'entraînement. '' À plus Kakuzo ! '' Qu'ils me firent avec de grands gestes chaleureux, que je leur rendis avec un grand sourire satisfait. Arrivé au bureau, Sakuya-sempaï était déjà présent, assis sur mon ... '' Trône '', occupé par la paperasse. Dès qu'il me vit, ma présence le motiva apparemment de prendre une pause, ce qu'il fit sans aucune gêne – Il s'étira en arrière dans ce fauteuil, sortit une cigarette pour la fumer avec aisance, croisa ses doigts derrière la tête et mit les pieds sur le bureau. Ce n'est qu'après qu'il se décida de me saluer d'un air toujours aussi détaché, mais toujours avec un sourire.

    '' En forme, Kakuzo-kun ? ''

    C'est bien le seul homme qui soit aussi familier avec ma personne, et c'est bien parce que je fus son élève auparavant, et qu'il devint par la suite mon ami le plus proche. C'est également bel et bien le seul que je laisse s'adresser envers moi d'une telle manière. Je leva mes yeux au ciel, le sourire amusé aux lèvres cependant, avant de m'approcher du bureau, passer de l'autre côté et claquer ses pieds afin de l'inciter à les enlever.

    '' Hey ! '' Qu'il s'exclama en les enlevant aussitôt, comme frappé par un électrochoc.

    '' Je t'ai dit bien nombre de fois de ne point faire cela. Je suis déjà assez clément pour t'autoriser de fumer ta cigarette dans mon bureau, alors que tu sais pertinemment que je n'aime point l'odeur. Seule celle de la pipe m'est agréable. '' Je le disais tout de même avec douceur, possédant toujours mon sourire serein aux lèvres.

    '' Pfeuh, maintenant que tu es Raïkage, tu oses donner des leçons à ton ancien maître, hein ?! Où est passé ton respect envers tes aînés ? '' Qu'il me répondit alors, d'un ton plaisantin.

    Je ris de bon coeur avec lui, avant de lui informer que je lui laisse les documents encore quelques heures entre ses mains. J'avais tant de visites à faire ce jour-là. Nos échanges ne furent point longs alors et je quitta les lieux, me dirigeant en premier ... Vers une des institutions que je pris soin de rénover par mes vastes moyens. J'en avais des endroits à visiter, ça oui, entre ce lieu, la nouvelle grande librairie, l'hôpital ... Mais j'y allais toujours de bon coeur. Surveiller par mes propres pupilles la sérénité de ces lieux et voir la motivation des concernés ne me fait que chaud au coeur. Partout où j'allais, on m’accueillait avec tant de plaisir et de bonté, et les responsables annonçaient alors mon arrivée, pour que je puisse leur donner courage. Je fis un long speech de motivation dans une grande classe, vérifiais l'état des livres, visitais les nouveaux parents à l'hôpital afin de les féliciter et vérifier si tout se passait comme prévu ... Et l'heure tournait à vitesse folle, je ne voyais point le temps passer. Mais comme à chaque fois, les visites ne sont qu'instructives et nécessaires, que ce soit pour ma personne ou pour eux.

    En revenant au bureau, Sakuya-sempaï me céda ma place respective, tout en m'annonçant qu'un oiseau arriva, avec une lettre de Juka-sama. Ahhh, le meilleur moment de ma journée, lorsque je reçois les nouvelles de ma tendre amie ... Je croirais sentir encore son doux parfum sur ses feuilles, et je m'enivre de ses écritures. Allumant ma pipe et assis avec aisance dans mon fauteuil, je me mis alors à lire, le sourire aux lèvres. Mais à chaque ligne, le dit-sourire s'effaçait de plus en plus, au point que Sakuya-sempaï s'en inquiéta. En guise de réponse, je n'ai pu que faire tomber ma pipe, sans pouvoir perler un mot. C-Comment cela, elle a quitté le village, sans savoir quand elle reviendra ?! Avec Kodo-san, en plus ! D'un bond traduisant le début de ma perte de sang froid, je fis tomber dans un grand fracas le fauteuil derrière moi qui glissa jusqu'à se cogner au mur, et mon vieil ami sursauta même.

    '' Qu'est-ce qui se passe ?! '' Il se mit à s'inquiéter à la réponse silencieuse que je lui offris, tandis que mes yeux s'étaient écarquillés fixant je ne sais quoi. Une goutte de sueur froide glissa de ma tempe, je devins pâle comme rarement, et je sentis à peine que Sakuya-sempaï me prit fermement par les épaules pour me secouer. '' Oï ! Kakuzo-kun ! Réponds moi ! ''

    Je repris ma concentration, j'allais devenir fou par l'inquiétude qui m'envahissait. Je regarda un instant Sakuya-sempaï avant de m'arracher de son étreinte et quitter le bureau en vitesse, claquant d'un bruit sourd la porte. Je marchais d'un pas précipité et des plus nerveux, serrant le papier entre mes doigts. Je ne réfléchissais plus, je ne faisais plus attention aux regards curieux. Encore moins à mon ami qui me suivit d'un pas rapide, appelant encore mon nom, mais n'osant même plus me toucher. Il n'était plus temps aux paroles. Je pénétra dans le quartier, où les membres également me regardaient d'un air confus, et entra vite dans ma demeure, montant dans ma chambre. De tout ce chemin, Sakuya-sempaï n'a point décidé de me laisser. Il resta sur le pas de ma porte coulissante, et sa patience légendaire semblait ne point travailler à cet instant.

    '' Tu vas me dire ce qui se passe à la fin ?! ''

    En guise de réponse, je lui plaqua la lettre de Juka-sama contre son torse, tandis que je prenais un sac. Oui, je n'avais point le choix, il fallait la rejoindre immédiatement ! Dieu merci qu'elle a laissé des indications afin de les localiser, sinon je serais devenu véritablement fou. Alors que je prenais ce que je pouvais comme affaires minimum, j'ouïs Sakuya-sempaï s'exclamer.

    '' Juka-chan quitte Konoha avec Rokudaime-sama ?! C'est quoi cette histoire ? '' Face à mon silence, il le respecta un instant, mais il ne le pouvait plus longtemps, visiblement inquiet pour elle également. '' Elle a déserté ? Il s'est passé quelque chose à Konoha encore ?! ''

    '' Que sais-je, bon Dieu ! '' Finis-je par m'exclamer, saisissant une grande partie de ma force afin de rester calme. Mes mains tremblaient, ma tempe commençait à tambouriner. '' Mais qu'importe les raisons, si elle quitte Konoha en dehors des missions pour partir je ne sais où, je DOIS être à ses côtés ! C'est mon sang qui me le dicte ... '' Je m'assis sur mon lit, soufflant tout ce que je possédais dans mes poumons, essayant de calmer mes tremblements. Je plaqua mes mains contre mon front avant de les faire glisser dans ma chevelure. '' ... Ainsi que mon coeur. Je ne peux la laisser en danger. ''

    Je me souviens que une colère grandissait également en moi. J'étais en colère contre Kodo-san, de faire une telle folie. Et lui, en tant que Hokage, que va-t-il faire ?

    '' Et toi, en tant que Raïkage, que vas-tu faire ? '' Je me figea à cette question, qui fut la même à cet instant que je reprocha à ce konohajin, le même que je trouvais à cet instant irresponsable. Ce qui me frappa. En effet, j'agissais ainsi alors que je possède une telle responsabilité ... Que faire ?! Sakuya-sempaï avait raison, je possédais une trop grande charge pour l'abandonner ainsi. Mon coeur ne me disait qu'une seule chose – Au diable ton poste, tu dois y aller ! Mais ma raison me stoppait alors, me disant que je ne peux laisser une puissance sans dirigeant, au risque de mettre en danger ceux qui n'ont absolument rien demandé.

    '' Tu y vas. '' J'ouïs une voix nouvelle. En levant mes yeux, je reconnus Père. De son air imposant, de ses traits stricts durcis par cet événement, il observait la scène, tandis que Sakuya s'écarta immédiatement en s'inclinant bien bas face à mon paternel. Le chef du clan entra dans ma chambre, m'observant, qui était assis, tiraillé. Il prit alors sa voix grave et autoritaire afin de s'adresser à ma personne comme à un enfant qu'on sévit. '' Que fais-tu assis alors que Juka-sama a quitté le village ? Qu'importe les raisons, tu ne discutes point les siens ! Quant à ta position, tu sais pertinemment ce qui est le plus important – Le statut, remplaçable, ou notre raison de vivre, notre sang qui se mêle à la passion du coeur, préservée depuis tant de générations ? Est-ce qu'une descendante de Narcisse est remplaçable ? Pour qui es-tu né, hein ?! Dis-moi pour qui es-tu éduqué par tant de prestige, pour qui es-tu devenu l'élite, au point que le Seigneur féodal t'a choisi afin de diriger ce village les yeux fermés ?! ''

    Sakuya-sempaï observait la scène, pour la première fois comme je ne l'ai jamais vu, en se faisant petit dans un coin, les yeux écarquillés. Je redressa ma nuque alors, mes tiraillements aussitôt chassés. Père avait raison, comme il avait toujours eu raison. Le sang, notre appartenance dominera toujours n'importe quel statut social, nous sommes les premiers à le savoir, avec notre clan qui échelonna de simples paysans aux nobles guerriers les plus riches et forts du pays, au nom de notre raison de vivre. Nous sommes le meilleur exemple afin de l'illustrer. Pardonnez-moi, mes chers kumojins ... J'espère vous avoir offert satisfaction pour encore des générations. Mais je ne peux plus préserver mon statut en tant que Hidemi, si Juka-sama quitte Konoha. Je me leva alors, le regard changeant – Dur, déterminé, strict. Quiconque m'empêchera dans cette quête sera exécuté par mes propres lames.

    '' Sakuya-sempaï. '' Fis-je d'une voix forte, mais point criarde. Le concerné s'avança alors vers ma personne sans aucune hésitation. Mon regard s'adressa alors à ses yeux sincères. Lui seul peut tenir une telle responsabilité entre ses mains. '' Je te connais, plus que quiconque. Tu ne voudras point devenir Raïkage, tu tiens bien trop à ton indépendance. Cependant ! Je te demande ... Non, je t'ordonne une chose – Prends la relève temporairement, pour que le village ne s'écroule point. Le temps d'informer le cadre supérieur, qui s'occupera à trouver mon successeur. Ensuite, tu redeviendras Jounin d'élite, comme tu l'as toujours été. ''

    '' ... Entendu, Kakuzo-kun. '' Il eut un court instant d'hésitation mais il est fort loin d'être un sot, bien au contraire, à lui seul il pourrait représenter une grande force et sagesse, peut-être supérieure même à la mienne. Il est conscient que c'est ce dont il doit faire, alors il inclina légèrement la tête, les yeux mi-clos. Les miens saisirent le regard de Père, se trouvant derrière mon ami, qui observait toute la scène avec attention. Nos regards se croisèrent, et il me fit signe de la tête afin d'exprimer sa satisfaction. Il était temps de mon départ. Depuis des générations que cela ne se fit plus chez nous, mais à présent, grâce à l'existence de Juka-sama, notre nature reprend ses droits.

    Les affaires enfin préparées, je n'avais d'autre choix que d'attendre la nuit noire afin de pouvoir quitter furtivement le village. Un Raïkage ne passe point inaperçu. Accompagné de Sakuya-sempaï ainsi que de Père, nous nous dirigeâmes vers les portes, et mon ami s'occupa à trouver je ne sais quel argument aux gardes afin de justifier ma sortie du territoire.

    '' Kakuzo ! '' M'appela mon paternel. Je me retourna vers sa personne, il semblait hésitant, cherchant n'importe quelle parole. C'est vrai ... On ne sait point quand est-ce qu'on va se revoir ... Ou si on va se revoir un jour. Père ne fut jamais tactile avec ma personne, ni avec qui que ce soit d'autre par ailleurs. Autoritaire, il prenait son rôle très au sérieux, probablement de peur que sa crédibilité en pâtisse. Je l'observa patiemment, jusqu'à ce qu'il s'approche de moi. '' Je ... Hum. Je suis peut-être point aussi communicatif que tu l'aurais souhaité, point aussi expressif que tes cousins, mais ... Saches que je suis fier de toi, mon fils. Je suis honoré d'être le père d'un homme aussi exemplaire. ''

    Un silence gênant prit place, que ce soit lui qui visiblement n'arrive lui-même pas à y croire de ce qu'il venait de me dire, ou moi, qui me demandais si je n'avais point bien entendu. Malgré qu'il ne me l'a jamais dit ... Malgré qu'il gardait sa droiture à n'importe quelle épreuve et était si strict, je savais que l'amour paternel y jouait grandement aussi. Je le savais que je suis né dans une famille formidable. Il voulait que je devienne un grand homme, et c'est en grande partie grâce à lui et Sakuya-sempaï que je le suis devenu. Je brisa le silence, sentant le malaise de mon paternel, point habitué à ce genre de situations, et souris de bon coeur.

    '' Merci, Père. J'ai toujours voulu entendre ces mots, venant de vous. Je suis honoré d'être votre fils. ''

    Un soupir, et un pas pourtant décidé, mais au dernier moment, Père se figea, et ce fut réciproque de mon côté. Il a essayé de me prendre dans ses bras, mais visiblement, il ne savait comment s'y prendre, n'étant point habitué. Gêné mais essayant de se rattraper, il posa avec fermeté et amour sa paume sur mon épaule, la secouant légèrement, et je fis de même. Sakuya-sempaï arriva alors, pour les derniers adieux. Il était temps.

    ***

    Fort heureusement, je partis avec un grand nombre d'argent et -Contrairement à Juka-sama- mon remarquable sens d'orientation. Je pus traverser la mer sur les meilleurs bateaux. Descendu des montagnes et quittant la mer, je pus m'acheter un cheval de pur sang. Le voyage fut long, si long comme je n'en ai jamais fait, et pourtant Dieu sait combien j'ai voyagé ... Et deux peurs restaient dans mon coeur – Que Juka-sama soit en danger, ou qu'ils changent de localisation avant mon arrivée. J'aurais tant voulu profiter de ces magnifiques paysages, mais le temps me manquait cruellement ... La priorité absolue est ma Reine.
    Je ne sais combien j'ai voyagé, mais fort longtemps, c'est sûr. Et enfin arrivé aux environs, à chaque pas, mon coeur battait plus fort. De ce que j'ai compris, ils se sont arrêtés dans une auberge en dehors de toute ville, se trouvant dans un endroit reculé. Une auberge ... Quelle idée. Quoi de mieux pour se faire remarquer ? Je soupira face à cette imprudence supplémentaire, et continua mon chemin jusqu'à arriver à destination. Enfin ... La fameuse auberge, et je fus désemparé par l'aspect de ce dernier. Il n'était point grand et ne possédait même point de sources, Seigneur, mais où Kodo-san ose l'emmener, alors qu'elle doit être couverte d'or, et vivant dans des lieux les plus somptueux ? Enfin ... Je descendis de ma monture et l'attacha près de cette demeure, et masqua la moitié de mon visage afin que l'on ne me reconnaisse point dans un lieu aussi petit. Rapidement, je réserva une chambre sous un faux nom, mais cependant pressé. Je me trouve dans la même maison qu'elle ... Il ne me reste plus que quelques marches à monter, et je la reverrais, enfin ...

    La chose faite, je monta donc, et une fois les affaires déposées, je pris soin d'observer de loin la gérante descendre avant de sortir et marcher en longeant torse et bras contre les portes, cherchant à ressentir la présence des phéromones ... Enfin ! Je reconnais cette sensation enivrante qui pourrait me rendre animal et fou de passion ! Je me redressa alors et frappa trois coups à la porte de manière douce, et enfin ... Enfin ! La porte s'ouvrit, m'offrant la vue du Paradis. Qu'elle est belle, si belle ... La perfection ultime. Sa surprise était évidente alors que mes traits s'adoucissaient, lui offrant un regard passionné et un sourire amoureux. Ca y est ... Le Valet Chanceux retrouva sa Reine.

    '' K-Kakuzo ?! '' Qu'elle s'exclama.

    '' Juka-sama ... Ma tendre amie. La plus resplendissante des fleurs, le sens de ma vie qui m'enivre de ce parfum, et quel parfum ! Envoûtant, irrésistible ! Ah, mes yeux ! Je vais finir par être aveuglé par l'Absolu. '' Oui, je ne pouvais contenir ma joie immense de la revoir. Elle m'avait manqué ... Tant manqué ... Mes paroles se joignirent à mes gestes que j'exprimais comme lors d'une scène de théâtre. De son regard, elle fut soit flattée, soit gênée, je ne le sais point mais qu'importe ! Je mis un genou à terre devant sa grandeur divine, les mains contre mon coeur, pour lui conter les louanges sur son être, ma passion, mon manque et ma joie indescriptible ! J'étais complet ! J'étais heureux ! Et je saisis alors sa main si frêle et de couleur si pâle ... Qui m'inspira d'avantage de paroles enchanteresses pour exprimer comme je le pouvais la douceur jamais égalée de sa peau de rose. Je n'osais même point embrasser cette main, de peur de la souiller ! Je posa alors en contrepartie mon front, profitant de ces instants absolument ... Divins !

    '' A-Ahah Kakuzo ... Arrêtes, pas ici, pas dans le couloir ... '' Qu'elle se mit à fredonner de sa voix d'or. '' Attends attends, Fujita n'est pas là, alors ... ''

    '' Mais c'est ... Parfait ! '' Que je m'exclame, cachant qu'à moitié ma joie face à cette nouvelle, me redressant, gardant sa main dans les miennes. '' Allons, allons-y alors, ma chère ! Exposer votre perfection à la nature fraîche et formidable ! Illuminez-la de votre présence ! Tandis que de votre voix qui m'enivre, vous me conterez ce qui s'est passé, ma chère amie, pour quitter Konoha ainsi. Vous imaginez combien me suis-je inquiété ? Seigneur, non ! Vous ne pourrez jamais imaginer, aussi vaste et fleuri que soit votre coeur ! ''

    '' Kakuzo ... Moins fort ... ''

    '' Ah, pardonnez-moi, ma mignonne ! Mais la joie que je ressens ne peut se contenir dans un coeur aussi sensible qu'est le mien ! Cependant je me plierais à tout ordre si cela vient de vos lèvres si désirables ! Vous désirez que je me taise ? Je me tairais alors ! Vous désirez que mon ton baisse d'une mesure ? '' Je me mis à murmurer. '' Je le baisserais alors pour vos beaux yeux. ''

    Elle riait, amusée tout de même par ma présence, et touchée, j'en suis sûr et certain. Une fois prête, elle me poussa afin de presser le pas, alors que mes yeux ne désiraient que de se retourner afin de la contempler, et nous sortîmes par une autre porte, menant derrière l'auberge, où se trouve en face une forêt, et autour une plaine doucereuse. Elle tenait à ce que l'on ne s'éloigne point de l'auberge et qu'on reste devant sa chambre.


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Fujita Kodo
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Ivresse X Sentiments



"Le reveil peut cacher des surprises dont le sommeil a oublié l'existence"






Fujita Kodo - Dragon Legend




Un regard flou, une vérité qui n'est pas si sure, une image qu'on croirait rêver, des actions qu'on ne comprend pas encore et d'autres qu'on aimerait avoir saisi… Un "i" qui fait office de commencement alors que le mot est dors et déjà là… Présent comme jamais il ne l'a été… Hantant les actions qu'on ne s'est pas vu commettre… Analysant une vérité qu'on n'avait pas su reconnaitre… Ivre… On est tous ivre mais chacun son ivresse et chacun sa bouteille de vin. On dit des gens qui se sont libérés des codes de conduite qu'ils sont ivres mais en vérité l'ivresse est partout, tout le monde est ivre… Plus encore, toute chose est ivre. Le soleil est ivre de chaleur et se libéré par ses rayons, la nature est ivre de couleurs et se libère par ses saisons, les fleurs sont ivres de bonheur et se libèrent par l'évolution mais l'être humain… Lui ! Est ivre d'incompris et libère l'inconscient… Il est ivre de questions et se libère en agissant… Il est ivre d'incertitudes et se libère en supposant… L'humain peut être ivre de rancoeur et se libére de sa raison mais sa plus grande ivresse… Celle qui lui fait oublier le temps et lui fais vivre l'infini… C'est l'ivresse du rêve qui l'oublie et lui apprend a oublier, qui le stimule et lui apprend a espérer, qui le motive et lui apprend a agir… L'ivresse d'un rêve qui atteint pourra nous rendre nous même… L'ivresse est avant tout la liberté d'être ce qu'on est sans avoir peur de l'autre qui restera pour notre subconscient l'ennemi le plus féroce de la réalité.

Mon ivresse ? Je n'en ai qu'une… L'ivresse de l'amour qu'elle m'a apprit… L'ivresse de la passion qu'elle m'a insufflée… L'ivresse de l'euphorie qu'elle me fait arborer… L'ivresse d'une vie avec elle… Mais en fait en y pensant bien, mon ivresse c'est l'amour et ma bouteille de vin s'appelle Juka. ET ON Y VA !!! Un autre jour où mon esprit se retrouve commence… Un autre chemin où mon coeur voltige démarre… Un nouveau destin où mes sentiments se promènent rayonne. La musique de ma vie éclabousse mon esprit de sa lumière… La joie de mes instants accompagne mes pas a travers une route rafraîchissante, inspirante sous une bannière dorée… je me regarde et a l'intérieur de mon esprit je me découvre, au delà de la plate réalité de mes ardeurs… Je me découvre des ailes… ces ailes là… les ailes que je croyais réservés aux anges.. Car aujourd'hui, enfin j'y suis… Je suis aux anges ! L'amour prit possession de mes pensées quand l'énergie pris possession de mes actions, un regard suffisait a m'injecter l'euphorie alors qu'un geste me faisait comprendre ma destinée.

Après un réveil d'une douceur qui ne pourra jamais devenir routinière, j'apposais mon regard ivre et ensorcelé vers ma magicienne… Celle qui avait volé mon attention… La bouteille que je buvais goulument a chacun de mes instants… Le rêve qui déchaînait mes passions… La reine de ma raison… Celle là même qui faisait battre l'effervescence de mon astre vivant… Mon coeur était sien et elle me le rendait bien. Mon regard parcourait la perfection et la tendresse qui accompagnait son image… Mon inspection faisait frissonner ma joie, une incroyable explosion d'allégresse que l'humain ne pouvait expliquer m'animait… posant les armes, avouant sa défaite, s'excusant avec fèrvence L'humain affronte mon regard, il s'incline, il ne croit pas ce qu'il va dire mais il le dit… Ces yeux maudissent ses lèvres mais il ne peut s'empêcher d'avouer, de dire et de beugler avec un ton empli de honte "vous avez raison… C'est l'amour". C'était évident, c'était entrainant a un tel point que n'importe quelle existence dans cette terre ne pouvait nier la rayonnante évidence de notre alchimie… Elle appartenait a mes rêves et matérialisait l'ivresse de ma vie… C'était ma raison d'être et le rêve de mon existence. Mon sourire sortait avec une prudente élégance comme si dans le mouvement de sa mâchoire mon corps avait peur de troubler la tendresse de ce sommeil… C'est pour elle, pour son existence, pour mon ivresse et la bouteille qui emplissait ma vie de rêve que je me levais jour après jour… Aujourd'hui aussi je m'apprêtais a vivre au nom de l'ivresse… Au nom de la bouteille… Au nom de ma femme… Au nom de Juka Kiyomizu !!!

Je me levais avec difficulté de ce lit qui nous unissait… NON !! Ne pouvant résister a mon envie débordante de douceur je lui caressait les cheveux avec une explosion de sourire avant d'ajuster la couverture et d'enfin quitter le lit furtivement évitant un brusque réveil. J'avais des choses a faire ou plutôt des choses à vérifier… M'habillant avec rapidité je pris de cours la porte l'ouvrant avant qu'elle ne me voit venir. L'ouverture fut aussi immédiate que ma sortie de cette auberge et c'est alors que je commençait mon inspection. Ma progression battait au rythme de mes découvertes et le schéma de ma réponse semblait de plus en plus évident… Des intrus maitrisant d'une manière significative leur chakra était venu plusieurs fois ici et puisque j'avais bien pris soin de vérifier que dans cette auberge il n'y avait aucun ninja alors indéniablement ces intrus en avaient a 90% après nous, mais… Pour quelle raison ? Pourquoi voudraient ils nous cibler ? Ce serait insensé mais encore plus inutile, je n'étais plus Hokage et Juka n'était plus bras droit à konoha alors normalement on ne représentaient que de simple ninjas érrants… Quoique… J'avais plusieurs idées de l'utilité qu'on pourrait avoir mais ce n'était point l'heure des supposition. Après un petit moment supplémentaire d'inspection et avoir entendu des bruits dans l'auberge je revenais rapidement pour informer Juka de ce qui se passait et décider ensemble de la marche a suivre.

Mes pas se succédaient avec un rythme de plus en plus soutenu car si l'ivresse amène les questions eh bien ma bouteille étaient la plus grande source de questions… Aaaaah, raison de plus !!! Quand l'inquiétude pointe le bout de son nez, l'improbable côtoie l'insensé et c'est un déluge de pensées déboussolantes qui englouti le bon sens. On oublie notre présent en se focalisant sur le futur, et le futur devient alarmant… Le futur bat a pleine pompe… Le futur a des lumières qui ne cessent de zigzaguer… Le futur fait vachement suer… et c'est alors que la sueur se faisait de plus en plus pesante et que les questions étaient de plus en plus ressemblante a des "C'était quoi ces bordel de bruits déjà ?!!! Ils seraient passé a l'action ? Je l'ai laissé endormie… Oh non, non… NON !! je dois vite la rejoindre !!! VIIIIIITE !!!!! " que l'apogée arrive et que le cerveau se dechaine. Et je vous assure, je vous promet et je vous jure, quand a l'entrée de cette chambre qui semblait devenir un paradis vous ne trouvez pas votre rêve alors là la peur déborde, la colère se mêle a la tristesse et l'inquiétude et des "BORDEL DE MERDE" sortent avant que vous ne vous en rendiez compte.

Mes poings se serraient et mes yeux faisaient le tour du pâté de maison… On dirait que mes pupilles s'étaient transformé en des laser de surveillance, même les mouches commençaient a paniquer et s'étaient figé comme pour dire "Vas y vérifie ce que tu veux on est clean !!! t'excite pas" et plus ça allait et plus ce fut inquiétant… ça devenait à la limite du suspect mais dans ce déluge d'inquiétude, d'improbable déraillements amusant et de veines qui sortaient prendre l'air des sons jouaient a l'intrus… Des sons faibles mais audibles… Des chuchotement ? sa… hein ? sa … C'est SA VOIIIIX !!! Mon cerveau n'eu pas le temps de se dire "si elle chuchote c'est qu'elle parle a quelqu'un en qui elle a confiance" que mon corps se précipitait a la fenêtre qui osa la laisser sortir et c'est là que… HEIN ?!!! Mais qu'est ce qu'il fout là ce… ce…. CE TRUC !!!  C'est lui qui faisait ce bruit tout a l'heure ?!!! Mais qu'est ce qui se passe ici ? Je… n… Hahah, mais qu'est ce que j'en ai a foutre au moins elle va bien, elle est là, elle est belle, elle est magnifique… OH MON DIEU ELLE EST LAAAA !!!! toute cette peur qui faisait la fière et qui bombait son torse prétendant une supériorité invincible faisait dorénavant pitié devant l'euphorie qui me parcourait et c'est avec un cris de joie que je m'écrirai :

- Mon coeuuuur qu'est ce qui se passe ici ? Qu'est ce que ce… Qu'est ce qui se passe ici mon amour ?

Mon regard transpirait mon désaccord face a la présence de cet individu mais j'étais prêt a lui accorder le bénéfice du doute… Attendant leur réponse ma bouche et mes lèvres avaient dors et déjà gouter au paradis avant que la bouteille de mon ivresse ne daigne me répondre… BON SANG CE QUE CES BAISERS SONT BONS !!!




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Kakuzo Hidemi
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MessageSujet: Re: FLASHBACK - Pour que je puisse vous revoir. 〖PV Fujita Kodo〗   FLASHBACK - Pour que je puisse vous revoir. 〖PV Fujita Kodo〗 EmptyMar 24 Sep - 19:10

Valet des Kiyomizu




    Le coeur ou la raison ?
    Le sang remporte face au statut social.



    Des regards tendres, des étincelles venant que d'un homme fou amoureux, je me sentais enfin complet. Je ne pouvais rester inexpressif, moi, l'être au coeur si pur ne peut se taire ! Je pris sa main, je la tira doucement vers moi, de mes pas qui dansaient la joie, j'exposais sa perfection au soleil couchant, à la nature ... Je montrais à cette beauté qu'elle fut littéralement écrasée par Juka-sama. Elle riait, me demandait de faire moins de bruit, mais n'ais-je point essayé de me taire depuis bien trop longtemps déjà ? Je me tourne faisant face à son visage des plus magnifiques, et mon sourire ne put que s'élargir, attendri comme jamais par ses airs. Qu'elle était belle ... Je ne pouvais m'arrêter, bavard que je suis, de conter le monde que construit sa prestance.

    '' ... Ah, ma chère amie, je suis heureux, si heureux d'être à vos côtés, enfin ! '' Lui dis-je et, profitant de sa main dans la mienne, la rapprocha de moi afin de mieux la contempler. Je pus voir son regard confus et ses joues prirent une teinte d'une rose au beau milieu du printemps. L'embrasser était un désir qui me torturais, mais par respect je n'en faisais rien. Je frôla simplement avec le revers de mon index sa joue, mes yeux ne pouvant s'empêcher de l'admirer. '' Allons, Juka-sama, dites-moi pourquoi ... Pourquoi êtes-vous partie de Konoha ? Il s'est passé quelque chose là-bas ? Ne me dites point que la sombre histoire a recommencé ... Ne me dites point que vous n'aviez point le choix que de fuir ! Car si l'histoire se répète, vous savez que je suis là. Et comme la dernière fois, je serais à vos côtés, et ferais tout mon possible afin de vous porter victoire ! ''

    Juka-sama eut un sourire pensif, baissa la tête et repoussa doucement mes gestes, par timidité et pudeur, j'en suis persuadé. Je me redressa dans toute ma prestance habituelle et lui souris tendrement, croisant mes bras en arrière, l'encourageant d'un regard apaisant de me confier absolument tout. Je suis son protecteur, l'être qui doit être le plus proche de sa personne, je peux tout écouter, et tout savoir d'elle.

    '' Il ne s'est rien passé, Kakuzo, ne t'en fais pas. En fait, c'est plus compliqué que ça ... '' Fit-elle en chuchotant. Je pris alors le même ton, sentant que nous entrons dans un sujet bien plus privé.

    '' Je vous écoute, Juka-sama. ''

    '' Comment dire ... Fujita m'a proposé ... De s'écarter un peu du monde. Il y a plusieurs raisons à cela. D'ailleurs, l'une d'elles pourrait t'intéresser, j'en suis sûre. En fait ... J'ai entendu dire comme quoi, mon clan ne s'est pas éteint. Il se serait retiré de Konoha il y a environ trois générations ... '' Comme elle l'a deviné, cette nouvelle ne pouvait que m'enchanter, au nom de tous les Hidemi. Alors, Juka-sama n'est point la dernière survivante des Kiyomizu ? C'est une nouvelle simplement ... Formidable ! Et j'étais prêt à me contribuer comme personne à cette quête. Je demeura silencieux, sachant qu'elle m'offrira d'avantage d'expliquations. '' Il paraît que mes ancêtres ont pensé que Konoha n'était plus, hum ... Digne d'eux. Enfin, tu connais le caractère des Kiyomizu, je ne t'apprendrais rien. Et seule un couple resta avec ses enfants, pour quelle raison je l'ignore, à Konoha, et coupa les ponts avec ceux qui sont partis, persuadés qu'ils repeupleront le clan à Konoha bien plus forts que les derniers. Mais bon ... '' Elle regarda à droite et à gauche d'un air furtif avant de continuer. '' Tu connais l'espérance de vie des Kiyomizu ... On n'a jamais dépassé la quarantaine, et je suis la première descendante de sexe féminin à avoir survécu durant mon adolescence. Ils n'ont pas eu le temps d'enfanter assez à temps qu'ils sont morts par la malédiction. Et ce fut ainsi jusqu'à ... Mon père. Ses parents se sont donnés la mort juste après sa naissance, il a perdu son frère à peine qu'il a frôlé ses vingt ans. Du coup, moi et lui nous étions les seuls descendants vivant à Konoha. J'ignore si mon père connaissait cette rumeur ... En tout cas il ne m'en a jamais parlé. Tu sais combien je tiens aux coutumes de mon clan, combien je l'aime ... Je ne sais pas où ils sont localisés, mais si la rumeur est vraie, coûte que coûte, je veux les retrouver ! ''

    Je lui pris la main à nouveau, afin de la rassurer. Mais un bruit lointain suivi d'un juron me mit en garde. Je pensais dors et déjà deviner qui en était l'auteur ... Le même sot qui mit en tête de Juka-sama une idée aussi dangereuse que de quitter leur patrie. La rumeur ne peut que m'enchanter, mais s'il faut les rechercher, ils auraient dû s'adresser à moi, et ne point emmener ma protégée dans la gueule du loup. Ne voulant point mettre en doute mon statut de protecteur, je n'alla point plus loin. Je lui embrassa de manière chevaleresque sa main avant de la libérer.

    '' Ne vous en faites point, Juka-sama. Je vais cependant être honnête avec vous, bien que je n'ai point à formuler mon avis face à vos décisions – L'idée de Kodo-sama est une folie, et je n'apprécie point son manque de prudence face à votre sécurité. Ce fut mon obligation de venir, mais je suis d'avantage convaincu – Je vais rester auprès de vous, coûte que coûte. Je suis votre arme, votre bouclier, votre protecteur, votre valet. ''

    '' H-hein ?! ''

    J'ouïs, une présence familière. Ah ... Déjà là ...

    '' Mon coeuuuur qu'est ce qui se passe ici ? Qu'est ce que ce… Qu'est ce qui se passe ici mon amour ?  ''

    '' Mon coeur '' ? '' Mon amour '' ? Je me suis indigné face à de telles appellations envers Juka-sama. Qu'est-ce que cela veut dire ?! Mon regard qui ne put s'empêcher d'être sombre envers Kodo-san revint rapidement sur ma protégée, ne comprenant point. Elle se retourna aussitôt envers l'ancien Hokage qui prit aussitôt Juka ... Dans ses bras. Cette scène me fut, je ne le cache point, des plus douloureuses, de plus je ne m'y attendais point. Je fixa la scène, abasourdi et blessé, avant de respirer profondément. Me calmer, me calmer, Juka-sama était consentante ... Oui, elle l'était ... Je ne suis que son protecteur et je n'ai point à m'imposer dans sa vie ... Sentimentale. Ces mots m'étaient douloureux à dire, mais je me repris aussi vite que le choc me vint, prenant un air des plus impassibles. Je me mis alors à regarder ailleurs afin de ne point remuer le poignard déjà logé dans mon coeur. De plus, pfeuh ... Quelle indécence de la part de Kodo-san de faire de telles choses en public ...
    Au coin de l'oeil, je vis que ces embrassades cessèrent. Dieu merci, elles m'étaient bien trop douloureuses. Ma tête revint alors droite afin de regarder Kodo-san, et d'un sourire qui se veut poli je lui adressa mes respect en m'inclinant devant sa personne.

    '' Kodo-san ... '' Prononçais-je alors en guise de salutations. '' Je ne vais point vous faire prier afin de vous faire savoir la nature de ma venue, bien qu'elle soit évidente. En tant que Hidemi, noble serviteur des Kiyomizu, il est de mon devoir de la protéger au péril de ma vie. Lorsqu'elle quitte son territoire, qui est Konoha, en dehors de ses missions pour un tel événement, qui de plus est, pour un temps indéterminé, d'après ce que j'ai cru comprendre, c'est mon obligation d'être présent. C'est pour cette raison que je suis ici, et que je serais à ses côtés, coûte que coûte. ''

    '' Quoi ?! M-Mais Kakuzo ! '' S'exclama Juka-sama en s'avançant vers ma personne. '' Tu es Raikage ! Tu ne peux pas ... ''

    '' Je ne le suis plus, Juka-sama. '' Je me permis de la couper, mais mon regard préserve sa douceur devant ses yeux. '' Je ne peux plus posséder un tel poids sur mes épaules. Lorsque j'ai appris votre départ, avec votre lettre, je me suis immédiatement mis en route. En tant que Hidemi, je ne peux rester ainsi, sans déshonorer mon clan et tous nos efforts effectués en votre nom depuis tant de siècles. Ne vous en faites point ... Sakuya-sempaï prit ma place afin de ne point plonger le village dans le chaos, en attendant que le Seigneur Féodal choisisse mon successeur. Ne vous inquiétez point de Kumo, qui est entre de bonnes mains, mais inquiétez-vous plutôt de votre sécurité. Mais ne vous en faites point ... '' Je m'inclina respectueusement et bien bas devant sa grandeur. '' Je suis à présent à vos côtés, rien ne peut vous arriver. Je vous l'ai dit, je suis votre arme, votre bouclier. Votre serviteur. Et ce, jusqu'à ce que je rende mon dernier souffle. '' Me relevant, mes yeux croisèrent ceux de Kodo-san, et je repris mon ton formel. '' J'espère obtenir votre compréhension, Kodo-san. '' Car quoi qu'il dira, je ne changerais au grand jamais ma position.

    Le regard de Juka changea. Quelque chose de triste se mit à se refléter dans ses yeux. Je me pencha alors à elle, inquiet, lui demandant alors ce qui ne va point.

    '' Deux brillants Kage qui quittent leur poste ... Par ma faute. C'est beaucoup trop pour ma conscience ... ''

    '' Juka-sama ... '' Je voyais ces yeux qui m'étonnaient. Miroitants, ils s'apprêtaient à verser des larmes. Elle était si belle, dans n'importe quel état. Attendri, je devais me retenir de la prendre dans mes bras. Je mis une jambe à terre afin de pouvoir être certain d'attirer son attention, comme un adulte parlant à un enfant. '' Vous savez, avant d'être Kage, je suis un Hidemi. Notre sang domine notre statut social. Moi y compris. Sachez que ... Si mes parents ont mis au monde un être tel que ma personne, si je fus aussi bien éduqué, si l'on m'a poussé à devenir l'élite de Kumo, ce n'était point pour devenir Raikage un jour. Mais pour devenir digne d'être votre protecteur. Alors, ma chère amie, ne vous attristez point sur mon sort, peu importe ma personne ... Je ne discute point vos décisions, je ne discute point mon statut ni mon sang. Je vis pour votre sécurité, pour préserver votre perfection. Sachez que je suis heureux, car comme la tradition nous le dicte, l'élu doit rejoindre un jour son protégé. Et c'est le plus grand honneur que l'on puisse posséder, de pouvoir alors vous rejoindre un jour. Vous êtes bien plus précieuse qu'un poste de Raïkage, Juka-sama, qui lui, est remplaçable, et j'ai confiance envers mes guerriers, ils auront un successeur digne de ce nom. ''

    Je voyais Juka-sama me regarder, et je voyais combien elle était flattée, un sourire apparaissait. Mais cependant mon coeur était lourd, car je savais que la culpabilité se mit à la ronger.

    '' J-je ... '' Elle se tourna vers Kodo-san, puis d'un pas soudain s'éloigna de nous, se dirigeant vers l'auberge. '' E-Excusez-moi ! J'ai besoin de prendre un bain. ''

    Je la regardais, impuissant et le coeur si lourd, quitter les lieux, mais respecta sa décision, je comprenais qu'elle avait besoin de réfléchir afin de mieux prendre en compte la situation. Je comprenais et ne contestais point, tant que je reste non loin d'elle afin d'assurer sa sécurité. Le genou toujours à terre, je la regardais s'éloigner, avant de regarder Kodo-san et me relever. Enfin le face à face ... Avec celui qui semble être mon nouveau rival.


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MessageSujet: Re: FLASHBACK - Pour que je puisse vous revoir. 〖PV Fujita Kodo〗   FLASHBACK - Pour que je puisse vous revoir. 〖PV Fujita Kodo〗 EmptyMer 9 Oct - 2:15


Rencontre X Règles



"Une promesse est une loi absolue et incontestable"






Fujita Kodo - Dragon Legend




Un début ? peut être bien… Ou plutôt la fin d'un début que je croyais encore long ? Que sais je de la destinée de mes débuts, je le découvrirai avec l'évolution de mes fins… Jadis ma vie avançait a un rythme parfois apaisant, d'autres fois agaçant mais ce qui était sur c'est qu'elle ne voulait pas s'arrêter… Elle ne le pouvais pas puisque le rayonnement de mon destin guidait mes pas… Elle attendait ma venue et le pas qui nous réunirai. Elle était là, ma source et mon but… Mon idée et son accomplissement… Mon rêve et mon désir… Et enfin, le disant avec assurance elle était mienne. Ma vie cédait ce titre a celle qui la possédait et désormais ma nouvelle vie marchait d'une cadence plus mélodieuse, elle jonchai les plaines de l'assurance, elle gravissait les marches de l'évolution avec l'aisance d'un aigle dominant les cieux… Elle survolait la terre comme si le vent l'aidait a s'envoler… Elle survolait mon coeur comme si le chant de l'amour l'imprégnai… Elle décidait de ma vie car c'est a elle que je la dédie… Mon amour… ça grâce rendait honneur a mon destin et la fierté de me savoir sien faisait mon bonheur.

Avec ma venue je fus surpris par la découverte d'un sois disant noble douteux… Il ne m'avait jamais plu, tant l'arrogance dans sa façon d'être m'insupportait, je ne l'aurais pas autant détesté si il se serait contenté d'être ce tissu de fausseté amassé en humain mais en plus de cela… En plus de cet amas de défauts, il ne cessait de tourner autour de ma bien aimée comme un ours qui s'immisce et tente de dérober le miel d'un nid d'abeilles… C'est d'une impolitesse, d'une indécence et d'un manque de bon sens a n'en plus nommer. Mais outrepassant ce malaise, j'en reste calme et m'efforce de conserver ma neutralité… puisque ma femme lui allouai du respect et un certain crédit, je ne pouvais ignorer cette considération d'une importance capitale. Pour elle… Oui ! Pour mon trésor je pouvais supporter l'existence d'un léche-bottes superficiel et hautain… Du moins, tant qu'il respecte les règles du jeu. J'avais vu cet ère de dégout et de jalousie putride qui puait le hidemi face a mon amour absolu avec ma bien aimée et ça ne me plaisait pas… Du moins, il eu le bon sens de ne rien dire de déplacé et de garder un semblant de bienséance. Un sourire ? faux bien sur, mais je m'en contenterai analysant ce qu'il avait a dire.

'' Kodo-san ... '' Prononçait-il alors en guise de salutations. '' Je ne vais point vous faire prier afin de vous faire savoir la nature de ma venue, bien qu'elle soit évidente. En tant que Hidemi, noble serviteur des Kiyomizu, il est de mon devoir de la protéger au péril de ma vie. Lorsqu'elle quitte son territoire, qui est Konoha, en dehors de ses missions pour un tel événement, qui de plus est, pour un temps indéterminé, d'après ce que j'ai cru comprendre, c'est mon obligation d'être présent. C'est pour cette raison que je suis ici, et que je serais à ses côtés, coûte que coûte. ''

Hidemi… Serviteur… Obligation d'être a ces cotés coûtes que coûtes ? Pour qui se prenait il ?!!! une arrogance fidèle a mon jugement jonchait ces paroles et un éclaircissement s'imposait mais avant tout…laissant l'eau couler, car le poisson sera tôt ou tard péché. Avec amabilité et respect des sentiments de ma femme je laissais cette discussion prendre une tournure avant d'y mettre mon intervention. C'est alors qu'il fit apprendre qu'il a quitter son poste de Raikage pour ça… Je ne trouve pas cela si incroyable que cela même si il semble croire le contraire, c'est pas comme si n'importe quel minable quittant son poste, ces obligations ou meme ces rêves pour venir protéger ma femme pouvait s'imposer… Je m'en foutais de ce qu'il avait bien pu laisser derrière, les règles devront être éclaircies dès que l'occasion se présenterai… Et mon impression se confirmait encore plus de fur et a mesure, la façon dont il parlait a ma femme, comment il me regardait s'imposant du regard, et surtout son ignoble tendance a se mettre en avant comme ci il avait le pouvoir de changer le monde… Ma femme, ayant des états âme que sa bonté incommensurable expliquait préférait se retirer pour prendre un bain et réfléchir. C'est alors que respectant sa décision et me disant que c'est de toute façon une occasion de mettre les choses au clair que je disais :

- Je te rejoindrai plus tard mon amour, prend ton temps.

C'était l'heure ! Du face a face ? Non… C'etait l'heure de la leçon, j'ai eu par le passé a faire passer des messages de toute sorte et des marches de conduites d'une complexité variant du simple a l'extraordinaire alors la clarté n'étais pas un problème pour moi. Je mettait un point d'honneur a être direct, honnête et respectueux des autres… Il mérite bien moins que cela mais le bien être de ma femme prévaut.

- Cher Kakuzo Hidemi, je vous accorderai le crédit que l'amour pour ma femme m'impose mais en échange vous devrez m'accorder le respect que ma position vous impose. Je m'explique, Si vous voulez rester dans les parages il faudra être a la hauteur de la confiance et bien sur respecter des règles qui sont claire mais pourraient ne pas l'être pour certain donc par respect, égard et clarté je vais m'efforcer de tout vous éclaircir en une fois.

Regardant le ciel un coup me disant que pour elle j'etais bien près a tout, je confrontai de nouveau le regard de cet importunent en reprenant mon discours :

- Premièrement, sachez que votre passé, votre expérience, votre ressentiment ou votre volonté ne m'intéressent pas. Je ne suis pas et je ne serais jamais votre rival que cela soit dit ! Juka kiyomizu est ma femme et elle le restera que vous le veuillez ou non, que vous vous agenouillez ou non, que vous m'aidiez a la protéger ou non ! Cela étant dit, le respect de notre relation doit être absolu, je ne veux pas de tentative déplacée de votre part, que vous me disiez votre statut ne m'intéresse tout autant pas… j'attend juste des promesses, des respects de ligne de conduite et des engagements. Par respect pour elle, pour moi et pour votre éducation vous vous devrez de bien assimilé cette vérité qu'elle vous importune, vous agace ou vous enerve… Votre promesse et votre code de conduite est ce dont j'ai besoin.

Prenant un temps de répit pour voir si il a bien tout suivi, je repris alors de plus belle

-Deuxièmement, Je n'ai pas besoin de vous pour protéger ma femme mais par respect de vos sentiments et de votre engagement, je ne vous empêcherai pas de m'aider… Je ne suis pas votre ennemi tant que vous ne voulez que du bien a ma femme. Mais si un jour, lors d'une minute, d'une seconde ou meme d'un semblant d'instant je vois en vous un danger pour elle….

mes yeux devinrent d'une férocité infernale et mon aura s'enflammait avec une insistance terrifiante et c'est accompagnant ce déferlement de puissance que vinrent mes mots :



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-JE VOUS TUEREZ !!! votre mort sera instantanée… Que vous ayez confiance en votre puissance, que vous ayez été Raikage, que vous ayez la rapidité d'essayer de fuir… RIEN… RIEN DANS CE MONDE… RIEN DANS CET UNIVERS NE VOUS SAUVERA, VOUS MOURREZ UNE MORT RAPIDE, VIOLENTE ET DIRECTE.

Reprenant mon aura douce, amicale et mon rayonnant sourire joviale je tendais ma main vers lui en disant :

- Prenez votre temps, si ces règles vous conviennent serrez ma main en promettant de vous y soumettre. Sinon, veuillez partir… Kakuzo-san.

Je laissai ma main tendue et mon sourire sincère attendant sa décision.


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MessageSujet: Re: FLASHBACK - Pour que je puisse vous revoir. 〖PV Fujita Kodo〗   FLASHBACK - Pour que je puisse vous revoir. 〖PV Fujita Kodo〗 EmptyDim 13 Oct - 20:57

Valet des Kiyomizu




    Le coeur ou la raison ?
    Le sang remporte face au statut social.



    Je ne puis le nier, je ne peux mentir à moi-même, la tension fut à son évidence à cet instant. Je ne peux fuir face au fait que la jalousie me rongeait de manière impitoyable, ni face à ce coeur qui lamente les douleurs qu'elle éprouvait. Mais je ne suis point là pour cette raison, et je le sais pertinemment ... En tant que shinobi, mais avant tout le protecteur de Juka-sama, je fus éduqué afin d'étouffer mes sentiments. Rien de ce qui concerne mes songes ne doivent s'impliquer envers Juka-sama. La seule chose dont je fais exception est la conseiller si besoin et m'impliquer amicalement, car oui, je possède dors et déjà une chance jamais perçue dans notre clan, je me suis lié d'amitié forte avec la descendante de Narcisse. Eh ... Rien que cela, c'est bel et bien un miracle et un honneur véritable pour ma personne. Je ne peux me permettre de me plaindre. Je ne suis point là afin de prendre son coeur et ce n'est point mon but, au final. Mon but est de m'assurer de sa sécurité.
    Une fois de plus, je sentis une aiguille se planter sadiquement dans mon coeur. Je n'ai point à contester, mais à entendre de telles familiarités envers Juka-sama me rendait fou intérieurement. Si je n'étais qu'un simple ami, si je n'étais qu'un simple homme sans obligations ... Je n'aurais point hésité à lui sauter à la gorge. Mais dignement je me mordis la langue et soupira longuement, masquant les sentiments qui furent bien trop impurs pour ma personne, afin de laisser paraître le visage serein et souriant dont le monde a pour habitude de voir. Le face à face eut lieu alors, Kodo-san prit la parole en premier.

    '' Cher Kakuzo Hidemi, je vous accorderai le crédit que l'amour pour ma femme m'impose mais en échange vous devrez m'accorder le respect que ma position vous impose. Je m'explique, Si vous voulez rester dans les parages il faudra être a la hauteur de la confiance et bien sur respecter des règles qui sont claire mais pourraient ne pas l'être pour certain donc par respect, égard et clarté je vais m'efforcer de tout vous éclaircir en une fois. ''

    J'haussa un sourcil, curieux cependant. Je retins un rire de l'appeler '' ma femme '' afin de ne point blesser, mais veuillez m'excuser de mes paroles déplacées, c'est une appellation bien trop malsaine si le statut concerné n'a point lieu. Je n'en fis rien cependant. S'il la nomme ainsi, c'est que Juka-sama l'autorise. Je ne la comprends point de ce côté ... Je mis de côté, toujours et encore, ces pensées malsaines qui n'ont pas à avoir lieu dans ma tête en tant que Hidemi, et souris amicalement à Kodo-san tout en penchant légèrement ma tête en avant, signe que je suis à son écoute de façon attentive.
    Sa première réflexion me donnait l'envie de rire encore plus, mais par respect envers ses paroles, je retins du mieux que je pouvais. La seule chose que je ne pus retenir c'est le sourire hilare qui se dessinait sur mes lèvres que j'essaya de chasser aussitôt en baissant ma tête. Seigneur, on dirait que la tâche de ne point rire ce sera bien plus dur que prévu ... Mon passé, mon expérience ainsi que mes ressentiments ou volonté ne l'intéressent point ? Eh bien, mon cher ami, je souhaiterais vous dire '' tant mieux '', car je ne cherche guère votre intérêt ! Qu'elle reste '' sa femme '' soit disant-que je le veuille ou non ? Je crois qu'il a bel et bien omis mon statut qui n'est point celui d'un homme qui veut enlever Juka-sama afin d'en faire son épouse, mais bel et bien un protecteur, rien d'autre. De ma personne, il OSAIT douter des gestes déplacés ? MOI ? L'homme éduqué tel un véritable gentleman, juré devant les Dieux ma chasteté, noble Hidemi ?! Je serais le dernier homme à faire un quelconque geste déplacé envers la personne qui est la raison de mon existence. Seigneur, que de sottises, que de faussetés ... Je plaignais presque cet homme de se ridiculiser devant ma personne par des mots qu'il prononçait, au final, pour rien, mais soit, se moquer de l'inculture des autres est un geste bien trop bas.

    Je releva ma tête, ayant réussi à cacher mon sourire qui ne demandait qu'à en rire de bon coeur, je repris alors mon sourire classique et serein, l'invitant à continuer dans ses fadaises, espérant que la suite n'en sera que plus intelligente afin de ne point me torturer et donc m'inciter à me moquer. Ce ne sera point digne ! ... Eh bien, la suite n'en fut que d'avantage hilarante que le début. Maintenant il me dévoile qu'il n'a point besoin de ma personne afin de la protéger ? Mais, pauvre homme, je ne suis point votre serviteur, et grand bien nous fasse ! Je suis né bouclier et arme de Juka-sama, ce n'est point afin de me considérer comme '' soutenir '' la défense de Kodo-san. Mon rire était retenu, et pourtant croyez-le ou non, mon rire est facile. Ce fut bel et bien pénible de ne point l'extérioriser. Il continue alors son récit ô combien distrayant par les bêtises qu'il en découlait, et mes précisions s'en arrêteront là, de crainte que mon âme de grand parleur ne se mette en avant que je ne conte toute analyse reprenant mot pour mot ses phrases. Je n'étais point là pour cette raison. Et là, je sentis une menace réelle venant de lui, qui ne peut me faire nier que la puissance de Kodo-san l'habite bel et bien. Point douteux me direz-vous, venant d'un puissant Hokage, qu'il aurait dû garder sa position au lieu de mettre Juka-sama dans une telle position, mais évidemment, je ne suis point l'homme à dire de telles choses. Il me dit alors que si je serais un quelconque danger pour ma Reine ... Danger ? Laissez-moi rire ... Oh, et puis non, je ne vais point reprendre mon monologue ... Si je serais donc un quelconque danger pour Juka-sama, il me tuera, peu importe qui je suis il me retrouvera. Je ne pouvais nier que sa menace suivie d'une telle aura aurait pu intimider beaucoup de personnes, ce n'est point que ce ne fut mon cas, mais j'en ai vu d'autres, et avant tout, je n'ai rien à me reprocher, ce qui fait que face à tant de son énergie pour se mettre en spectacle pour ... Rien, je ne sourcilla point, soutenant toujours son regard, spectateur généreux que je suis. C'est alors qu'il se calma et prit un air bien amical, me tendant la main. Huh ... Les propos ne devaient point être si puissants si son humeur peut être balayée par une autre d'un revers de main, mais qu'importe. La main désireuse d'être serrée, il me précisa également que je peux prendre mon temps.
    Prendre du temps pour quoi ? Je ne suis homme de mauvaise augure et je possède un coeur pur. De plus, je vins ici pour Juka-sama, et point pour sa personne. Qu'ais-je donc à me reprocher ? C'est pour cela que le coeur léger je m'avança de plusieurs pas afin d'atteindre Kodo-san et lui serrer la main sans aucune hésitation et de manière ferme. Je lui souris alors d'un sourire sincère et aimable, plissant les yeux.

    '' Si je vous serre la main avec autant de facilité, c'est bien pour une raison. Vous vous méprenez sur tant de points à mon propos, Kodo-san, et j'espère, pour que vous ne vous mettez point à gaspiller votre énergie dans des inquiétudes bien vaines, que vous le saurez bientôt. Je ne suis point là afin de vous exposer mes expériences, ni mon statut, peu m'importe. Et surtout, je ne suis point là afin de tenter de conquérir le coeur de Juka-sama. Je suis son protecteur et je le reste, que votre situation, qui ne me regarde par ailleurs absolument point, me plaise ou non n'est point ce qui me concerne, qui suis-je afin de juger quelconque relation ? Ce qui m'importe c'est le bonheur et la sécurité de Juka-sama, et je vois bien qu'elle est consentante, je n'ai alors rien à dire, et je n'en éprouve point le besoin. Je tiens à préciser, bien que vous vous en moquez fort probablement, que je suis un gentleman ayant fait voeu de chasteté devant les Dieux, rien que pour cette raison je serais le dernier homme à faire un quelconque geste déplacé, de plus envers celle que je dois protéger, c'est absurde voyons mon cher ami ... '' Je laissa un rire distinctif prendre possession de mes paroles et je le laisse sortir de bon coeur. Il a beau avoir été sincère mais il laissait sortir mes nerfs également, qui furent bien mis en rude épreuve. '' Je ne suis point ici afin de vous proposer mes services en tant que défenseur, je suis ici en tant que protecteur de Juka-sama. Que vous ayez besoin de mon aide ou non ne me regarde absolument point, bien que je profite afin de vous assurer que si vous en avez besoin ailleurs, en tant que protecteur et ami de Juka-sama, je prêterais toujours main forte volontaire dès lors que vous ressentirez un besoin. Alors, n'hésitez point. '' Ma main serre d'avantage la sienne afin de montrer ma sincérité, et ma seconde paume se posa alors sur la sienne afin d'approfondir le geste et mon intentions amicales. '' Et sachez, Kodo-san, que de me faire tuer au nom de Juka-sama sera pour moi la plus honorable des morts. ''

    ... Et la plus délicieuse des exécutions si ce sera par la main de Juka-sama. Je le relâcha alors enfin, gardant ma bonne humeur si bien manipulée par mon cerveau. Le coeur malgré tout saignant, je sais faire part des choses en tant que Hidemi. Ma situation ne peut qu'être chanceuse. Je peux enfin être aux côtés de Juka-sama afin de la protéger, et le comble du bonheur est que avec le temps je devins un grand ami. Je possède le plus grand des honneurs, mes sentiments ne doivent interrompre le cours qui reprend sa nature. Je n'avais rien contre Kodo-san à part ma jalousie, et au fond mon coeur ne peut s'empêcher de le voir comme un rival en amour, mais ma pureté le somme de se taire. Je salue cependant le sens d'humour véritable que possède Kodo-san, bien qu'elle ne fut point volontaire. En dehors de son manque bien triste de jugeotte, je ne peux nier que c'est un homme bon, je ne peux que l'apprécier outre les sentiments que Juka-sama semble partager avec sa personne. Je me mis à reprendre mon pas, passant à côté de l'ancien Hokage, et lorsque j'arriva alors à la même position, je me pencha, posant ma main sur l'épaule de ce dernier, baissant soudainement d'un ton.

    '' De plus, je ne souhaite point que Juka-sama ait une relation consanguine, aussi lointain que ce mot résonne chez nous, il est toujours présent ... Je désire son bonheur plus que tout, plus que le mien. '' Ayant attrapé le regard de mon interlocuteur, je le fixa alors longuement sans perler moindre mot. Je désirais que ses doutes soient chassés, une tension ne sera que malsaine pour la bien-être de Juka-sama. J'ôta ma main, libérant l'épaule de Kodo-san, avant de m'incliner devant sa personne et continuer mon chemin, désireux de regagner ma chambre. '' Si vous voulez bien m'excuser, Kodo-san, mais j'ai une lettre à envoyer à mon clan. ''


    Avoir parlé de consanguinité à quelqu'un est une vérité mais en même temps une folie. Même Juka-sama ne semblait point le savoir, car ce fut une coutume bien secrète. Mais qu'importe, j'étais prêt à miser bien gros afin de pouvoir la protéger, et peu importe les regards, je suis un homme pur n'ayant rien à me reprocher. Que je ne lui ai point dit ce que je pensais de sa certaine petitesse ? Voyons, en quoi cela me concerne ... Mon avis ne l'intéressera guère, et moi-même je n'en trouve point l'utilité. Chacun est fait différemment après tout ...
    Je monta alors les escaliers ne me souciant point de Kodo-san, qui rejoindra ... Mon Dieu ... Je secoua énergiquement ma tête avant de poser ma paume contre mon front. Je ne dois point penser à ce genre de choses, mais d'avantage comme un protecteur. Avant de regagner ma chambre, je pris soin de passer à côté de celle de Juka-sama, prêtant mon oreille afin de m'assurer qu'elle va bien. Elle disait prendre son bain, je n'osais y entrer, et aucun son ne m'alerta. Ma chambre se trouvait à quelques portes de la sienne, c'est alors sans aucun problème que je la rejoignis, regardant pour la première fois aux alentours. Quel endroit pittoresque pour Juka-sama ... Elle ne doit point être dans ce genre de domaines piètres à sa grandeur, pour sa sécurité d'autant plus. Ce n'est point assez sûr, et il va bien falloir le faire comprendre à Kodo-san. Qu'importe les moyens, avec la richesse que j'ai emporté avec ma personne, on pourra en vivre pendant des années. Je soupira avant de déserrer ma ceinture, et posa mes katanas contre le mur, me mettant devant une table basse afin d'écrire. Le mis parchemin, plume et sceau de mon clan sur le meuble précisais au cours des lignes à Père que tout se passe à merveille, lui disant que Juka-sama est en bonne santé et à présent bien en sûreté grâce à ma personne. Une fois fini, je soupira avant de redresser mon dos et je ne pus m'empêcher à sourire ... Je sentais une présence délicieuse, qui m'enivrait de ce parfum, ces particules qui se mêlent à mon système ... Je me plaisais à me faire posséder ainsi par elle. Je repris alors mes esprits, voyant Juka-sama adossée à la porte de ma chambre, encore sèche. Je lui souris tendrement avant de me lever, l'invitant avec joie de rentrer, ce qu'elle fit alors après quelques secondes d'hésitations.

    '' Allons, ma chère amie, que me vaut l'honneur de votre visite ? Pourquoi n'êtes vous point à votre bain encore ? ''

    '' Euhm ... '' Elle semblait quelque peu gênée, la rendant encore plus attendrissante. Je lui souris d'avantage, ne pouvant retirer mes yeux de cet air irrésistible. '' J-je voulais juste, hum ... Enfin, pour ce qui s'est passé tout à l'heure. Ne crois pas que cela ne me fait pas plaisir de te revoir, au contraire ! C'est juste que, d'abord Fujita et ensuite toi, alors que vous étiez les deux Kage ... ''

    '' Voyons Juka-sama, ne vous torturez point pour cela. Je suis cependant honoré, heureux d'ouïr de vos propres lèvres que ma présence vous ravit. Je vous remercie. '' Je lui prends la main afin de poser doucement les lèvres avant de la relâcher. Je fondais d'attendrissement, mon Dieu ... Elle venait, elle, s'excuser, mais ne sait comment le prononcer apparemment. Cet effort qu'elle faisait envers ma personne me touchait du fond du coeur. Elle baissa les yeux et je la vis rougir.

    '' Oui, enfin ... Je m'excuse, voilà. '' Après avoir dit ses mots ses paumettes se mirent à s'exciter en richesses de couleurs, avant de reprendre confiance, les sentant s'estomper, et leva la tête. '' Vraiment, je suis désolée Kakuzo. Je suis vraiment contente de te revoir ! ''

    '' Vous n'avez point à vous excuser, mais si vous le désirez je les accepte avec grand plaisir. Allons ma chère, ne tardez point à cause de ma personne, allez prendre votre bain comme vous l'avez désiré. ''

    '' Tu écrivais à quelqu'un ? '' Qu'elle changea soudainement de sujet, les yeux pétillants de curiosité en regardant comme elle le pouvait au-dessus de mon épaule. Je ris de ses réactions aussi adorables les unes que les autres avant de poser mes mains sur ses épaules et la retourner afin qu'elle fasse face à la porte.

    '' Ahah oui, j'écrivais une lettre à Père afin qu'il sache que vous êtes en sûreté. Malgré ses réactions avant mon départ, je sais qu'il se faisait du mouron pour vous. ''

    '' Hey ! Pourquoi tu me pousses ?! Attends ! Quelles réactions ?! ''

    Je réussis enfin à la faire sortir de ma chambre, évitant évidemment sa dernière question, bien trop gêné par la réponse, et elle se retourna vers moi, gonflant légèrement ses joues, l'air boudeur. Mon rire ne put que s'intensifier et titillé par une trop grosse envie de la taquiner, je pinça sa joue avec tendresse cependant. Honteux, déplacé de la part d'un serviteur portant le nom des Hidemi ? Point pour celui qui possède l'honneur d'être son ami !

    '' Je vous pousse afin que vous ne tardiez point à cause de ma personne, je me sentirais bien coupable de vous priver de votre bain ! Ahahah ... '' Elle ne semblait point vouloir partir ... Et était prête à retarder son activité. Je leva alors mes yeux au ciel d'un air taquin avant de poser délicatement ma main sur son dos et me mis à avancer, l'incitant ainsi à me suivre. Je l'escorta alors jusqu'à sa chambre, et c'est là que je vis Kodo-san apparaître à l'étage.

    '' Humpf ! On se retrouve à peine et tu te prives déjà trop. Un bain ça se prend à n'importe quelle heure ! ''

    '' Allons, allons ... '' Que je fis en riant. '' Le soleil commence à se coucher, rafraîchissez-vous maintenant. Ainsi, vous vous sentirez bien plus fraîche pour la soirée que vous allez passer par la suite. Ah ... Ahahah ... J'ai la sensation de parler à un enfant. Allons, si après votre bain vous avez besoin de ma personne, n'hésitez point. ''

    Une fois au cadre de la porte, je m'inclina alors bien bas devant sa magnificence, toujours aussi souriant, lança un regard aimable à l'ex Hokage avant de faire demi-tour et regagner ma chambre.

    '' Mais Kaku ... ! Ah ... ! '' Que j’ouïssa derrière. Elle fut probablement interrompue car elle vit Kodo-san. Je ne me retourna alors point et regagna ma chambre. J'étais souriant, oui. Car à ses réactions, son refus de partir aussi vite, cela me prouvait qu'elle était sincèrement heureuse de me revoir.


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Amour X Paix



"Une relation n'est que la fusion de deux coeurs"






Fujita Kodo - Dragon Legend




Je respectais le destin qui m'avait réunit avec ma raison de vivre, mais m'envoyer un tel encombrement n'était pas a sa hauteur... Cet individu était bien trop hypocrite, faux et si loin de cette sincérité que je portai chère a mon coeur... Il sentais l'odeur putride du crocodile par ses faux semblants et son sourire de paille. Mais bon, pour celle qui fait chavirer mon coeur cela se rapprochait du titre d'ami et elle en avait certainement besoin... Ce ne serait que pure hantise de la privé d'une amitié qu'elle apprécierai... Surtout que si il se conformait au règlement que je venais de lui décrire, je n'aurai point de raison de l’écarter de notre chemin et une amitié pourrait même eventuellement naitre. Juka était ma fierté, mon bonheur et tout ce que j'avais... Un honneur dont je ne pourrai me passer... Une révélation qui me fait me surpasser. Je suis tellement chanceux de l'avoir a mes coté et la pitoresque présence d'une pierre sous mon pied ne m’empêcherait pas d'en profiter... Peut être même que cette pierre ne serait pas si encombrante que mon cerveau ne le suggère, je pense que c'est surtout cette tendance a être jaloux dès que je suis avec mon âme soeur qui me gène fortement cependant la jalousie n'est rien devant les convictions et les principes alors m'en inquièter ne serait point digne. Bon ! Je vais essayer de lui offrir autant de chances que je pourrais en espérant qu'il sera a la hauteur de ma confiance, c'est donc dans cette optique que ma main s'était lié a la sienne et que nos destin devinrent incrusté dans un engrenage infini... Ce ne serait peut etre pas si mal, si je me fiais au mauvais pressentiment que j'avais eu, plus de puissance ne pouvait qu'être bénefique.

J'accordai le bénefice du doute a cet être même si dans mon honneteté habituelle, lui faire confiance maintenant était trop me demander. Trop de facteurs font que sa nature imposée dans ce contexte ne me convient guère... Neanmoins, on verra ce que le futur dans son ecoulement velouté nous reservera. C'est donc avec calme et beaucoup de sympathie que j'acceptai sa main comme preuve de son implication et ne m'attardant pas outre mesure sur son discours, ce fut cette forme de promesse qui m'interessait specialement. Je tournai alors le dos et commençai a marcher vers l'auberge quand il me rattrappai et m'avouer ne pas vouloir de relation cosanguine, sa volonté ne m'interessait pas le moins du monde et ça me surprenait qu'il ne l'est pas encore compris... Seul sa promesse comptai, qu'il veuille ou non une relation il devra se comporter correctement et sans faillir, c'est donc pour une dernière fois que je m'exprimai fredonnant avec calme :

- N'oublie pas tes promesses... le reste ne m’intéresse pas.

Et c'est là que je m'arretai le laissant prendre les devant et je pris un temps pour contempler le ciel, ce magnifique ciel qui abritai nos reves... Celui là même qui nous couvait de sa grace prépondérante... Un ciel bon... Un ciel majestueux... Notre ciel. Après quelques minutes de contemplation je rejoignai l'auberge pour voir ma femme et c'est là qu'atteignant l'etage que je la voyais avec kakuzo qui la raccompagnai vers notre chambre. Encore une fois dans sa bonté elle avait du aller s'excuser... éééééh ! Elle est si pure et magnifique, peut etre meme un peu naive mais ça ne pose aucun problème... Tant que je serai là rien ne lui arrivera et son bonheur sera mien ! Rien ne gènera son sourire angelique ! Et quoi qu'il puisse arriver je serai là et reglerai la situation... C'est mon devoir et desormais... NON ! C'est mon nindo !!! Avec un sourire que seul elle meritait de voir je l'acceuillai dans mes bras puisqu'elle s'y jetta avec amour, puis je l'invita a rentrer dans la chambre. C'est là que nos levres commencèrent a s'activer pour parler d'abbord... Une autre utilisation était a envisager pour plus tard... plus tard.

- Qu'est ce qu'il te voulait encore ? Disai je avec une tête mi gamine mi boudeuse

Sa réponse et surtout l'intonnation avec laquelle elle détonna n'étais pas souhaitable... elle n'était pas du tout tolérable

" C'est moi qui suit allée m'excuser de le mettre dans cette situation et...et... je tiens aussi a m'excuser envers toi... Je suis tellement desolée Fujita... Je...je"

C'est alors que je fais un regard ébahit, lui fit une pichenette et scanda un grand "BAAAAAAAKA !!!" devant son air ahuri... il s'en suivi un rire de coeur joie et imbibé d'une pureté rare... J'en vint directement a la suite avec candeur et mon air a la fois tendre, mignon et tellement niais :

- Ecoute ma chèrie, le meilleur choix que fait un homme est de suivre son coeur alors la meilleure chose que tu puisse faire c'est de respecter ce coeur là. Etre desolée pour lui c'est ne pas comprendre que c'était le seul bon choix possible. Comprend la beauté et la sincérité du choix et prend là comme tel. J'avoue ne pas être son plus grand fan mais si il y'a une chose dans laquelle on sera toujours daccord c'est qu'on ne regrettera jamais de notre vie ce choix alors tes excuses n'ont pas lieu d'être.

Elle devenait rougeatre et faisait un petit rire tout chou tout adorable qui me faisait frisonner de haut en bas c'est alors qu'un echange d'une beauté unique vint illuminer cette journée

- Je t'aime Juka

" Je t'aime Fujita "



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Et le baiser qui s'en suivit fut d'une beauté jamais atteinte... La beauté de l'amour. Ce n'est qu'après cet eclaircissement que je souriais de plein coeur vers celle qui enchantait mon âme, Elle en fit de même avec un air de surprise melangé a son sourire... De la curiosité beate.

- Et cette douche alors ? On la prend ou pas ?!!

" YEAAAAAAH, Allons yyyyyy <3 <3 "

- YOSHAAAAA !!!!


Et c'est alors qu'une douche imbibée de bonne humeur, de rires complices, de tendresse, de caresses surprenantes et d'un delice unique pris place dans le destin de ma journée... Une douche où nos caresses refletaient notre amour, où l'eau rapprochait nos levres, où nos corps couvraient l'existence de leur alchimie amoureuse et où notre amour prenait ses aises avec volupté et une radieuse complicité. des "Noooon arreeeeeete ça chatouiiiille" , d'autres "je t'aiiime <3 merci d'exister" et surtout des "nyaaaaah" se propageaient dans toute la chambre et c'est alors qu'après une douche d'une beauté qui pouvait réanimer les morts de sa bienfaisante pureté qu'on en vint a en sortir, a nous habiller et a s'allonger dans le lit.

" C'est l'heure des caliiiiiiiins " Lançait- elle avec une joie de vivre dont je me delectai allégrement

- vient là coquine

Des calins par ci, des caresses par là, de l'amour ici, de l'allègresse là bàs... Ce n'est qu'après une bonne dose de tendresse amoureuse qu'on se decidait enfin a dormir sous la bienveillance de la nuit etoilée. Dans mes bras, elle ne tardait pas a trouver le sommeil... ça pouvait paraitre banal mais pour moi ça voulait dire enormément, sachant que sans moi elle n'arrivait pas a dormir et qu'avant notre histoire elle n'arrivait pas a dormir depuis la mort de ses parents... L'amour est heureusement d'une force suffisante pour tout éliminer... Tout le negatif qui peut entraver la beauté qui le caractérise s'évapore devant sa force. C'est alors que la question qui me trotait depuis tout a l'heure trouvait sa réponse... Ai je eu raison d'accepter kakuzo ? La réponse devint immédiate... Bien sur, si c'est le meilleur pour elle alors evidement que j'ai eu raison. La scrutant pendant quelques minutes m'inspirant de la beauté de son sommeil paisible dans mes bras je prenais ma dose d'adorable avant de la serrer dans mes bras et de dormir a mon tour... Le bonheur c'est beau... C'est sacré.


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