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Aikenka Inuzuka ~ Maya Murakami ~ Tsuki Okami ~ Assia Toshizo

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Le soleil est levé haut et les flocons de neiges commencent à tomber encore en cette époque. L’amertume vous prends en cet endroit où vous ressentez haine et culpabilité. Les informations venaient d’arriver et le village était aux aboies. Une guerre civile se préparait au pays des Fleurs et tout portait à croire que des répercussions se ferait ressentir sur votre village au vu de la réaction des conseillers et du Kage. Un conseil avait même était organisé et ne faisait qu’abonder les rumeurs d’un sinistre voile amplifiant la tête des gens de pensées aussi nauséabonde que les égouts et aussi repoussante que le plus vil des actes. Vos pensées fades se fanent alors devant l’espoir qui se porte jusqu’à vous. Pourquoi vous ? Que sais-je ? Je ne suis pas dans la tête de vos dirigeant et il se trouve qu’un hiboux, messager de paix contenait entre ses serres un destin possible qui pourrait potentiellement sauver plus d’un peuple. L’étui de fer qu’il vous déposa était fermement sceller et l’importance n’en devait être que capitale. L’oiseau vous regardait d’un air interrogateur car même cet ami de la nature au plume grisâtre luisait de ses yeux de verre l’importante missive que vous teniez dorénavant dans vos mains frêle et congelés par la neige. Vous ouvrez alors l’étui et déroula le parchemin minuscule qui en était rempli. Un sceau avait été lancé et vous étiez avertis dès la première ligne que ce message se détruirais dans les minutes qui suivraient. Retenant votre inspiration et gardant votre calme vous comprenez alors l’impact de ce destin qui vous était offert, celui de découvrir le coupable parmi les meurtres des prétendants au trône du pays des Fleurs. Vous étiez donc le porteur de lumière qui éclairerait ce chemins ombrageux emplie de doutes et de suspicion qui pourrait enterrer un pays entier dont le roi malade n’attendait qu’un suzerain apte à rétablir son royaume qu’il gérait du peu de force qui lui restait et alors que de multiples compagnies s’arrachaient les vestiges des commerces restant et pillaient en vandales le peuple il était primordiale qu’un prince se fasse entendre et qu’une voix porte à l’unisson les bannières de ce pays simple et fructueux dont le jardin de fleur magnifique se fanaient jour après jour des rebellions dont faisait preuve des gens désœuvrés  duquel la famine découlait sur leurs visages autrefois souriant et moins creux. Le parchemin vola en éclat !


Vous couriez comme si votre vie en dépendait au plus vite. Vos armes était rangé et votre regard ne laissait l’ombre d’une opportunité à vous attaquez. L’aura que vous dégagiez était celle d’une ferveur inarretable et que même les loups sur votre chemin ne purent défaire. Ces malheureux animaux ne vous ralentirent même pas et vous ne prirent même pas la peine de vous retournez pour savoir si vous les aviez tué ou non que déjà vous repreniez votre chemin d’un pas lourds. Le désert fut plus rude et vous vous enfonciez mais votre but restait intact : il s’agissait d’arriver au point de rendez vous à la forteresse d’Acier au pays du Fer. La neige brillaient de mille éclat en reflétant les éclats opaques et lumineux du soleil. Après le désert c’était donc tout naturellement que vous deviez traverser de vaste contrée enneigées et le voyage ne fut pas de tout repos. Vous ne preniez que de courtes pauses et ne vous arrêtiez que très rarement car vous compreniez le poids que vous joueriez pendant que d’autres repousseraient les assauts des rebelles. Vous étiez ceux qui permettraient de comptabiliser le sang versé car plus vite vous auriez résolus cette situation et moins de victimes il y aurait. Le temps était en votre main et vous deviez faire de votre mieux pour le gérer. C'est ainsi qu’avec un timing très précis vous putes apercevoir la magnifique bâtisse entouré de plusieurs couches de murailles et brandissant une neutralité impartiale et une garantie de justice si propre au samurai de ce pays.


Vous tombiez directement sur la Kage et bien que jeune son autorité n’était pas en reste et son aura imposante. Vous vous dites que tous les Kages avaient, à quelques exceptions près, une telle prestance que ce n’était que tout à fait normal de les considérer comme les chefs de leur village respectif. Vous ne doutiez pas à ces paroles qu’avec autant d’assurance et de précision dans ses faits et geste elle avait une force démesurée comme le reste d’entre eux. Il ne restait plus qu’à vous rendre compte des forces de chacun et à commencer votre avancée dans une joie qui s’instauraient alors petit à petit. En petit groupe il fut aisé d’aller aussi rapidement que seul jusqu’au pays des Fleurs et très vite vous arriviez au dit pays. Sur le chemin vous aurez aperçut de sérieux problèmes de situations comme des villages dévasté, des civiles devenus rebelles ou encore une mendicité devenu plus importante en ces lieux très certainement. Vous avez trouvé un pays délabré et vous êtes décidé cette fois-ci à le sauver. Vous ne connaissiez ni d’Adam ni d’Eve ces gens mais les fleurs se fanaient et la vie étaient laissé à l’abandon : ce n’était pas tolérable. Il fallait se battre et continuer : plus qu’un seul objectif hantait votre tête à vous et vos compagnons quand les portes du palais d’un rouge flamboyant et ornés s’ouvrirent et ce n’était rien de moins que de découvrir le coupable. Les mensonges de ce dernier seraient déroulé en place publique et de son sillon d’abomination joncherait son sang tandis qu’après avoir été appréhendé difficilement c’est un jugement sévère qui s’abattrait sur ce dernier, rien de moins qu’une mort justifié. Peut-être êtes-vous trop gentil pour pardonner cela mais cette exécution permettrait du son terrible de la lame s’abattant de n’être rien de moins qu’une symphonie à l’égard d’un nouveau souffle sur ce royaume.

Une jeune servante vous a accueilli tandis que le conseiller n’était pas présent. Ce dernier était le régent de cette situation délicate et n’était pas apprécié si ce n’est du roi. Vous apercevez au loin alors que vous êtes dans la cour centrale le commandant de la garde royale et aussi commandant des armées qui vous jugeait d’un air sérieux et dédaigneux, presque méfiant mais, il ne prit pas la peine de se retourner car il était en pleine discussion avec le trésorier. Ce petit homme chétif et gros était quelque peu intimidé par tant de personne et surpris mais n’y prit aussi que peu garde au vu des affaires dont il semblait discuter avec le commandant. Vous êtes par la suite entretenu par d’autre personne et l’on vous conduit directement au chevet du roi. Le vieil homme avait encore ses cheveux d’un blanc écarlate et gardait sa dignité de roi mais dans son lit et maintenant qu’il y avait un clair de lune on pouvait discerner à l’éclat de cette lumière ses os délabrés et son corps décharnés. Il ne lui restait que très peu de temps à vivre et c’est pourquoi votre résolution n’en est  que ravivé. Il ne dira que quelques mots mais vous aurez alors appris la situation :

Le matin il était au lit et à midi il mangeait dans une pièce à part réservé aux serviteurs où il désirait manger seul et bien que cette salle de bonne pouvait être insalubre ou quelques peu désordonné il s’y sentait bien. C’était un malsain plaisir pour son grade mais les bienséances pompeuses ne pouvaient que le fatiguer d’avantage. Et pendant qu’il mangeait se tenait un repas entre l’ensemble des prétendants, trois servantes, un majordome, le trésorier, le commandant et le conseiller. Il s’avéra que tous dépérirent si ce n’est une des princesses qui n’était pas présente lors du repas et qui était encore vivante puisqu’elle avait dépêché une missive à son père récemment et que c’était aussi en partie grâce à elle que vous étiez là. Il ne fallait pour autant ne pas l’écarter des suspects mais elle n’était pas présente. Après cela, le roi ne fut pas informé de suite mais quelques heures plus tard.  

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