Jin Kaza Shinobi No Nukenin
Messages : 233 Date d'inscription : 30/01/2013
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| Sujet: Présentation Jin Kaza... En court 80% Ven 8 Fév - 18:39 | |
| Jin Kaza | . Kaza & Jin . - Surnom : Jiji sur la Box
- Parents : Inconnus
- Age : 21
- Village : Kumo
~ - ~ «Les grandes histoires doivent leurs notoriétés, au dénouement final sur lesquelles elles s’achèvent. » - I/: Informations d'ordre général.
- Date de naissance :7 Janvier
- Pays/Lieu de naissance : Inconnus
- Signe astrologique : Capricorne
- Qualités : Volontaire, généreux, honnête
- Défauts : Distant, caractériel, sentimental.
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II/: Descriptions du ninja.
élancé, Jin est un homme mûr, grand, berbe, musculeux. Jeune homme à la dégaine amplis de fierté, il arbore une posture presque provocatrice qui sait éviter la nonchalance avec panache. La démarche souple, les gestes mesurés, son regard sombre pour les hommes, est plein de mystère pour les femmes. Il inspire le respect, sans jamais déborder dans l'insulte. On peut lire en lui le sang bouillant, ce côté hargneux, impétueux à la frontière du sauvage. Le genre d'être aux traits marqués, inflexible avec pour nuancé cette faiblesse dans le regard, un petit rien, presque imperceptible. Un détailles qui laisse un goût amère, le genre de petit rien, invisible, le genre de scarification indélébile qui dénote d'une profonde douleur inaudible. La cicatrice qui ne ce fait connaitre que des regards honnêtes et fort. Son buste qui malgré le viol de son intégrité, malgré une peau sans douceur, marqué par les rouages d'une jeunesse bafoué, ne laisse entendre rien de la puissance. Ce buste transpire la fragilité. Seul le sceau sur ce cœur prisonnier en appel à la douleur plus qu'à toute forme de force. On lirai aisément sur le cuire de sa peau, la fatigue et l'usure sans jamais y trouver la jeunesse et la vitalité. Limite insociable et agressif, ce jeune homme pessimiste, nan reste pas moins quelqu'un de fiable, sur qui on peut se reposer. Une fois la facette extérieure brisé on y découvre quelqu'un de simple. Fière de ce qu'il est, qui porte avec force un idéale de justice; ou l'homme doit protection et respect aux êtres qui lui sont chères. Le passé a marqué ce jeune spadassin des terres rudes du nord, au fond si on sait s'y prendre certains et certaines découvrirons, une âme bouleversée, blessé bien plus faible que ne laisse paraître les apparences et les comportements impulsifs. Un grand sentimental caché sous des apparences de meurtrier.
Si l'on vous donnez l'occasion de comparer l'enfant innocent et l'adulte noyer par le remord vous en seriez surement très étonné. Il s'est effacé le bambin joyeux, railleur, turbulent, braillant à tout vent. Noyer par les dénouements sombres d'une histoire bien cacher. Les "virages émotionnels" marquent les êtres, souvent, surement et il est rare et bien difficile d'effacer le triste dénouement des mémoires. Pour lutter Jin s'est armé d'un masque d'agressivité, qui a l'occasion ce fissure sous le joug d'un innocent sourire féminin. Notre fier spadassin se plais à protéger les faibles. Peut être y vois t'il une façon de redorer son passé pourpre, cruel et dépourvus de justice. Mais si il y'a bien un sentiment qui fait monter des panaches de colère, c'est bien les regards de pitié que certain pourraient porter à sont égards. Les hommes prennent ces regards comme des assauts portés à leur fierté, comme une exposition grand public de leurs faiblesses, pour les humilier et les rabrouer. III/: Histoire du Ninja. Histoire de Jin Kaza
Photo archive A-001 /préambule/ Il y'a 21ans, un matin au seins du plus vieux temple des terres du nord, on pouvait trouver déposé auprès de la grande porte, un panier d'osier. En équilibre fragile sur les rocs de granite tranchants et gelés. Abandonné là aux soins des vieux résidents, un nourrissons drapé dans une étoffe sombre, un cuire écaillé par le froid et l'humidité des neiges éternelles du mont Miokishin. Le maître du temple ne pouvant se résoudre à laisser le froid et la faim s'emparaient des dernières forces du nouveau né, ce résignât à accueillir le jeune enfant. Il fut décidé d'un nom et d'une tutrice. On s'accorda sur Jin et pour le Nom de clan, on lui donna celui de la famille noble dirigeante. Certain Y virent un déshonneur, comment un « bâtard » laisser pour compte pouvais hérité dès son arrivée d'un tel privilège... Mais il est sûr que le maître de la citadelle, Onzu Kaza, fit cadeau de son nom à l'orphelin pour le protéger justement de la honte, des railleries et des humiliations que connaissent les êtres abandonnés. La tutrice, nourrisse des enfants de la lignée Kaza, se vit imposer l'éducation d'un troisième enfant, Jin Kaza. Obaza Kaza l'ainé, et sa petite soeur Rin furent donc les compagnons d'enfance, d'un orphelin présenté comme le neveu de leur père, Onzu Kaza ; un simple cousin en sommes. Malgré cela la tutrice des kaza une jeune femme instruite, attentionné mais néanmoins sévère, apporta à Jin autant d'attention qu'aux autres kaza, si ce n'est peu être plus dans les premières années de sa vie du fait de son apparente fragilité... //
- Spoiler:
Photo archive S-003 La citadelle du mont Miokishin est une armurerie géante, spécialisé dans les fuinjutsus. Derrière ses murs on y forme des moines ninjas, aux compétences appréciés de part le monde. Des parchemins explosifs des scellements, des barrières défensives et bien d'autres sceau qui sont créés et vendus sur les marchés militaires. Le fort est d'ailleurs subdivisé en 13 blocs, chacun constituant une zone autonome. Chaque bloc à sa spécialité et se voit protégé par des barrières. Les portes massive de bois deviennent alors impénétrables sans la clé du bloc concerné. La circulation dans le monastère n'est pas simple, elle y est très réglementée. La citadelle est immense, creusé dans la montagne elle rassemble quatre mille résidents. Une petite communauté cacher qui vis reclus loin de tout, sans se préoccupé du monde extérieur. C'est dans ce cadre, dans le bloc 3, dit de l'éducation, que Jin fait ses premières classes, s'accommodant des leçons sur le chakra et sur les concepts au combien fumant de cercle de transformation, de kanji d'invocation et de sceau énergétique. Il s'avère que le jeune garçon ne soit pas très doué avec l'art subtile et au combien intellect du fuinjustu. Sont corps fort, fin, tracé et élancé sous entend plus une habilité corporelle qu'intellectuelle. C'est pourquoi son Oncle, le maître de la citadelle, décide de confier l'enseignement du jeune Kaza au Bloc 4 dit, de combats, fessant de son neveu le plus jeune résident du bloc. C'est ici que le jeune homme c'est habilement épanouis, jamais dans l'histoire de la citadelle du mont Miokishin un enfant avait montré autant de compétences dans le combat. Jin s’avère êtres un expert du sabres, le maître Kaza fit venir pour son éducation militaire, un saumurai du nord, mais aussi un ninja déserteur des terres libres. Deux hommes aux compétences reconnus. Au yeux du maître Onzu, Jin est alors l'espoir qui réveille un sombre projet oublié...
Pour ses onze ans, le bloc 6 crée à la demande du maître Kaza une arme pour Jin. Un sabres qui produit son propre chakra, un Katana dans lequel on a sceller « la volonté de détruite » Ce genre d'armes impose que ses créateurs aient une maîtrise parfaite du fuinjutsu, en effet, le sabre est un Mugen. Un katana de l’infini. Le genre d’artéfact, qui ne s'émousse pas, qui dispose d'une résistance et d'un tranchant à toute épreuve. Le sceau du Mugen est gravé dans l'acier du sabre avec le sang et le chakra de son Unique porteur. Jin est donc le maître d'un sabre aux capacités redoutables. Il dévore littéralement la vie, l'âme... Pour maîtrisé l'arme le jeune guerrier a dû apprendre à résiste, aux émanations sombres quelle dégage. Apprendre à s'imposer comme maître, le sabre dispose en effet d'une volonté propre qu'il faut brider et soumettre. Le fourreau du sabre dispose lui aussi d'une capacité, celle d'éteindre le sabre de le plonger dans un profond sommeille jusqu'à la prochaine dégaine. Il a fallu deux ans d'entraînement, extrêmement douloureux et cruelle pour que le jeune Kaza maîtrise parfaitement l’artéfact de la destruction.
- Spoiler:
Photo archive S-011
Tous cet intérêt pour Jin, tous ces efforts et dépense pour faire de lui un guerrier fort, dénote sans conteste d'un projet cacher, mais quelles sont les véritables intentions du vieux maître de la citadelle ? L'héritier de sang, Obaza Kaza est un grand expert en Fuinjutsu, un homme très intelligent qui sera dirigé et protéger la cité dans le futur, alors quelle avenir espère le maître Onzu Kaza pour Jin... c'est à sa quatorzième année que les véritables intentions de la famille éclate au grand jour. Onzu kaza, ordonne à Jin d'éliminer sans vergogne, des opposants politiques aux seins même de la citadelle, en trois ans, Jin devient l'être le plus sombres qui soit, la volonté de détruire de son sabre l'envahie et il exécute les assassinas demandés avec un détachement effroyable. Jin devient alors le « nettoyeur » Il incarne alors le pouvoir despote qui s'impose à tous les citoyens de la citadelle du nord. Le jeune homme perd peu à peu le contrôle de lui même, n'arrivant pas refusé les ordres de son oncle... à sa 17eme années ont l'enferme dans le bloc 9, dit de recherche, on lui "grave" alors le sceau de l'âme sur le cœur. Et devient alors un homme peu social et agressif, distant aussi. Le "sceau de l'âme est un fuinjutsu que l'on pose sur les Kaza fort ! capable de le supporter"... Le graver est une torture effroyable. Ce sceau donne à son utilisateur, force et résistance, il lui permet de récupérer de grande blessures. En contre partie il met la vie de son utilisateur en joug. A trop s'en servir on en perd la vie, le sceau se nourris du chakra et de l'âme de son hôte. Jin est enfermé jusqu'à sa 20eme années, ou l'on lui impose de terrible traitement... Aujourd'hui la citadelle à était complètement détruite, Jin est le dernier survivant, lui seul sait ce qui c'est exactement passer, mais beaucoup pense qu'il a tout détruits et c'est enfuit... pour un avenir meilleur.
- Spoiler:
Photo archive S-031
Carnet de bord de Jin Kaza.
" Depuis que j'ai fuit la citadelle, j'ai rencontrés peu de voyageurs, mais tous craignent les monts froids, acérés, de mon pays. J'ai appris dans la douleur à supporter les engelures, à éviter les pièges de la montagne, les crevasses cacher, les avalanches et bon nombres d'ennemies aussi discret qu'impitoyable. J'ai aussi appris à aimer le silence des hauts plateaux, la beauté des terres vierges enneigés. L'envers du décor comme j'aime à dire. J'ai erré bon nombres de semaines, peut être même des mois. La haut le crépuscule, fait office de jours comme de nuit, jamais il ne se détache du firmament. Médité sur mes actes, sur ce passé qui fait de moi ce que je suis. J'ai exécuté sans vergogne des hommes des femmes, des enfants quelque fois à peine plus âgés que moi... manipuler voilà la seul explication valable que ces longues semaines de retraite m'ont apportés. J'ai éliminer toutes ces hyènes qui en avais contre ma liberté, qui ont enchaînés mon cœur, c'est surement ce que j'ai fait de plus juste. Et pourtant un goût de remord entache cette liberté retrouvée. Bien sûr j'ai détruit le bloc recherche après avoir fait couler le sang de tous ces fous ! Puis j'ai pris mon envole au travers de la porte sud... je ne regrette pas l'acte mais beaucoup de gens vont me manquer, mon grand-frère par exemple, ma grande sœur aussi. Le fait de ne plus les revoir, jamais, voilà ce qui me brûle de l'intérieur surement. Mais pour leur bien, pour le bien des Kaza je dois partir. Aujourd'hui je suis un paria ! "
- Spoiler:
Photo archive A-004
" Si l'on me demandai de tirer quelque conclusion du passer souvent glorieux et quelquefois sombre de kumo. Sans conteste j'emmétrai la plus vive critique sur le règne d'un raikage aux actes plus que néfaste. J'ai nommé "le grand et redouté Setsuri Hazu. Homme de puissance plus que de bien" son coup d'état et les nombreuses décisions motivés par la soif de pouvoir et de reconnaissance personnelle, plus que par le bien et l'honneur des terres de kumo ont conduit la glorieuse citée au déclin. Aujourd'hui l'espoirs, force de renouveau, a permis, avec l'émergence d'une nouvelle génération de rétablir la fierté des Kumo-jin. A l'image du glorieux Sandaime Raikage, notre jeunesse doit allier la force, l'honneur et l'amour de la patrie sans jamais ce laissai pervertir par le gain, le pouvoir et à la gloire. Toutes mères de déchéance. "
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| Flash Back 1 ~ « Se remémorer le passé » ~
Flash-back : « Du temps ou j'étudiais dans le majestueux fort des Kaza, j'éprouvais déjà une répugnance tenace contre les salles de classes. Notre enseignante, Mademoiselle Aiko qui accessoirement était ma tante, mais aussi la sœur cadette du maître incontesté de la citadelle. Était aussi chargée de mon « redressement ». Elle essayait en vain de m'enseigner les rudiments du Fuinjutsu. Parchemin explosif, parchemin enflammée ou simple parchemin de stockage dans lesquels elle nous contraignait moi et toute la classe à sceller des dizaines de litres d'eau, des rochers d'une tonne et des rivières d'arme blanche. J'écoutais à demi-mots son charabia, ses mandras, et toutes ses formules et leçons barbantes. « Le fuinjustu est une matérialisation du chakra, là ou les mudras du ninja transforme son chakra, nos sceaux donnent forme à notre chakra. Quand vous serez des experts en la matière il vous sera simple de créer des boucliers, des espaces spacio-temporel ou ranger une immensité de composants bien réel, dans des notes minuscule. Le fuinjustu est un art souple ne l'oublier jamais »
Fripons attachant, mais surtout déjà enflé d'orgueil, j'étais souvent très impolie avec mon institutrice. Le bloc 3 de l'Éducation ne me convenais pas du tout. Ici chacun passe son temps dans des ouvrages, la bibliothèque ressemble plus à temple de la méditation qu'à un lieu de vie, ou l'on partage des idées et ou l'on discute de tout et de rien contre la volonté d'un bibliothécaire aux augets. Nan, dans le bloc 3 chacun est dans sa bulle, chacun avale les pages de son ouvrage comme on aval goulûment un repas succulent. Curiosité et soif d'apprendre sont le maître mots ici... Les barrières qui m'empêchent d'accéder aux 12 autres blocs, forment un étau qui m'enserre. Alors je fais le mur, je dors en cours et je prête le moins d'attention possible aux autres élèves.
Mon cousin Obaza Kaza, fils du maître de la citadelle, Onzu Kaza, est un étudiant modèle. Il survole les cours sans ce soucier de rien. Il est mon aîné de 5ans et c'est lui qui a créé pour moi une clé de fuinjutsu pour errer à mon aise dans la forteresse. Un cadeau magnifique ! Les 4000 résidents de la citadelle sont soumis à des règles très strict. Chacun est assigné à son bloc, seul les hauts gradés peuvent se déplacer librement dans l'immensité du fort. Chaque portes de bois, haute de 15 mètres qui séparent les blocs est protégé par un sceau ! Une barrière qui les rendent infranchissables, même par la force brute. Et les clés sont rares, j'ai longtemps essayer de voler, celle de mon enseignante et tante. Mais c'est un subterfuge trop risquer ! Souvent pour me punir de mon insolence en classe, elle apposait sur moi un sceau de restriction... me forçant à écouter son charabia. Elle m'a fait subir toute sorte d'humiliations, elle s'est même permise d'accolé un parchemin explosif sur mon dos ! « Si tu bouges de ta chaise pour faire le mur, je te fais grillé comme un petit beur bien cuit » Autant de méthode barbare qui mon contraint à l'assiduité. Mais maintenant, grâce à mon cousin et voisin de chambre je peux vagabonder dans l'immensité de la citadelle. « Jin malgré mes connaissances je t'ai créé une clé limitée qui t'ouvrira, je pense jusqu'au 5ème bloc. Ensuite cela nécessite des Kanjis et des compétences énergétiques et techniques qui me dépasse... » « c'est amplement suffisant merci !! » « Pas de soucis, reviens pour le couvre-feu et évite de te faire remarquer » Pendant de longs mois j'ai alors exploré les moindres recoins de la citadelle, du bloc 1 ou l'on entreposait les vivres et le matériel, au bloc 4 de combat. J'ai découvert la liberté. Tout mon temps libre je l'ai passé à espionnais les leçons du maître d'arme qui enseignait aux jeunes hommes du bloc 4. Une fois la leçon terminée... je m'empressais de singé ce qu'il faisait dans les grands dédale sombre du bloc de 2. Une pièce immense, unique, froide, qui s'étend sur des kilomètres. Un sous sol humide, une succession de piliers qui soutiennent la structure de notre fort. Ici je frappais les piliers, m'écorchais avec un bout d'acier rouillé, qui me servait de sabre. J'ai travaillé, travaillé sans relâche. Doucement les jours et les semaines on fait de moi quelqu'un de plus mure. Maintenant j'assistais aux cours de mademoiselle Aiko Kaza sans rechigner ou pester. J'épluchais même les registres de la bibliothèque à la recherche d'ouvrage de combat. Mon corps a changé très vite, j'étais déjà un mioche bien battis avant tout cela. Mais plus les mois passèrent, plus Mademoiselle Aiko remarquait que je n'étais pas fait pour le bloc 3. Ici les enfants avec qui je partage mon quotidien, transpirent la fragilités. A 10 ans on est frêle et sans hargne... ils ressemblaient plus à des rats de laboratoire en herbes qu'à autre chose. De cancre incontesté de la classe, je suis passé à numéro 1. Sans perdre une once de flemmardise et de dédain pour les réflexions de mademoiselle Aiko.
J'aurai espéré qu'avec cette progression fulgurante, que ma tante m'aurai « lâcher la grappe » et pourtant il n'en n'es rien, elle me fessait maintenant travailler avec la « famille » jugeant que j'en étais dorénavant digne. Je n'y ai vu aucun honneur, j'y ai vu surtout du travail en plus et moins de temps pour vagabonder, m'entraîner et espionner les leçons du maître d'arme. Mon temps libre je le passais donc avec mon cousin et sa petite sœur. Subissant notre diabolique tante... je n'ai jamais autant écrit et tracé de kanji énergétique, de transformation, de scellement et d'emprisonnement qu'avec elle. Tenir une barre de fer rouillé et la manié à sans faire saigné les mains, me semblais maintenant plus confortable que tenir un pinceau ou une plume en sa présence !
Malgré tout j'en appris beaucoup, Obaza, mon cousin, souvent me trouvait des ouvrages plus à mon goût... « L'art de la guerre » « Histoire d'un bretteur de l'ouset » « Le ninjustu et ses rudiments » « Histoire du monde militaire shinobi » « Politique du pays du feu, de l'eau et de la foudre » Il voyait en moi son futur ministre de la guerre. Lui qui était voué à succéder à son père ! Onzu Kaza... D'ailleurs ce projet un peu fou je vous l'accorte, de ministre de la guerre, est arrivé aux oreilles de notre enseignante et tante. Ne me demandez pas comment ! Cette dame entend tout, voit tout, comprend tout et je rajouterai « et tout, et tout... ». Un jour que je faisais le mur pour aller m'entraîner dans le bloc 2, ce lieu immense, vide, froid ou j'aimais me retrouvé seul avec moi même ! Mademoiselle Aiko me suivie... je travaillais depuis des heures m'acharnant sur un piler inflexible, l'acier tordus et rouillé dans mes mains poisseuses et sanguinolentes. Quand elle m'interpelle... « A qui as-tu volé cette clé ?! Pour franchir les barrières qui séparent les blocs » d'abord surpris, puis ensuite apeuré par l'idée de perdre ma liberté... je répondis sans trahir mon cousin. « je l'ai construite moi-même ! »
Elle me toise puis pose son index sur mon front avec une vitesse que je ne lui imaginai pas posséder ! « In'kan Kaifu, brisé le mensonge » Encore un Fuinjutsu de son pedigree. Les Kanjis dansent sur mon front pour venir s'infiltrer dans mes yeux, une douleur insupportable... avant qu'elle ne me libère de son emprise. « c'est Obaza qui t'a aidé ! Vous portez le nom des Kaza... tu as des responsabilités ! Et respecter le règlement en fait partis ! Donne moi cette clé » elle tend la main et je lui donne la tablette de bois gravé par le sceau ; qui fessait ma liberté ! « je te la rendrai quand ton oncle aura approuvé ton transfert dans le bloc 4 ! » Une joie immense gonfle mes poumons, j'aimerai alors lui crier « merci » sauter dans ses bras et l'étreindre de toutes mes forces, mais elle coupe court à mon élan « Ne crois pas que toi et Obaza n'allaient pas subir une correction digne de ce nom !» je la suit dans son ombre, la tête basse, redoutant la punition...
Un sceau douloureux posé sur l'abdomen qui donne l'impression d'être brûlé de l'intérieur !? Mon oncle et maître de la cité cachée m'avait fait subir cette torture 8h d'affilés, lorsque j'ai rossé méchamment un élevé du 3eme bloc. Obaza était alors partie pour une mission, laissant sa petite sœur sans défense. Bien-sûr porter un nom aussi prestigieux que celui des Kazas, la famille dirigeante, implique la convoitise et la haine. Même chez les plus jeunes. Personne n'ose affronté Obaza, il maîtrise des Fuinjutsu destructeur. Le genre qui en décourage plus d'un à s'approcher à moins de 10 mètres de sa sœur adorée. Quand il s'absente pour une mission beaucoup la martyrise. Plus fragile et moins aguerrie que lui ! Des grands étudiants, qui ont bien 5 ans de plus que moi, en profite pour l'affronter en duel. Elle ne refuse jamais... « c'est l'honneur de la famille qui est en jeu » Même si cela l'épuise, même si elle prend des risques et s'expose au coup bas de ces jaloux sans vergogne. Alors, un jour j'en ai coincé un et je l'ai tellement battus à mort que ses comparses en ont vomis devant la vison d'horreur. « Un pour l'exemple, les prochains, je les tues !» Mon oncle a jugé, qu'en tant que Kaza et fille du maître de la citadelle elle était et devait être à même de se défendre seule ! Malgré tout j'ai eu droit au « merci » timide de ma cousine. Suffisant pour effacer dans l'instant les longues heures de souffrances subis.
Je me retrouve donc dans le bureau spacieux, immense même, du bloc 13. Le regard inquisiteur de mon Oncle me sonde jusqu'au plus profond de mon âme. C'est un homme âgé, bérbe, grand, au regard ferme. Ma tante lui explique que j'ai des « aptitude pour le combat » « Elle m'espionne depuis quand sérieux ! » mon oncle ne semble pas surpris... « je le sais Aiko ce gamin dispose d'une force diabolique. Il a battu à mort un 7eme année, un garçon de la classe d'Obaza. Il lui a cassé toutes les cotes, le fémur et la mâchoire... l'effronté est encore dans le coma et je ne compte pas l'aider. Il l'a mérité. On ne touche pas à mon sang, à ma famille ! » Il se retourne vers moi et rajoute « je t'ai puni pour une seule raison... tu dois prévenir Aiko de ce qui se passe, ne pas agir de ta propre volonté. Tu es un Kaza. Contention, réflexion et pondération sont pour toi des devoirs. Tu dois te maîtriser ! » A cette époque je ne savais pas que je n'étais pas un kaza de sang, je ne savais pas toute l'histoire, toute mon histoire ! Ce n'es que plus tard, que l'apparente bonté de mon Oncle s'effritera. Ce n'est que plus loin, que j'ai compris l'homme que c'était !
3 semaines que je suis le cours de Kimura le mètre d'arme qui forme les futures soldat de la citadelle. Je suis le plus jeune de la promotion, le plus jeune à entrer dans le bloc 4 tout court d'ailleurs. 11 ans et je suis déjà le plus puissant combattant de la classe. A croire que mon corps n'est pas le même que celui des autres résidents. Au sabre je suis imprenable, à mains nues je suis imperméable aux coups... Une résistance hors-norme qui m'a valus le surnom de « petit démon de la famille Noble » Mon oncle suit mon enseignement en personne. M'enseignant avec beaucoup de sérieux mon premier jutus. Le Gen'kotsu ! Un jutsu ancien, qui permet d'acquérir la maîtrise parfaite de son corps, d'augmenter sa synergie, sa force, ses réflexes et son contrôle. Un Justu rare et ancien autant que dur et complexe. Il m'aura fallu un an pour le maîtriser... Signant ainsi la fin de mon enfance éphémère. « Tu es un homme maintenant Jin, l'héritier digne de la force des kaza » Ainsi commence ma vie d'assassin, là ou mon cousin protégeait dans la lumière la citadelle des ennemies qui attaquaient le fort. Je protégeais l'emprise de la famille sur la citadelle en surinant les politiciens véreux. Le bloc 13 n'aura alors jamais eu autant peur de « l'ombre du démon » du « nettoyeur ». Jeune et innocent à l'époque je me suis laissé manipuler par mon oncle. Le Mugen entre mes mains, sabre démoniaque autant que puissant. Je m'étais alors perdus dans la violence et l'errance.
A ma 17ème années une dictature « parfaite » soumettait la cité cacher. Dorénavant devenus inutile, comme une arme obsolète aux yeux des Kaza. On m'a enfermé dans le bloc 9. Pour y subir des expérimentations et des améliorations. "On finit par me poser le sceau de l'âme". Encore une pratique ancienne et rare réputé mortel et inhumaine tellement elle est horrible. 16 mois de torture sur une table de scellement, torturait par mon oncle lui-même. J'ai pleuré la souffrance, hais la vie, jusqu'à en supplier la mort elle-même de venir me prendre. C'est comme si tous les jours on violait mon moi intérieur, mon jardin privé, mes pensées les plus profondes, mes sentiments les plus nobles. Chaque jour, le sceau s’enfonçait un peu plus, pour venir enserrer tout sur son passage... Mes chaires et mon âme ! J'ai été enfin laissé pour mort dans une prison de fuinjutsu... c'est ici que j'ai découvert ma véritable identité, mon véritable passé, l'héritage de mon sang ! [...]» [/color]
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