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 Aizen Sagara, la lame perdue dans les limbes de l'infini.

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Aizen Sagara

Aizen Sagara

Messages : 2
Date d'inscription : 07/01/2014

Aizen Sagara, la lame perdue dans les limbes de l'infini.  Empty
MessageSujet: Aizen Sagara, la lame perdue dans les limbes de l'infini.    Aizen Sagara, la lame perdue dans les limbes de l'infini.  EmptyMar 7 Jan - 23:00

SAGARA - Aizen



""[...]sous la surveillance d'un astre, parmi des millier d'autre, perdus dans une galaxie, voisine de millier de galaxie, elles mêmes placées dans un univers …""






Personnage

|- Age : 17 ans.
|- Surnom : "Le descendant". Ainsi l'appelle les membres éloignés de sa famille.
|- Sexe : Homme.
|- Village : Kiri.
|- Rang : We'll see.
|- Liens familiaux : Héritier direct, et seul enfant du chef de famille du clan Sagara. Il est cependant entouré d'une famille nombreuse.

Joueur

|- Age : Mais ça on le sait déjà mec !
|- Localisation : entre le nord et le sud, l'est et l'ouest.
|- Comment êtes-vous arrivé ici : J'EN SAIS RIEN, JE SUIS PERDU
|- Une note sur 10 : 14, comme ma date de naissance o/
|- Vos Hobbies : hobbits ? ou ça des hobbits ?



"Rekishi" - Histoire


« Les îles jumelles »



Il fut un temps, où le monde n'était peuplé que par une centaine d'être humain. Des êtres humain qui possédaient chacun leur petite parcelle de terre. Certains devenaient amis et collaboraient entre eux, formant ainsi des alliances. D'autres vivaient en tant que voisin, mais ne pouvaient pas se voir et ainsi naquit les deux principaux sentiments humain : La haine et l'amour. Mais les humains étaient bien trop peu nombreux et trop peu puissant pour survivre sans s'allier. C'est ainsi que chaque homme dût s'entendre avec quelqu'un pour ne plus être seul et assurer un avenir à la race des hommes. Chaque membre du couple fraîchement formé amenait son lot d'amis, et d'ennemis.
Ces alliances menèrent les hommes vers une nouvelle ère de clan, de paix et surtout de guère. A vrai dire, le monde tel que nous le connaissons aujourd'hui ; les choses n'ont guère changées depuis, malgré les siècles qui nous sépare de cette époque. Mais revenons dans le passé, où les hommes n'étaient encore que de vulgaire insecte, et dans une région spécifique du monde : Les îles jumelles. Situées au Sud-Est de ce que nous appelons désormais le pays de l'eau, ces îles étaient bien trop petite à cette époque pour abriter ne serait-ce que les prémices d'une civilisation. Il ne s'agissait là que de deux rochers acérés qui pointaient parallèlement le ciel. En dessous de ce pic rocheux, s'étendait une courte baie de sable, qui venait s'enfouir dans le creux du pic. Ces statues semblaient avoir été taillées de la main d'un dieu, tellement leur parallélisme était troublant ; à deux trois détails près, ces îles étaient identiques. La légende racontait que ces pics rocheux ne seraient rien d'autre que les deux canines d'un dragon géant, dont le cadavre était venu s'échouer ici. Ah les légendes, il était si simple de berner tout une espèce avec de simples idées pouvant expliquer ce qu'y était hors de notre porté, actuellement. Je ne parle évidement pas de religion, mais d'histoire ; qui pouvait croire qu'il ne resterait d'un dragon si imposant, deux uniques dents ? Sorti de son conte pour enfant, cette histoire ne faisait aucun sens, sauf pour les humains.

Environs deux siècles plus tard, ces deux pics pouvaient désormais porter véritablement le nom d'île. Par un miracle inexplicable, les îles étaient toujours séparées d'environs deux cent cinquante pieds, et cela même après que leur circonférence respective ait triplé, si ce n'est plus. Un beau jour, deux jeunes garçons qui semblaient être proche comme des frères se baladaient par ici et tombèrent nez à nez avec ces deux monstres de roches sortis des tréfonds marins. Jusqu'aujourd'hui, l'espèce humaine n'avait pas osé poser les yeux sur ces imposantes statues naturelles ; ils étaient les premiers. Eux même ne savaient guère ce qu'ils ressentaient. De la peur ? De l’émerveillement ? Ils repartirent chez eux sans même savoir ce que le cœur leur disait, mais chaque jour depuis celui ci, les deux jeunes humains revinrent à cet endroit observer les îles. Que diable pouvait-il leur passer par la tête ? En réalité, ces deux jeunes hommes se nommaient Yoroichi et Noroichi. Ils n'étaient pas frère, mais cousins. La mort de leur parents respectifs les avaient poussé à vivre ensemble, presque reclus par rapport à leur clan. Mais peu à peu, le temps jouait son jeu, les jeunes garçons devinrent des hommes et furent lassés par ces îles, ne revenant plus, comme à leur habitude quotidienne, sur leur promontoire qui leur offrait la meilleure vue sur les îles jumelles.

Les guerres ne tardèrent pas à commencer. Au début, il n'y avait que des blessés, puis vinrent au bout de quelques mois, les premiers morts. Ils étaient les premiers humain, à tuer d'autre humain, et ce n'était pas pour survivre.

"Gotai" - Physique


Spoiler:

Comment de simples songes pouvaient ils pousser un homme à douter de lui, l'emmener sur un sentier froid, sinueux où la pluie ne cessaient de s’abattre ? Un mystère profond et méconnu de notre propre conscience. Ces songes là pouvait nous conduire à nous questionner sur nous même, qui suis-je ? Pourquoi vis-je ? Que vaux-je dans ce monde pour que l'on me permette à moi de penser, d'agir et d'être, alors que certains était juste née pour mourir, l'instant même de leur premier souffle ? Était dû à Fortune ? Pouvions nous dire que la chance nous souriait, lorsque l'on vivait ? Cela également restait complexe lorsque l'on sait que des peuples vécurent, et vivent un véritable enfer, mais est-ce pire que de ne pas goûter à la vie ?

J'avais les yeux ouverts et était allongé sur mon lit, lorsque ces pensées m'assaillaient. Qui suis-je … Pouvait on, un jour dans sa vie, trouver cette réponse ? Extirpant mon torse nu et exposant mes muscles dégoulinant de sueur après un semblant de sommeil mouvementé, je repoussai le cocon où j'étais sensé me reposer. Ainsi donc je dévoilais quatre vingt dit pour cent de mon corps ayant comme seul parure un simple caleçon. M'asseyant quelques instants sur le bord du lit pour m'extirper réellement de ma courte nuit, je finis par me lever et entama ma marche monotone et devenue si habituelle vers mon armoire. J'avais du me coucher en hâte, puisque la lumière d'une lune pleine et éclatante inondait la pièce et permettant ainsi à mon corps d'obtenir une image sur le miroir qui ornait la porte qui me faisait désormais face. Ainsi voilà ce que j'étais, un homme. Je me regardai, et pourtant ne me reconnaissais pas, ressemblais-je vraiment à ce que mon miroir daignait me montrer ? D'ailleurs, qu'étais-je en train de regarder …

Dans la pâle lueur de l'astre lunaire je distinguais parfaitement chaque détails de ce corps qui me faisait face. A vu d’œil, il s'agissait d'un grand homme. Étais-je grand homme, ou un homme grand ? La nuance paraissait faible pour certains, mais chez moi elle me frappait. Est-ce que la taille permettait de nous décrire comme un homme grand, ou comme un grand homme ? C'est ainsi que pour la première fois de ma vie, je m'apercevais que la place des mots était aussi malléable que fixe. Je ne pouvais me considérer vraiment comme un grand homme, mais un homme de taille, peut être. De taille face à cette vie que j'affrontais chaque jours, sans grand effort, en réalité. A vrai dire, nous n'étions pas ceux qui avait besoin d'être de taille face à la vie, ces hommes là étaient d'une tout autre trempe. Mais dans la vie j'étais un homme d'une taille d'un mètre quatre vingt cinq. Oh oui, selon le référentiel d'où l'on se plaçait je pouvais être minuscule, telle une bactérie dans un corps humain ; comme je pouvais être aussi grand qu'un astre. Pour dire vrai, cela était un mensonge, car pour être un astre, il fallait briller, or je ne connaissais pas beaucoup d'humain capable d'illuminer les nuits. Nous dirions alors une planète, non, un corps stellaire. Voilà, c'était ça, le mot juste.

Un corps stellaire, accompagné de milliard d'autre corps stellaires, qui parcourait la surface d'un corps stellaire dans un voisinage de corps stellaire, sous la surveillance d'un astre, parmi des millier d'autre, perdus dans une galaxie, voisine de millier de galaxie, elles mêmes placées dans un univers … Et nous pouvions ainsi continuer sans en voir la fin. Je pouvais être le corps stellaire comme je pouvais être l'univers. Mais ce corps justement, il ressemblait à quoi ?

Comme je le disais précédemment, malgré ma corpulence athlétique je n'avais que dix sept ans. Un mélange entre jeunesse et homme fait assez plaisant en somme ; bien qu'il me restait difficile de m'envoyer des fleurs avec de tels adjectifs. En regardant plus attentivement dans la glace je remarquais les traits bien marqué de ma musculature saillante en tout les endroits. Que mon regard suive la courbe de mes mollets, de mes cuisses, de mon ventre, de mes bras, de mon torse ou encore de mes épaules : Une musculature puissante à en faire baver plus d'un(e). Pendant quelques instant je ressentais de la fierté en moi, et tâtai par endroit mon corps, afin de m'assurer que tout ceci était bien réel.

En laissant glisser ma main sur ma cuisse, une difformité m'apparut cependant. A l'arrière de ma cuisse, au dessus du genou on pouvait sentir comme un sillon dans la peau. Un trait épais qui fut par le passé des plus sanglants, avant de terminer ainsi, par une simple et vilaine cicatrice. Cette blessure avait beau ne pas dater d'hier, je ressentais encore la douleur a travers ma peau, cette lame pénétrant, puis tranchant ma peau comme un couteau dans du beurre. Ceci était une preuve accablante du manque de résistance du corps humain. A cet époque je n'avais peut être pas cette carrure, certes, mais de là à ce qu'une lame puisse s'introduire dans mon corps avec tant de facilité … c'en était effrayant.

Au delà des muscles, il y avait cette couverture mole que l'on appelait peau. Éclairée par la lumière pâle de la lune, elle semblait aussi blanche que celle d'un vampire. Je savais avoir la peau blanchâtre, mon exposition au soleil étant assez restreinte, mais il ne me semblait pas avoir la même teinte que celle qui me prodiguait mon éclairage actuel. Non en vérité ma peau était plutôt dans le style … fantomatique ? Un rien blanchâtre, mais couverte d'une couche rosée. Là, j'avais vraiment l'air effrayant, à croire que madame Lune se plaisait à se faire passer pour l'instigatrice des démons et de la peur.

Se démarquant clairement, c'était peut être la première chose que je pouvais remarquer sur ma peau, lorsque j'y prêtai attention. Un contraste de noir et de blanc assez fracassant, encore une fois ponctué par la lueur nuptiale. Il s'agissait de mes deux tatouages, la vie et le rêve. Les deux écrits Kanji étaient placé chacun d'un côté et de l'autre de mon cœur, c'était une tradition de notre clan, une manière de reconnaître les héritiers. Car seuls le(s) fils légitime(s) de l'actuel chef se voyaient tatoués de cette manière. Les autres membres du clan, représentant la force de toute la famille, avaient la force et l'espoir, marqués sur leur corps selon la même disposition. J'étais l'un des rares membres à sortir du lot, avec mon oncle. Mon dos était méconnaissable, grâce, ou à cause, d'un grand dragon de verre qui le parcourait. Enfin, pour quelqu'un qui n'était pas de la famille, c'était un simple dragon, mais chez nous, cela représentait l’apothéose de la puissance. Mon père me l'avait tatoué lorsque j'approchais de ma taille adulte. A en croire son geste, soit il fondait d'immense espoir en moi, soit il voulait ma mort. Mais continuer à penser à cela ne me servait à rien, je n'avais pas les éléments nécessaire pour emmètre un semblant de réponse. Je me re-concentrais alors sur mon reflet.

En relevant la tête, je me faisais face, yeux dans les yeux. C'était étrange de faire cela avec sois-même, mais … je n'avais jamais réalisé la froideur qui se dégageait de mes deux orbites oculaires. La couleur ardoise, rien mis à part cela ne ressortait de mes yeux. Pas un reflet. Juste un simple coloris de gris. L'une de mes mèches de cheveux tentait de se comporter en héroïne et essayait de barrer mon regard. Seulement voilà, mes cheveux étaient encore plus sombre que mes yeux, noire comme les nuages qui survolaient Kumo avant une tempête. Je me passai la main sur la nuque, et constatai que mes cheveux descendait si bas. Cette longueur pouvait paraître assez féminine pour certains, chez moi elle donnait plus l'impression d'un sorte de démon. Un peu comme dans les contes pour enfants qui parle de comtes vampires. Étais-je un monstre d'ailleurs ? Je ne m'attardai pas plus longtemps face à mon double prisonnier de la glace et ouvrit la porte de l'armoire. Mon visage n'avait rien de particulier, il n'y avait pas besoin d'en faire moult débats.

Je sorti mes vêtements habituels : Un col-peau blanc, un pantalon de toile noire allant avec le reste de son ensemble noir également. Une longue bure, retenue à mes hanches par une ceintures en tissus. La plupart du temps, cette bure était toujours entrouverte, elle entravait trop mes mouvements sinon. Je chaussai mes chaussures et ainsi était prêt à découvrir la vérité sur moi même. Mon corps n'était qu'un cocon, qu'en était il que de ce que j'étais, au fond ? Je saisi la poigne de mon katana comme pour me rassurer, puis le rangeai dans mon dos, fermant brusquement la porte du placard, me retrouvant ainsi de nouveau face à face avec moi même. Mais quelque chose dans mon expression habituellement neutre avait changé. J'étais aussi concentrer que lorsque je me préparait au combat. Cela était compréhensible, j'allais affronter mon pire adversaire : moi même. Ainsi, après avoir reculé d'un pas, je plongeai dans le miroir, près à découvrir qui était à l'intérieur de cette enveloppe. Prêt à l'affronter, et à découvrir la vérité.


"Shin'ri" - Caractère

Je m'étais lancé dans un combat sans même réfléchir à ce qu'y m'attendais. J'allais devoir m'affronter. Oui, m'affronter moi même. Connaissais-je assez bien le personnage pour envisager une simple chance de victoire ? Le miroir était devenu fluide, et lorsque je fus passé au travers, il n'était plus derrière moi. J'étais arrivé dans une simple pièce blanche ; une pièce ? Non pas vraiment, c'était plutôt un espace blanc qui brillait de lui même, sans murs ni plafond. Il m'était même impossible de distinguer le sol, je savais juste que ce sur quoi je marchais était plat, et infini, de tout côtés. J'avais beau hurler, courir, taper dans le vide ... j'étais seul. Où étais-je bon dieu ? En me demandant cela, je cherchais deux choses dont une plus précisément, car même si je me demandais bien dans quel espace je pouvais me tenir, c'était plus mon autre moi que je recherchais avec tant d’ardeur. D'ailleurs, quel heure était il ? Depuis combien de temps étais-je pris au piège dans ce monde ? Cela faisait il quelques secondes, quelques minutes, peut être quelques jours ? J'étais en train de perdre la tête, et dans ma folie je continuais de chercher mon reflet.

Comprenant qu'il ne servait à rien de continuer à s'agiter, je m'assis en tailleur et commençai à méditer pour me calmer, et réfléchir. Que devais-je faire bon sang … Soudain une idée surgit du fin fond de mon esprit. J'empoignai donc ma lame, en orientant le plat vers mon visage. Voilà donc où je me cachais … Quelques secondes plus tard, mon sabre se dématérialisait et j'apparaissais devant moi, cependant … il y avait un problème. Je ne cherchais qu'un seul double, pas … des dizaines ?

« Bonjour, je suis Orgueil.»

« Et moi je suis Mensonge. »

« Je suis Vanité »

« Et moi Trahison »

Et cela continuait, continuait … non, ce ne pouvait être moi, je n'étais pas comme cela ! Certains pouvaient être vrai, il était vrai mais pas tous, pas tous ! Dans ma rage, je bondis sur le premier et le rouait de coup : il ne bougeait pas d'un pouce. Au contraire, tous se mirent à se moquer de moi et je fus propulsé en l'air sans même avoir vu le coup partir. Lorsque je fus de nouveau au sol, je ne sentis pas la chute, j'étais juste de nouveau sur mes pieds en face de mes clones. Leurs voix hantaient mon esprit et il n'y avait aucun moyen d'y réchapper. J'avais ouvert la boite de Pandore et maintenant j'en payais le prix fort.

« Tu as voulu connaître la vérité, et maintenant qu'elle est sous tes yeux, tu la renie ? »

Cette voix était plus claire, mais ne me ressemblait aucunement. C'était plus une voix de femme en fait. Pourtant l'image de moi qui avait prononcé cela était bel et bien là, en avant par rapport aux autres qui continuais de se moquer, mais il m'était désormais impossible de les entendre. Que ce passait-il ? Pris de panique, je demandais d'une voix hésitante qui était cette femme qui me parlait en se faisant passer pour moi. Elle me répondit simplement qu'elle s'appelait vérité, et que je n'avais pas pour habitude de la côtoyer sous cette forme. Elle me disait même que la plus part du temps, je l'empoignait … Était-ce … était-ce mon propre Katana qui me parlait ? J'étais vraiment en train de perdre la tête … c'était certain. Mais quitte à devenir fou, autant aller jusqu'au bout des choses. Je pris ma propre main et d'un coup Vérité repris la forme d'une lame. J'entendais toujours sa voix qui raisonnait dans mon esprit. « Tu te connais mieux que n'importe qui, mais tu te laisse abattre par ce que les gens pensent de toi, et ce qu'ils croient que tu es. Compte tu te laisser choir à leurs mensonges ? »

Si je croyais ce qu'elle me disait, certaines de ces images n'étaient pas vraiment moi, mais des jugements que les gens extérieurs me portaient. Apparemment, la seule manière de distinguer un véritable moi d'un faux était de voir si mon reflet était parfait. Si un détail était changé, ce n'était pas moi et je pouvais l'éliminer. D'un pas serein je me dirigeais vers celui que l'on appelait mensonge. Il serait le premier à être éliminer. Je n'avais jamais menti, même dans le cadre d'une mission, et cela n'était pas prêt d'arriver. D'un coup puissant, je le tranchais en deux et le reflet s'envolait. Dans un léger sourire je me ruais sur les quatre premier à m'avoir interpellé. Ainsi périrent Trahison, Orgueil, Mensonge et Vanité ainsi que tout un tas d'autre.

Au final, j'avais réussi à regrouper tout mes véritables reflets, qui, un à un, rentrais à nouveau dans mon corps. Le premier fut Fierté. Oui, il est vrai que j'avais toujours été fier de ce que je faisais et de moi. Peut être était-ce là une mince différence entre lui et l'Orgueil. Le courage revint prendre sa place, suivit de tout les autres. Enfin je me sentais … moi même. Il m'étais donc plus aisé de pouvoir me connaître.

J'étais un homme de confiance, et ce depuis toujours. J'étais dans l'incapacité totale de trahir, et cela reposait sur les vœux que j'avais prononcé à mes dix ans, au sein de mon clan et je n'avais qu'une parole. A certain moment je paraissais froid et distant de ce monde et il est vrai que je n'ai jamais été très social. A vrai dire je n'avais pas d'amis et c'était peut être ici l'une de mes faiblesses, qui pouvait aussi devenir une force. J'avais toujours grandit avec pour seule compagnie ma famille, les seuls personnes avec qui je me permettais de laisser paraître mes émotions et non un mur de glace haut de plusieurs pieds. Voilà à peu près ce que j'étais. C'est à dire pas grand chose. Une volonté de fer dans un corps d'acier, c'était moi. Peut être découvrirais-je d'autre part de moi même plus tard, en rencontrant des gens ? Car au fond si j'étais si asocial ce n'était pas vraiment de ma propre volonté. Mais c'était la volonté de ma famille, je ne devais pas, en tant qu'héritier, m'exposer à encore plus de danger. D'où les quelques tensions avec mes parents en ce moments … enfin, cela est une histoire diffé...


Le soleil venait à la rencontre de mes yeux désormais mi clos. D'un demi bond, je relevai mon torse sachant que je venais de rêver. Mais le temps que je me mette à y penser, tout avait disparut de ma mémoire … la seule chose dont je me souvenais, c'était le mot « Vérité ». C'était le nom que je me devais de donner à mon épée, puisque c'était son nom. Je ne savais pas d'où me venait cette idée farfelue, mais elle était ancré profondément dans mon esprit, je savais que c'était cela. Ou est-ce que je l'avais mise d'ailleurs ?


© Never-Utopia


Dernière édition par Aizen Sagara le Mer 22 Jan - 17:57, édité 1 fois
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Assia Toshizo
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MessageSujet: Re: Aizen Sagara, la lame perdue dans les limbes de l'infini.    Aizen Sagara, la lame perdue dans les limbes de l'infini.  EmptyMar 14 Jan - 18:52

Hey cat

Je te vais pas te souhaiter la bienvenue, je viens simplement te rappeler le délai de 14 jours dans la présentation tout en sachant qu'un délai supplémentaire peut être demandé et sera accepté mon cher.

Allez bonne chance et au plaisir de rp avec toi petit Kirijin ! Smile
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Aizen Sagara

Aizen Sagara

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MessageSujet: Re: Aizen Sagara, la lame perdue dans les limbes de l'infini.    Aizen Sagara, la lame perdue dans les limbes de l'infini.  EmptyMer 22 Jan - 17:58

Tu m'intègres bien vite dans le coeur des bleus ma chère, ça fait plaisir :mdr:

Sinon, comme tu le sais, j'ai d'autre rp en cours avec Ayu', du coup je risque de déborder un peu sur les quatre jours, mais j'avance petit à petit ! Surtout qu'en plus, j'ai prévu de faire une fiche qui envoie du patay, donc voila xD
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